29 mars 2024

“Parler de réchauffement climatique est un mythe !” selon Marcel Leroux

En attendant la mise en ligne d’une interview vidéo effectuée le 25 septembre avec Marcel Leroux par un de nos éditorialistes (LSAO), il est bon de relire certains de ces propos (voir aussi liens d’actualité):

Lu sur le site a&e (agriculture et environnement) : Un Entretien (2004) avec Marcel Leroux, professeur en climatologie à l’université Jean Moulin de Lyon III et directeur depuis 1986 du Laboratoire de Climatologie, Risques, Environnement (CNRS). Aujourd’hui, il n’est presque plus possible de participer à un colloque consacré à l’agriculture sans que soient évoqués le réchauffement climatique et l’effet de serre. Préoccupation majeure de l’agriculteur, la question du climat suscite un intérêt évident car ses aléas ont des répercussions immédiates sur les résultats des exploitations. Marcel Leroux est l’auteur du premier livre de climatologie en français traduit en anglais, La Dynamique du temps et du climat (éditions Dunod, 1996). Après la parution de The Meteorology and Climate of tropical Africa, aux Editions Springer en 2001, suivi d’un troisième ouvrage, Global Warning, myth or reality.
Pour ce climatologue iconoclaste, qui conteste la validité des modèles informatiques actuels, les variations climatiques s’expliquent tout naturellement, lorsque l’on prend en compte ce qu’il appelle les anticyclones mobiles polaires (AMP), vastes lentilles d’air glacial de 1500 mètres d’épaisseur et de 2.000 à 3.000 km de diamètre, générées quotidiennement par les pôles et se déplaçant vers l’équateur.

Marcel Leroux, n’est plus, alors que le refroidissement s’accentue


Nous devions interviewer à nouveau Marcel Leroux en juin, mais un contre-temps nous a fait repousser le rdv en juillet, sauf qu’à cette date il était déjà très souffrant (cancer généralisé). Ce qu’il faut dire en tout cas, c’est qu’il a été poussé dehors lorsque l’âge de sa retraite a sonné, nombre de professeurs peuvent rester jusqu’à 70 ans, et, surtout, les crédits de son labo avaient été coupés et il était devenu persona non grata, “interdit” d’antenne, de conférence, au sens où plus personne daignait prendre son avis alors qu’il détenait la chaire de climatologie à Lyon3 !
C’est écoeurant. Il vivait très mal la situation : s’est-il en quelque sorte fabriqué son cancer ? Nul ne le sait hormis que l’autodestruction est une donnée du vivant, les animaux vont se cacher pour mourir, puisque plus personne ne voulait l’entendre, sauf les fidèles…(dont sa fille qui a laissé un commentaire ci-dessous).

Plandémie et ensauvagement comme symboles criminels

Lorsque le professeur en infectiologie Christian Perronne annonce au micro d’André Berkoff que l’on “veut mettre à mort son service” (à 55.17) lorsque l’une des photocopies de Mr.Smith (à la “santé”) décide (par exemple) de fermer bars et restaurants à Marseille, cela s’apparente à une sorte de billard symbolique: faire taire à terme un spécialiste dont les positions, carrées, gênent -(comme celles d’un autre spécialiste, Marcel Leroux, dont le labo avait vu ses ressources publiques peu à peu se tarir comme il me l’avait, directement, confié, n’étant pas climato-catastrophiste)- et aussi montrer, indirectement, que le traitement de Raoult ne sert à rien alors que celui-ci n’agit (de façon précoce par ailleurs) que lorsque l’on est malade et non pas seulement “positif”…

