29 mars 2024

Affaire Redeker : pourquoi le silence de Royal, Sarkozy et Chirac ?

Certes, quelques seconds couteaux du P.S. ou de l'UMP ont condamné les menaces de mort contre le philosophe victime des islamistes et de leurs alliés (Mrap, LDH, etc.), avec bien souvent des réserves de circonstance on ne peut plus douteuses, du genre : «Oui, mais Redeker n'aurait pas dû dire ce qu'il a dit », sans évidemment contredire les vérités exégétiques et historiques de la tribune du Figaro.

Le Président de la République lui-même, qui pourtant s'était permis de critiquer les caricatures de Mahomet au nom de sa politique islamophile, est aussi silencieux qu'il y a un an lors des émeutes du Ramadan 2005. Pourtant, l'affaire Redeker met en péril toutes les valeurs de la République, en particulier le tryptique Liberté-Egalité-Fraternité. Mais on ne saurait plus rien attendre de Jacques Chirac dont le règne est une litanie d'échecs et de dhimmitudes.

Il eût été facile à Ségolène Royal de rejoindre la cohorte des « oui mais » socialistes sur Redeker et les menaces dont il est l'objet. Les Français sont tout de même en droit de savoir ce que pense l'intéressée qui brigue la place de chef de l'Etat sur cette affaire d'Etat ! Mais rien, pas un mot. Ségolène Royal ne se mouille pas, fidèle ainsi à sa stratégie de faire du bruit médiatique sans jamais s'engager clairement sur le fond des problèmes.

Et que dire du silence total de Nicolas Sarkozy, lui qui a pourtant toujours un avis sur tout, qui se mêle des domaines réservés de ses collègues au gouvernement ou de ceux de l'Elysée, qui critique tout à tour de bras, et qui est directement concerné par l'affaire Robert Redeker, à la fois comme ministre de l'Intérieur et comme celui des cultes ? Voilà un homme médiatiquement présent sur tous les fronts, et qui curieusement se tait sur une affaire gravissime dont tout le monde parle dans les médias, qui ressort de ses compétences ministérielles. Ce silence n'est donc pas fortuit.

Il est d'autant plus étonnant que Nicolas Sarkozy avait pris le contre-pied de la Chiraquie dans l'affaire des caricatures de Mahomet, défendant la liberté d'expression. Alors si l'affaire Redeker n'est pas un problème de liberté d'expression, on se demande ce que c'est !

Je pourrais crier mon indignation devant ces silences complices, mais d'autres l'ont fait mieux que moi. Kebir Jbil par exemple chez Primo-Europe qui consacre plusieurs articles sur le sujet, et aussi nos collègues de Resiliencetv.fr et de LibertyVox. Nous avons cité leurs articles, et nous pouvons également mentionner le dernier bloc-notes d'Ivan Rioufol dans Le Figaro.

Au-delà du constat légitime de ce scandaleux silence, nous devons nous interroger sur ses raisons.

Bien entendu, on pense immédiatement à des considérations électoralistes. L'« islam de France » et ses alliés ayant eux-mêmes exprimé des fatwas condamnant Robert Redeker, sans doute que Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy ne désiraient pas se mettre à dos cette clientèle d'électeurs. Mais cette explication me semble largement insuffisante, car comme une majorité de Français partagent désormais une opinion défavorable sur l'islam, nos deux candidats risquent de perdre bien plus d'un côté ce qu'ils espèrent gagner ou conserver de l'autre. Cela explique d'ailleurs partiellement pourquoi ils ont choisi la voix du silence au lieu du « oui mais » de leurs collègues UMPS : en ne disant rien, ils espéraient peut-être ne fâcher personne, ni les musulmans, ni les autres électeurs.

Mais cette explication électoraliste ne me satisfait pas, parce que ce silence de Ségolène Royal et de Nicolas Sarkozy finira tôt ou tard par s'entendre, ne serait-ce que par contraste avec les autres réactions de politiciens.

