29 mars 2024

Avec Israël, pour la raison

Chers amis,
Ces derniers jours, un groupe d'intellectuels juifs français a promu un appel (JCall – «Appel à la raison"), qui est essentiellement un appel à la reddition d’Israël.
L’appel JCall fait partie de la grande vague de dé-légitimation d'Israël et de sa politique.
Nous avons répondu avec la force de la vraie raison, les raisons d’Israël et nous désirons que le nombre et la qualité de nos signataires démontrent qu’il existe un grand mouvement d’opinion qui défend Israël, en Europe et dans le monde.

Ce qui suit est notre appel « avec Israël, avec la raison », que nous vous demandons, s'il vous plaît, de signer et de diffuser le plus que vous pouvez à travers vos contacts (le texte est en italien, anglais et français), pour rejoindre le plus rapidement possible notre objectif

Avec Israël, avec la raison

Le document Jcall agresse Israël et ses signataires sont inspirés par une vision myope de l'histoire du conflit israélo-arabe, et par un manque de perception claire du danger que court aujourd’hui Israël qui se trouve à l’avant poste d’une attaque physique et morale qui risque de s’étendre au monde entier. Il est étonnant que même des personnes aussi intelligentes et cultivées qu’Alain Finkielkraut et que Bernard-Henri Levy, plutôt que de s’occuper de l'Iran qui bientôt tiendra le monde entier à portée de sa bombe atomique, raisonnent comme des enfants avec l'idée que Benjamin Netanyahu est la vraie cause du blocage de la paix, parce qu’il ne voudrait pas mettre en péril sa coalition par l’arrêt de la construction dans les territoires. Il semble que les intellectuels signataires se fichent de la contribution que leur document apportera et apporte déjà au mouvement de dé-légitimation d’Israël et à la vague d’antisémitisme sans précédent qui menace concrètement et en premier lieu, la survie d'Israël.

Vouloir pousser Israël à des concessions territoriales, sans réciprocité signifie simplement vouloir le remettre aux mains de ses ennemis, sans aucune garantie : l'évacuation de Gaza qui s'est faite sans négociation, a donné des résultats désastreux, le territoire de Goush Katif abandonné par les habitants juifs est devenu une zone privilégiée de lancement de missiles par des terroristes. Ehud Barak, en étant prêt à céder à Arafat tout ce qu'il demandait, a tout simplement pavé la route à l’horrible deuxième intifada, avec ses deux mille morts tués dans des attentats suicide. L'évacuation du sud Liban en 2000 a permis le renforcement de l’arsenal balistique du Hezbollah et a conduit à la guerre de 2006.

Alain Finkielkraut, Bernard-Henri Levy et leurs amis prétendent se préoccuper du futur et de la sécurité d’Israël mais en fait ignorent l'élément de base qui a empêché le processus de paix d'aller de l’avant, le refus arabe et palestinien de reconnaître l'existence même d'Israël comme un fait permanent dans la région. Il leur suffirait de lire chaque matin la presse palestinienne et arabe pour s’en rendre compte. Aucune concession territoriale du genre de celle pronée par les intellectuels français avec tant d’énergie, ne peut garantir la paix. Seule le pourrait une révolution culturelle dans le monde arabe que personne ne réclame et encore moins Obama qui ne sait qu’exercer des pressions sur Israel. C’est la mode du temps présent.

L’attaque contre Netanyahou qu’on perçoit dans l’appel de Jcall est destiné à détruire sa coalition de droite. Mais en réalité, les propositions d’un gouvernement israélien, qu’il soit de droite ou de gauche n’ont jamais compté : les Palestiniens ont toujours refusé toutes les offres de paix.

Que le territoire d’Israël se réduise encore ne servira à rien tant qu’Abou Mazen [Mahmoud Abbas] continuera à inaugurer des places au nom de l’architerroriste Yehie Ayach, tant que le monde palestinien continuera à distribuer des bonbons lorsqu’on tue un jeune juif dans un quelconque lieu public, tant qu’ils n’accepteront pas la demande minimaliste de Netanyahou de reconnaitre que l’Etat d’Israël est l’Etat du Peuple juif.