L’évidence politicienne de la manip climatique

Je viens de réaliser une interview avec Marcel Leroux, (le temps de la monter et la voilà !), que les internautes connaissent bien s’ils lisent régulièrement resiliencetv (par exemple dans Liens d’actualités), cela fait la seconde fois que je discute avec un spécialiste de mécanismes touchant à la planète Terre (la première fois, ce fut avec Brigitte Van Vliet-Lanoé (voir la vidéo plus bas dans cette même page du site) que cite l’excellent Yvon Dionne dans son article LES TARTUFES DU CLIMAT) et maintenant ma conviction est de plus en plus fondée : c’est bel et bien pour des raisons de stratégie politico-économique et non pas pour des raisons environnementales que la plupart des gouvernements chevauchent désormais cet hoax qui confond par ailleurs nécessaire lutte contre les dégradations de tous ordres et lutte contre ce dit “réchauffement” climatique qui, s’il arrivait d’ailleurs, serait bien plus positif que négatif, pour les plantes et pour les hommes. Mais je ne veux pas parler de cela pour le moment, je le ferais via l’interview. Je veux juste souligner pour le moment ceci :

Genre et climat : mutation et moyenne

De même qu’il existe désormais un climat “moyen” (ce que conteste Marcel Leroux) d’autant que localement les températures baissent en tendance depuis une dizaine d’années (avec quelques pointes de chaleur en été), de même il existe dorénavant un sexe “moyen”: dénommé “le” genre, une sorte de masque, de loup (pour fête façon Sade), jusqu’au corps que l’on peut ajuster de plus en plus selon l’identité désirée ; idem pour l’enfant que le génie génétique pourrait d’ici quelques années fournir en options le tout payable dix fois sans frais.

Ce n’est pas tout : l’implosion généralisée de toute originalité (sexuelle comprise) dans une soupe primordiale indigeste fait que à l’ère supposée du “développement durable” les identités et les relations exclusives sont paradoxalement montrées du doigt : une mariée devient une non divorcée, un hétéro un homo refoulé (car nous sommes tous “bi” martèle Almodovar dans son dernier film fait sur le tard) ; mais un polygame dans ce cas ? Un progressiste assurément puisqu’il passe de 1 à plusieurs, ce qui en fait avalise une réalité non officielle bien perçue dans le dernier film de Jaoui et Backri : la polygamie officieuse se prénomme “vie privée” et l’amoureuse exclusive a tôt fait d’être recadré puisque l’auberge espagnole est devenue le seul cadre autorisé.

Tout et n’importe quoi sur le climat, l’économie…

Lisez cette note (6 p. 7) du rapport récent de l’Académie des sciences : ” Cependant, aux cours des temps géologiques, la concentration en CO2 a pu être bien supérieure à la concentration actuelle ; par exemple, elle est estimée à environ 4 000 ppm au début de l’ère Tertiaire (- 60 à – 50 millions d’années) “, ce qui implique ceci : la seule variable tangible de tout ce rapport consiste à élaborer l’hypothèse, non prouvée cependant, que l’augmentation de CO2 observée aujourd’hui a pu être accélérée par les activités industrielles, et c’est tout ! le reste, à savoir le fait que cette augmentation peut induire une augmentation de l’effet de serre reste nulle et non avenue puisque le rapport explique lui-même qu’il a existé des périodes ayant connu une concentration supérieure… Et pourtant, malgré cette contradiction, le rapport certifie tout le discours réchauffiste actuel qui aujourd’hui justifie ses dires en faisant dorénavant une moyenne de toutes les températures mondiales alors que Marcel Leroux nous avait bien prévenu de la fausseté d’une telle mesure…

Hystérie de l’écologiquement correct

Jamais content ! Cohn Bendit, Greenpeace, hurlent à “l’échec” de l’accord européen sur la réduction de 20% des émissions de CO2, cette phobie, alors que l’on sait de mieux en mieux que les transformations climatiques sont bien plus complexes qu’on ne le dit, et en tout cas ne mettent pas uniquement en avant un seul facteur, celui de l’activité humaine. Marcel Leroux, détenteur de la chaire de climatologie à Lyon3, l’avait expliqué avant de mourir, brisé par sa mise à l’Index (lui aussi), en pure perte.