Pour tenter de comprendre leur attitude, je reviens sur la comparaison avec l'affaire des caricatures de Mahomet et sur la position de Nicolas Sarkozy à cette époque, car de son côté, Ségolène Royal avait critiqué cette « offense au prophète de l'islam ». En effet, les analyses différentielles permettent de mieux cerner les comportements.

Le ministre de l'intérieur avait défendu le droit de caricaturer Mahomet, mais alors pourquoi ce revirement quand arrive une affaire encore plus grave ? Dans les deux cas, les musulmans se sont sentis « blessés », dans les deux cas, certains d'entre eux sont passés à l'action violente (ou en ont manifesté l'intention), dans les deux cas, il s'agit d'une affaire de liberté d'expression. Où est la différence de nature ?

Je pense que la différence réside d'une part dans la forme du « blasphème », et d'autre part dans son fond.

Sur la forme tout d'abord. Une caricature reste une caricature, c'est-à-dire une exagération du message qu'elle veut faire passer. Dès lors, sa « crédibilité » peut-être relativisée, et d'ailleurs Nicolas Sarkozy lui-même est victime de caricatures parfois diffamatoires ou insultantes, comme quand les Guignols de l'Info le font passer pour un raciste anti-arabe et anti-africain. Autrement dit, une caricature, ce n'est pas « sérieux » comme une tribune dans le Figaro, et par conséquent on peut relativiser ce qu'elle veut dire ou ce qu'on lui fait dire.

Sur le fond, les caricatures de Mahomet dénonçaient, et seulement pour quelques-unes d'entre elles, le « terrorisme » du fondateur de l'islam. C'est donc une opinion présentée comme partielle et subjective sur un aspect d'un personnage historique, même si l'Histoire et l'exégèse confirment la violence de Mahomet. Tandis que la tribune de Robert Redeker, qui n'est pas une caricature, s'attaque d'une manière argumentée et sérieuse à la violence intrinsèque du Coran et de Mahomet, et explique que cette violence est enseignée aux musulmans par le simple fait qu'on leur demande de vénérer et d'appliquer le « livre saint » de l'islam, et de considérer son « prophète » comme un « beau modèle ».

Par conséquent, si réagir à des caricatures de Mahomet et à leurs conséquences peut exonérer de porter un jugement sur le fond exprimé par ces dessins, en revanche l'exercice rhétorique est plus difficile sur le texte de Robert Redeker, et d'ailleurs on constate que la plupart des personnes qui condamnent les menaces de mort dont est victime l'auteur prennent position sur le fond, soit en l'approuvant, soit en le critiquant, soit en se sentant obligées d'exprimer explicitement le refus de le juger. Dans tous les cas, ce fond ne laisse personne indifférent, et on a pu constater les difficiles contorsions rhétoriques de tous ceux qui ont exprimé des réactions.

A mon avis, c'est donc le fond de l'article de Robert Redeker dans Le Figaro, autant que les menaces de mort dont il est victime, qui pose un sérieux problème à nos politiciens vedettes et en particulier à Nicolas Sarkozy. Quel est précisément ce problème ?

Je pense que Robert Redeker met tout simplement les pieds dans le plat du consensus politico-médiatique sur l'islam « RATP » (Religion d'Amour, Tolérance et Paix), et que les réactions des musulmans à son encontre, que ce soit les fatwas des « muslims light » genre Dalil Boubakeur, celles des islamistes appelant à la chasse à l'homme, ou celles des « idiots utiles » comme Mouloud Aounit et Pierre Tévanian, lui donnent parfaitement raison sur le fond et mettent en évidence le fait que l'islam refuse tout simplement la critique et la liberté d'expression. La réaction d'un responsable de l'UOIF dans l'émission C Dans l'Air de vendredi était symptomatique : il disait qu'il était permis de critiquer l'islam, que les musulmans étaient ouverts au dialogue, etc., mais refusait avec mépris de débattre du fond de l'article de Robert Redeker, se contentant de traiter l'auteur de « racisme » sans jamais fonder cette accusation totalement démontée par les contradicteurs présents sur le plateau, en particulier Rachid Kaci. Autrement dit, ce représentant de l'UOIF donnait un superbe exemple de schizophrénie islamique, en disant accepter la critique de l'islam tout en refusant totalement l'une d'entre elle, pourtant historiquement et exégétiquement fondée.

