Si nous ne connaissons pas les modalités (tenues secrètes) de cette libération ainsi que, d’ailleurs, celle de Céline Cordelier, on ne saurait omettre que trois otages afghans sont toujours retenus qui, désormais, risquent le pire au moindre battement de cil de travers.
Dans quelle mesure, quand le danger apparaît à ce point disproportionné, est-on encore libre d’exercer un devoir d’ingérence humanitaire? Un tel geste, aussi utile et nécessaire fût-il, est-il moralement justifié dès lors qu’il relève clairement du coup de poker ?
Librement !
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