Même les intellectuels israéliens semblent l’ignorer quand ils signent ce document qui va à l’encontre de ce qu’a écrit le prix Nobel, Elie Wiesel dans une très noble lettre de soutien à la ville de Jérusalem, « patrie morale et historique du Peuple juif ».

Cette triste épidémie conformiste est probablement censée fournir un peu d’oxygène à la gauche qui, ces dernières années, n’a rien fait d’autre que se tromper à répétition dans toutes ses hypothèses et a contribué à la diffamation d'Israël. Mais on n’aboutira à aucun processus de paix (et les offres généreuses d'Olmert rejetée par Abbas en attestent) tant qu'une grande partie du monde continuera à espérer que la destruction d'Israël est à portée de main, dans le sillage de la nouvelle excitation islamiste de l'Iran et de ses amis la Syrie, le Hezbollah, le Hamas, tous de plus en plus armés d’armes destructrices, pas seulement de vaines paroles comme les signataires de « l’appel à la raison ». Mais même les paroles peuvent tuer et détruire.

Devant une telle ignorance feinte de la réalité de la politique de main tendue engagée par Netanyahou depuis le discours de [l’Université de ] Bar Ilan, avec l’arrêt de 10 mois de toute construction dans les  implantations, le démantellement de nombreux postes de contrôles et la promotion de mesures importantes pour aider l’économie palestinienne, on ne peut nier le fait qu’il y ait un accroc “obamiste” dans le document Finkielkraut. Beaucoup d’intellectuels ne savent pas s’opposer à cet appel à cause de sa telle respectabilité de salon. Cela conduit les ennemis d’Israel, qui sont de plus en plus nombreux et de plus en plus aguerris à pouvoir dorénavant delégitimer et attaquer l’Etat d’Israël en se targuant d’un : “même de nombreux Juifs nous soutiennent”. Si tel était le but des signataires, ils l’ont atteint.

pour signer : http://www.petitiononline.com/israel48/petition.html

Premiers signataires :
 
Fiamma Nirenstein (journaliste et députée), Giuliano Ferrara (directeur du journal Il Foglio), Paolo Mieli (président de Rcs Libri, ex directeur du Corriere della Sera), Angelo Pezzana (journaliste, informazionecorretta.com e Libero), Ugo Volli (sémioloque, Università di Torino), Shmuel Trigano (professeur, Universités à Paris X-Nanterre), Giorgio Israel (Università La Sapienza), Giulio Meotti (journaliste, Il Foglio), Gianni Vernetti (député, ex sous-secrétaire des Affaires Etrangères), Susanna Nirenstein (journaliste), Peppino Caldarola (journaliste), Alain Elkann (écrivain, conseiller au Ministère de la culture), Carlo Panella (journaliste, Il Foglio), Emanuele Ottolenghi (Senior Fellow, Foundation for the Defense of Democracies), Daniele Scalise (journaliste), Giancarlo Loquenzi (Directeur, l’Occidentale), Edoardo Tabasso (professeur, Università di Firenze), Leonardo Tirabassi (président Circolo dei Liberi Firenze, Fondazione Magna Carta), Giacomo Kahn (Directeur mensile Shalom), Magdi Allam (parlamentaire européen), Luigi Compagna (sénateur), David Cassuto (ex maire-adjoint de Jérusalem), Riccardo Pacifici (président de la Communauté juive de Rome), Anita Friedman (Associazione Appuntamento a Gerusalemme), Leone Paserman (président de la Fondation du Musée de la Choa de Rome), Massimo Polledri (député), Enrico Pianetta (député, Président de l’Association parlementaire d’amitié Italie-Israël), Alessandro Pagano (député), Renato Farina (député), Marco Zacchera (député), Dore Gold (President, Jerusalem Center for Public Affairs, ancien ambassadeur d’Israël à l’ONU), Norman Podhoretz (Writer, Editor-at-Large, Commentary Magazine), Michael Ledeen (Freedom Scholar, Foundation for Defense of Democracies), Barbara Ledeen (senior advisor, The Israel Project), Phyllis Chesler (Emerita Professor of Psychology and Women's Studies, City University of New York), Nina Rosenwald (Editor-in-Chief, www.hudson-ny.org), Harold Rhode (ex-expert du Moyen-Orient au Pentagone) Caroline Glick (éditorialiste, Jerusalem Post), Rafael Bardaji (Foreign Policy director, FAES Foundation), Raffaele Sassun (Président du Keren Kayemeth LeIsrael Italien), Max Singer (a founder and Senior Fellow, Hudson Institute), George and Annabelle Weidenfeld (President, Institute for Strategic Dialogue), Anna Borioni, (associazione Appuntamento a Gerusalemme), Efraim Inbar (Director, Begin-Sadat Center for Strategic Studies), Zvi Mazel (ancien ambassadeur d’Israël en Egypte et en Suède), George Jochnowitz (Professeur émérite de linguistique, College of Staten Island)

