“Nous devons d’abord trouver un ordre du jour de la négociation, puis engager une négociation et pendant cette négociation, je suggère que, d’une part, les Six renoncent à saisir le Conseil de sécurité et que l’Iran renonce pendant la durée de la négociation à l’enrichissement de l’uranium”.
Comment peut-on vouloir poursuivre “une relation qui ne peut être qu’entre égaux” et non pas “une relation de soumission” avec les Etats-Unis tout en s’ingéniant, simultanément, à faire tout le contraire avec l’Iran ?
De la part de Chirac, Cette recherche perpétuelle et quasiment irrationnelle d’un consensus introuvable est tout à fait inquiétante; en effet, je ne vois pas de meilleur moyen d’offrir à l’Iran ce dont ce pays a le plus besoin aujourd’hui : DU TEMPS !
Vous avez dit : négociation ?…
Librement !