Fonte accélérée des médias occidentaux


L
e Mont Blanc vient de grandir de quatre mètres, plus exactement s
a calotte glaciaire a augmenté et non pas sa masse rocheuse, mais France Info explique ce changement en invoquant le…réchauffement climatique (idem pour Le Figaro), tandis que le Nouvel Obs parle de “mesures incertaines”, tant en effet cette information bat en brèche l’idée que le climat évolue uniformément partout sur le globe en fondant toute glace possible, ce que conteste Brigitte Van vliet-Lanoé,


ce que conteste également le professeur Marcel Leroux.

Sarkozy s’est donc fait aussi gros qu’ Al Gore

Ainsi Al Gore a clôturé ce ” Grenelle de l’environnement”, qui, depuis que l’écologie a quitté les rives du choix de vie pour devenir une obligation politique, symbolise une vaste entourloupette idéologique d’obédience totalitaire (hormis, bien sûr, les mesures de bon sens comme la meilleure isolation thermique des bâtiments, le ramassage des déchets…), car supprimer la construction de nouvelles autoroutes (on a échappé, in extremis, au 120 km à l’heure), ou établir des écotaxes sur un parc automobile si nécessaire en absence de transports publics fiables et dont surtout la culpabilité dans le dit réchauffement (0,72% en un siècle et demi nous dit Marcel Leroux) n’est pas avérée, s’avère être tout sauf de la bonne politique.
En fait, l’algosarkozysme cherche à substituer du neuf au vieux en matière d’industrie sans qu’il n’y ait aucun saut technologique majeur d’accompli, comme la fabrication massive de robots, le passage massif à la fibre optique (qui réduirait les déplacements inutiles et les envois de courrier), cette dernière chose aurait pu par ailleurs être déjà possible il y a vingt cinq ans ! (expérience de vidéophone à Biarritz sous Mitterrand), mais l’on choisit le co-axial pour le minitel, résultat : les Japonais surfent sur 2 à 10 giga par seconde alors que l’on se vante en France d’atteindre les 20 méga…

Les démembristes et leurs alliés djihadistes contre la Nation

Les démembristes se présentent comme “scientifiques”, et même “démocrates” prétendant “déconstruire” les préjugés, les narratifs afin de “lutter contre les discriminations” tous les “négationnismes” (santé, race, genre, climat, islam, aujourd’hui) et autres “conspirationnismes”, “complotismes”, etc. ; et, pour ce faire,  ils ont l’aval de grandes instances les légitimant (agences de presse, académies, agences gouvernementales, internationales, intellectuels organiques) alors qu’en réalité tout ce que ces démembristes racontent s’avèrent non seulement faux, et l’erreur est humaine, mais mensongers, ce qui est bien plus grave en termes de préméditation qu’il n’est guère besoin de relier à telle ou telle officine tant cela ne tient déjà pas debout devant les faits qu’ils s’empressent d’effacer avec de pseudo “vérificateurs” dont l’inanité est aujourd’hui pris sur le fait.

En finir avec la dictature climatique sanitaire et du racisme anti-russe/israélien (etc)

Lorsqu’un ministre de l’économie dite encore française prétend sans frémir qu’il faut maintenir les taxes sur le carburant, malgré la hausse vertigineuse de celui-ci, car il faudrait continuer à alimenter “la transition écologique” alors que celle-ci est non seulement un gouffre, mais s’avère totalement inutile (l’éolien ne marche guère) de qui se moque-t-on sinon encore une fois du “peuple” (à diesel et allant au bistrot) rimant de plus en plus sans le dire pour les puissants avec “populisme” (de même que le drapeau français ringardisé) de moins en moins crédule néanmoins…

Conseil Constitutionnel: “démocratie réelle et démocratie formelle”

Cette formule de Marx fait suite à celle de Montesquieu : “le pouvoir corrompt, le pouvoir absolu corrompt absolument” ainsi que celle de Weber lorsqu’il différencie “légalité et légitimité” : ici, le 5 août, soit le lendemain de l’anniversaire de l’abolition des privilèges du 4 août 1789 en France, le Conseil Constitutionnel français a réinstauré l’idée de privilège inique associé de fait audit “passe sanitaire” .