From: info@fiammanirenstein.com
To: danilette@hotmail.com
Subject: "Con Israele, con la ragione": una risposta a JCall – sostenetela
Date: Thu, 6 May 2010 13:32:07 +0200

   
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"Con Israele, con la ragione": una risposta a JCall – sostenetela

 
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Cari amici,
nei giorni scorsi, un gruppo di intellettuali francesi ebrei ha promosso un appello (JCall – "Appello alla ragione"), che è sostanzialmente un invito a Israele ad arrendersi.
L'appello di JCall fa parte della grande ondata di delegittimazione dello Stato d'Israele e della sua politica.
Noi abbiamo risposto con la forza della vere ragioni, le ragioni di Israele, e vogliamo che il numero e la qualità dei nostri firmatari dimostrino che esiste un grande movimento d'opinione che difende Israele, in Europa e nel mondo.
Questo che segue è il nostro appello "Con Israele, con la ragione", che vi prego di firmare e di diffondere il più possibile tramite i vostri contatti (il testo è in italiano e in inglese e sta per essere tradotto in francese), per raggiugere quanto prima il nostro obiettivo.

                               FIRMA L'APPELLO "CON ISRAELE, CON LA RAGIONE"

Prime firme:
Fiamma Nirenstein (giornalista e deputato), Giuliano Ferrara (direttore de Il Foglio), Paolo Mieli (presidente Rcs Libri, ex direttore del Corriere della Sera), Angelo Pezzana (giornalista, informazionecorretta.com e Libero), Ugo Volli (semiologo, Università di Torino), Shmuel Trigano (professore, Universités à Paris X-Nanterre), Giorgio Israel (Università La Sapienza), Giulio Meotti (giornalista, Il Foglio), Gianni Vernetti (deputato, ex Sottosegretario agli Esteri), Susanna Nirenstein (giornalista), Peppino Caldarola (giornalista), Alain Elkann (scrittore, consigliere Ministero Beni Culturali), Carlo Panella (giornalista, Il Foglio), Emanuele Ottolenghi (Senior Fellow, Foundation for the Defense of Democracies), Daniele Scalise (giornalista), Giancarlo Loquenzi (Direttore, l’Occidentale), Edoardo Tabasso (professore, Università di Firenze), Leonardo Tirabassi (presidente Circolo dei Liberi Firenze, Fondazione Magna Carta), Giacomo Kahn (Direttore mensile Shalom), Magdi Allam (parlamentare europeo), Luigi Compagna (senatore), David Cassuto (ex vicesindaco di Gerusalemme), Riccardo Pacifici (presidente Comunità Ebraica di Roma), Anita Friedman (Associazione Appuntamento a Gerusalemme), Leone Paserman (presidente della fondazione Museo della Shoah di Roma), Massimo Polledri (deputato), Enrico Pianetta (deputato, Presidente Associazione parlamentare di amicizia Italia-Israele), Alessandro Pagano (deputato), Renato Farina (deputato), Marco Zacchera (deputato), gennaro malgieri (deputato), Dore Gold (President, Jerusalem Center for Public Affairs, former Ambassador of Israel to the UN), Norman Podhoretz (Writer, Editor-at-Large, Commentary Magazine), Michael Ledeen (Freedom Scholar, Foundation for Defense of Democracies), Barbara Ledeen (senior advisor, The Israel Project), Phyllis Chesler (Emerita Professor of Psychology and Women's Studies, City University of New York), Nina Rosenwald (Editor-in-Chief, www.hudson-ny.org), Harold Rhode (esperto di Medioriente, ex Pentagono) Caroline Glick (editorialista, Jerusalem Post), Rafael Bardaji (Foreign Policy director, FAES Foundation), Raffaele Sassun (Presidente Keren Kayemeth LeIsrael Italia), Max Singer (a founder and Senior Fellow, Hudson Institute), George and Annabelle Weidenfeld (President, Institute for Strategic Dialogue), Anna Borioni, (associazione Appuntamento a Gerusalemme), Efraim Inbar (Director, Begin-Sadat Center for Strategic Studies), Zvi Mazel (former Ambassador of Israel to Egypt and Sweden), George Jochnowitz (Professor emeritus of Linguistics, College of Staten Island)