Pour Nicolas Sarkozy, tout comme pour Ségolène Royal ou Jacques Chirac, je pense que leur silence veut tout simplement éviter de tomber dans ce type de contradictions entre leurs discours officiels sur l'islam et la réalité des textes et des faits. A force de se faire les avocats d'un dogme islamique qui n'existe pas, ils sont entraînés soudainement dans la difficulté de l'« impossible équation » que nous démontrons depuis des années sur France-Echos : on ne peut pas faire dire au Coran et à Mahomet le contraire de ce que disent les textes, les historiens, les hagiographes ou les faits d'actualité. Certes, l'astuce sémantique consiste à dire qu'il y a des « musulmans modérés » et de prétendre qu'à cause de cela, l'islam est modéré, ce qui est aussi fallacieux que de dire que Jésus appellerait à la haine parce que des chrétiens ont tué en son nom.

La réaction, ou plutôt l'absence de réaction des deux candidats à la magistrature suprême et du chef de l'Etat traduit tout simplement le fait qu'ils sont « emmerdés » d'être ainsi mis au pied du mur par l'affaire Robert Redeker. Tout comme pour les spécialistes de la takia musulmane, c'est leur château de cartes qui s'écroule. Leur silence, similaire à celui du gouvernement au début des émeutes du Ramadan 2005, est un signe de peur.

Peur de l'effondrement du mythe de l'islam RATP


Le catéchisme officiel a déjà été largement battu en brèches par l'actualité, depuis le 11 septembre jusqu'aux affaires du voile dans les écoles ou celles des caricatures de Mahomet. Mais ce qui est nouveau, c'est que les enquêtes d'opinion dans les pays européens, et même en France, montrent que la population prend de plus en plus conscience de la vraie nature de l'islam, et que la propagande officielle ne marche pas plus que celle des dirigeants communistes dans l'ancien bloc de l'Est. C'est donc un mythe qui s'effondre tout comme se sont effondrés le « grand soir » communiste ou le « nouvel homme » fasciste ou nazi.

Peur de l'effondrement du mur de Berlin islamophile


La « fracture » entre la France d'en haut et celle d'en bas sur l'islam est telle que, tout comme dans les problèmes connexes de délinquance et d'immigration, la nomenklatura politico-médiatique est en danger de révolution, ou du moins de révolte populaire. Les sondages montraient déjà que les Français n'ont aucune confiance ni aux grands médias, ni aux discours politiques, et voilà que l'un des plus gros mensonges d'Etat, largement partagé depuis l'extrême-gauche jusqu'à la droite UMP, reçoit un démenti cinglant par une simple tribune dans un grand quotidien. Au-delà du mythe qui s'écroule, c'est les gardiens du temple qui sont aujourd'hui nus comme un vers. On sait les conséquences de ce type de situation, depuis les Ceaucescu jusqu'à Gorbatchev.

Peur de l'« islam de France »


Certes, Nicolas Sarkozy a habilement retourné le thème de la délinquance en prenant le contre-pied verbal des autres politiciens, c'est-à-dire en reconnaissant qu'il y a un problème là où tout le monde le niait. Certes, il réitère maintenant l'opération sur le sujet de l'immigration, avec d'ailleurs la même distance entre les discours et les actes. Mais sur l'islam, il s'était contenté de prendre quelques distances avec l'UOIF et autres Dhaou Meskine qu'il encensait naguère, et il espérait sans doute que cela suffirait pour faire oublier aux Français ses alliances passées. Mais l'actualité musulmane le rattrape, et les réactions officielles de l'« islam de France » sur le discours du pape ou sur le texte de Robert Redeker montre l'incompatibilité entre cet islam pourtant « light » et les valeurs de notre République, donnant ainsi raison à l'opinion publique européenne et française.