Pire qu’au temps des lépreux (alors que V admet qu’il existe des “traitements”)

Une remarque intéressante dite par Nathalie Merci de l’association les “Pendus” (ces indépendants sacrifiés) dans la dernière émission remarquable de Putsch-Média (avec des débatteurs impeccables dont Anaïs Lefaucheux): au temps de la lèpre on n’enfermait que les lépreux et non pas des gens non malades ; d’autant qu’aujourd’hui la maladie est toujours, après un an et demi, bien peu mortelle à l’exception des personnes de plus de 84 ans et parce qu’elles ne sont pas soignées de façon précoce, chaque traitement possible étant attaqué empêché discrédité alors qu’ils marchent, même V a admis qu’il était désormais possible de prendre des “médicaments, des traitements” (voir ici à 30′) ce qui était poursuivi devant le Conseil de l’Ordre il y a peu.

Bilan 2020: Les “média” inquisiteurs meurent, vive la “ré-information”!

Les faits ne sont pas que des interprétations, le mot est distinct de la chose qu’il désigne, cette règle “simple” qu’Aristote pensait devoir préciser à l’encontre de Platon (mais celui-ci le savait en réalité…) a été oubliée par toute une génération, comme cela se voit aujourd’hui avec le climat et C-19, lorsqu’elle tord l’adage marxien stipulant qu’il ne faut pas seulement “interpréter les choses en question mais les transformer” en reconstruisant celles-ci conformément à leurs préjugés infondés ; ce qui est là une mésinterprétation totale à la fois de Marx et du journalisme.

C-19: confinement seconde saison ou la bêtise et la méchanceté au pouvoir

Lorsque le professeur Parola explique qu’ils vont bientôt être à court d’HCQ et que l’extension du traitement qu’il préconise avec de nombreux médecins fidèle au Serment d’Hyppocrate a été refusée par l’officine dédié alors que des dizaines d’études prouvent le contraire comme l’a martelé le professeur Perronne, et comme on peut le voir sur le site dédié, rien d’étonnant à ce que les réanimations et les morts soient en augmentation, c’est même logique (et si opportun…) au moment même de l’annonce de ce second emprisonnement, étouffement, destruction….

L’écologisme ou le dernier avatar de l’hyper-rationalisme

Cette idée, démesurée, que l’Homme, existant depuis un million d’années voire deux si l’on compte tous les hominidés, serait à même de bouleverser 4,6 milliards d’années d’évolution terrestre et 15 milliards d’années d’évolution cosmique en seulement 150 ans est symptômatique de cette prétention à se croire encore le centre de l’Univers. Alors que des bouleversements considérables, comme la fin de l’Ere glaciaire, à l’aube du Quaternaire, il y a deux millions d’années, n’ont rien à voir avec l’émergence humaine et, bien au contraire, lui ont permis de se propager : en un mot, c’est bien le réchauffement climatique qui a permis l’aventure de l’époque et non pas la glaciation.

La peur exponentielle

Le livre de Benoît Rittaud, mathématicien, agitateur d’idées, vient à point nommé pour rappeler que les superstitions, les grandes peurs ne sont pas estompées avec la montée en puissance de “la” science censée être la pointe du raisonnement le plus abouti. Bien au contraire. Et Benoît Rittaud montre bien avec plusieurs exemples que ce paradoxe atteint son paroxysme lorsqu’il s’avère que c’est celle-ci, la science (la “scientologie” en étant la forme la plus extrême)qui fomente principalement aujourd’hui ces superstitions et ces peurs.

Le bourrage de crâne s’amplifie

Sur tout. Surtout ces temps-ci sur ladite canicule, la Grèce, l’hyper-taxation promise du “Kapital au 21ème siècle”, “les” inégalités qui seraient toutes “injustifiées”, et in fine le Figaro, qui, sur toutes ces matières, serait la “Pravda”selon Mme Taubira (alors qu’elle incarne, à l’état quasiment pur, cet ex journal soviétique).