Trois jeunes femmes islamistes, portant la burqa, comparaissaient ce 16 février devant le tribunal de Bobigny (Seine-Saint-Denis, au nord-est de l'agglomération parisienne) pour une affaire de « vol de drapeaux en réunion ».
Elles avaient volé et arraché des drapeaux français le 11 novembre dernier. Les trois prévenues avaient refusé de participer à un stage de citoyenneté qui leur avait été proposé dans un premier temps en réparation de leurs actes.
Les trois jeunes fondamentalistes comparaissaient cette semaine devant le tribunal avec le soutien bruyant d’une cinquantaine de « grands frères ». Une quinzaine de CRS surveillaient l’accès au tribunal correctionnel.
Le procureur les a rappelé à l’ordre. « On doit être tolérant, mais il y a quand même des limites. » a t-il prononcé. (1).
Pour l’une de leurs amies, il s'agit pourtant bien d'un « procès politique » affirme Nadia, et « nous voyons très bien comment l'Etat français exerce la politique : la police, les interpellations, les procès, les convocations… La France veut faire d'un acte politique, un simple acte de délinquance ».
Pour l'association des anciens combattants, qui s'est porté partie civile dans cette affaire, ce drapeau « a une valeur symbolique et n'est pas qu'une représentation de l'État français ». Aussi, la partie civile a demandé un euro symbolique de dommages et intérêts. De son côté, après s'être interrogé sur la nécessité ou pas d'aller « au bout de la logique répressive », soit cinq ans d'emprisonnement prévus par la loi pour vol, le vice-procureur a finalement requis une peine de deux mois de prison avec sursis et 500 euros d'amendes par prévenus « pour ne pas qu'elles aient l'impression de sortir d'ici sans rien », a-t-il précisé, estimant par ailleurs qu'aller au-delà serait « donner trop d'importance » au dossier.
Un réquisitoire qui a laissé toutefois perplexe, l'avocat de la défense. « On ne le dit pas, mais on veut leur faire payer leurs convictions ». Car pour la défense, c'est bien de convictions religieuses qu'il s'agit… et rien d'autre. « Il y a eu confusion » a expliqué l'avocat des trois prévenues : « leur acte n'avait pas pour objectif de toucher à la symbolique du monument aux morts, bien au contraire », mais plutôt aux valeurs de liberté, d'égalité et de fraternité, incarnées par le drapeau tricolore et dont « se prévaut l'État français». « Pour elles, ce drapeau représente la négation et les nombreuses années d'assimilation de leur langue par l'État français. C'est aussi le symbole d'un État qui n'est pas capable aujourd'hui de respecter leur véritable statut… Alors qu'on donne des leçons sur les valeurs, d'accord, encore faut-il au préalable respecter celles des autres ».
Même si le délibéré sera rendu le 16 mars prochain, cette affaire mets déjà en lumière le degré de ressentiment islamiste de certaines françaises musulmanes envers la République laïque Française. Influencées, sous couvert de religion, par une idéologie conquérante et fondamentalement hostile à toutes les valeurs républicaines, certaines musulmanes préfèrent aujourd’hui les barbes et tchadors au drapeau français.
Des innombrables musulmanes de France sont tellement aveuglées et bâillonnées qu’elles imposent leurs lois, leurs coutumes, et ne sont ni respectueuses ni reconnaissantes de ce que le pays leur offre. Elles ne cherchent qu'à conquérir ces territoires par leurs manières sournoises et violentes. Ces femmes se permettent en France – et partout en Occident -de faire la leçon sur la tolérance, l'amour de son prochain, le respect de la femme alors qu'en terre d'Islam on voit leur état d'arriération quotidienne.
Ces femmes avancent toujours masquées, jamais à découvert. Cette engeance d'arriérée et d’illettrée la plupart, n’apporte rien à l'Occident sinon des soucis, des emboîtements et du terrorisme. Les actes parlent d'eux-mêmes.
Cette engeance est à combattre impitoyablement et lucidement car partout où elle s'incruste (des banlieues aux instances gouvernementales) elle sème le trouble et un esprit malfaisant. Pour la survie de la République, il faudra la mettre au pas, celui du respect et de l'obéissance envers la civilisation normale et humaine. J'ajoute que même les modérés musulmans, qui n'osent piper un mot, sont eux aussi coupables.
Tunis