Les représentants de l'« islam de France » n'ont pas apprécié que leur « bouffon » Nicolas Sarkozy leur tourne le dos, et ne réponde plus (ou beaucoup moins) à leurs exigences. Les réactions musulmanes à l'affaire Robert Redeker sont donc une épine dans le pied de Nicolas Sarkozy, qui prétendait « amadouer » l'UOIF et compagnie. Non seulement elles signent l'échec de la politique « CFCM » du ministre de l'Intérieur, mais elles augurent de la persistance des problèmes posés par l'islam et par les musulmans en France. Avant-hier ils voulaient imposer le voile dans les écoles laïques, hier ils s'attaquaient à des journaux pour des caricatures de Mahomet, aujourd'hui ils dénient à un philosophe le droit de critiquer le Coran et l'islam ou même de rappeler de simples vérités. Leur volonté d'« islamiser » la société française, en l'occurrence ses valeurs de Liberté et d'Egalité des citoyens reste entière : « oui » à la liberté d'expression « mais » sauf contre l'islam, « oui » à l'égalité des religions « mais » sauf l'islam qui doit rester intouchable.

Peur des Français


Nos compatriotes ne sont plus dupes sur la « RATP », et le manifestent à chaque fois qu'on leur en donne rarement l'occasion, par exemple lors d'enquêtes sur Internet, ou lorsque des médias donnent la parole à leurs lecteurs et leurs auditeurs. Nicolas Sarkozy, patron des Renseignements Généraux, ne peut l'ignorer, et il ne peut ignorer que cela se retournera contre lui s'il ressort ses couplets sur les « musulmans respectueux de la République ». Pour un candidat à l'élection présidentielle, c'est une épée de Damoclès dans la campagne électorale alors que l'islam continue de faire la une des médias et que les problèmes qui lui sont liés sont incontournables dans la campagne électorale. Nicolas Sarkozy est d'autant plus « emmerdé » qu'il est facile à ses contradicteurs de rappeler sa présence à la tribune de la filiale française des Frères Musulmans au Bourget ou ses copinages avec Dhaou Meskine aujourd'hui mis en examen pour escroquerie et financement du terrorisme.

Pour Nicolas Sarkozy, l'affaire Robert Redeker est donc de la « nitroglycérine », pour reprendre l'expression de François Bayrou sur le discours du pape. Elle vient s'ajouter aux menaces islamistes contre la France qui signent l'échec de la politique de dhimmitude, aux émeutes urbaines qui recommencent avec des agressions sans précédents en nature et en intensité contre des policiers, et à cette immigration clandestine que le pouvoir politique est incapable de traiter, allant jusqu'à contourner la simple application de la loi.

Même si la parole des Français est muselée, elle existe et on la connaît indirectement : nous sommes dans une situation pré-révolutionnaire sans précédent, qui peut balayer toute la classe politique dont le ministre de l'Intérieur, et qui est porteuse de troubles sociaux, voire de guerre civile, dont le premier flic de France risque de faire les frais. Celui-ci a choisi la stratégie de reporter la faute sur ses collègues du gouvernement ou sur les juges, mais sur l'islam où il est directement concerné comme ministre des cultes ayant créé le CFCM noyauté par les Frères Musulmans, il ne pourra pas se défausser si aisément.

