Dans cette optique, le sous-secrétaire d’Etat britannique à la Défense, Paul Drayson, vient d’ailleurs de déclarer : “Il est important pour EADS d’aller dans une direction qui soit libre d’interférence politique“.
C’est la voix de la raison qui, une fois de plus, s’exprime depuis la Grande-Bretagne. Sachant que les présidences d’EADS et Airbus sont issues, le plus souvent, côté français, de l’ENA et de l’X, alors en effet : bonjour les dégâts !
Et merci aussi pour l’emploi sacrifié sur l’autel de l’incurie d’Etat qu’on ne peut en l’occurrence même pas transformer, pour faire semblant de créer des (faux) postes de travail durables, en emplois-jeunes aux frais du cochon de payant !
Librement !