Peur du terrorisme et de la guerre civile


Nous avons déjà évoqué ces aspects, mais l'affaire Robert Redeker démontre le jusqu'au-boutisme des autorités musulmanes. Je ne parle pas seulement des terroristes qui menacent l'écrivain et bien d'autres « islamophobes », mais également des responsables de l'« islam de France » aujourd'hui aux mains de l'UOIF. Entre les fatwas de celle-ci et celles des égorgeurs, il y a une différence de degré mais pas de nature : tous les islamistes veulent imposer peu ou prou la charia en France, allant jusqu'à vouloir censurer, par différentes méthodes, jusqu'à l'expression d'un philosophe dans les colonnes du Figaro.

Certes, ni Dalil Boubakeur ni Fouad Alaoui ne posent ni ne poseront de bombes. Mais si leurs méthodes de répression de la liberté d'expression au nom de la charia échouent, les islamistes violents prendront le relais puisque ce « jihad » contre les infidèles, et encore plus contre les opposants à l'islam (même s'ils se contentent de la parole) est un dogme fondamental du Coran, parfaitement mis en pratique par le « beau modèle » Mahomet. Depuis l'affaire des caricatures jusqu'à celle de Robert Redeker, on constate la complémentarité qui s'exerce depuis Mouloud Aounit jusqu'à Al Qaïda en passant par l'UOIF et son gourou Al Qardaoui.

Aujourd'hui un prof de philo doit se cacher tel Salman Rushdie ou Ayan Hirsi Ali, sur le territoire français. C'est un total échec pour le «modèle républicain multiconfessionnel », puisque les islamistes ont déjà gagné, comme le dit Robert Redeker lui-même. Mais cela montre aussi l'impasse dans laquelle se trouve le pouvoir et en particulier le ministre de l'Intérieur. Que peut faire le premier flic de France, sinon continuer à protéger indéfiniment la victime de la chasse à l'homme, devenue d'ailleurs un symbole national ? Et cette victime est loin d'être la seule, et elle sera de moins en seule, car la vérité qu'elle énonce est partagée par bien d'autres Français qui l'ont exprimée et qui sont également menacés, comme par exemple Louis Chagnon, Messaoud Bouras ou votre serviteur.

Cet état de fait démonte complètement les discours de « lutte contre le terrorisme » qui poussent la langue de bois jusqu'à oublier de mentionner la nature islamique dudit terrorisme. D'ailleurs on peut assister à des débats d'une heure à la télévision française sur le terrorisme sans que les mots « islamistes », « islam », « jihad », « musulmans », etc. soient prononcés par les invités bien pensants, tout comme on peut discourir pendant des heures sur les « émeutes urbaines » sans chercher à qualifier le moins du monde les délinquants émeutiers.

Mais l'affaire Robert Redeker ne fait pas qu'invalider les discours officiels, elle démontre que le « jihad » contre le « monde libre » (pour reprendre l'expression du philosophe dans Le Figaro) ne peut pas plus être conjuré par de simples actions de police et de justice que les actes de guerre civile dans nos banlieues. Quel échec pour le discours sécuritaire du ministre de l'Intérieur chargé du maintien de l'ordre!

La peur change de camp.


En résumé, l'affaire Robert Redeker montre que chez nos responsables politiques, « la peur change de camp », ou plutôt elle évolue. Certes, ils avaient déjà peur des islamistes et des « racailles », mais ils ont encore plus peur de l'aggravation spectaculaire de toutes ces menaces qui augmentent parce qu'on les traite que comme de la délinquance « normale » alors qu'elles sont d'une autre nature. Ils ont désormais peur aussi de l'« islam de France » qui continue à exercer ses pressions antidémocratiques et communautaristes malgré tous les gages donnés et les tentatives d'apprivoisement, et ils ont peur également de leurs propres concitoyens électeurs qui ne croient plus un mot de leurs fables et de leurs discours lénifiants.

C'est pourquoi, dans l'affaire Robert Redeker, Ségolène Royal, Nicolas Sarkozy et Jacques Chirac ont choisi d'appliquer la politique politicienne classique : celle de l'autruche. Autrement dit, ils choisissent la solution la plus lâche et la plus dangereuse qui soit pour notre pays.

blake@france-echos.com

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