                                    "CON ISRAELE, CON LA RAGIONE"

L’aggressione a Israele dei firmatari del documento Jcall è ispirata da una visione miope della storia del conflitto arabo-israeliano, da una mancanza di percezione chiara del pericolo che Israele corre oggi di fronte a un grande attacco fisico e morale. E’ addirittura incredibile che personaggi intelligenti e colti come Alain Finkelkraut e Bernard-Henri Levy, invece di occuparsi dell’Iran che ben presto terrà tutto il mondo nel raggio della minaccia della sua bomba atomica, bamboleggino con l’idea che Benjamin Netanyahu sia il vero ostacolo alla pace, che l’impedimento essenziale per giungere a una risoluzione del conflitto sia un ipotetico, riprovevole atteggiamento israeliano. Sembra che gli intellettuali firmatari ignorino la realtà e inoltre che se ne infischino del contributo che il loro documento darà e sta già dando al movimento di delegittimazione senza precedenti che minaccia concretamente la vita di Israele.
Voler spingere Israele a concessioni territoriali senza contraccambio significa semplicemente consegnarsi nelle mani del nemico senza nessuna garanzia: lo sgombero di Gaza, compiuto senza trattativa, ha portato risultati disastrosi, il territorio lasciato dagli abitanti di Gush Katif è diventato un’unica rampa di lancio per missili e terroristi; la trattativa di Ehud Barak, intesa a cedere a Arafat praticamente tutto quello che chiedeva, portò semplicemente all’orrore della seconda Intifada, con i suoi duemila morti uccisi da attentati suicidi. Lo sgombero della fascia meridionale del Libano nel 2000 ha rafforzato gli Hezbollah, li ha riempiti di missili, ha condotto alla guerra del 2006.
Alain Finkelkraut, Bernard-Henri Levy e i loro amici sostengono di preoccuparsi per il futuro e la sicurezza d’Israele, ma di fatto ignorano l’elemento basilare che ha impedito ai processi di pace di andare in porto, ovvero il rifiuto arabo e palestinese di riconoscere l’esistenza stessa dello Stato d’Israele come dato permanente nell’area. Basterebbe che ogni mattina leggessero la stampa palestinese e araba e se ne renderebbero conto. Nessuna concessione territoriale di quelle che gli intellettuali francesi sembrano desiderare con tanta energia può garantire la pace, ma solo una rivoluzione culturale nel mondo arabo. E nessuno la chiede, nemmeno Obama che invece preme solo su Israele. E’ divenuta la moda di questo tempo.
L’attacco a Netanyahu che si legge nell’appello di Jcall è volto a destrutturare la sua coalizione di destra. Ma la realtà è che non è mai contato nulla che un governo israeliano fosse di destra o di sinistra: i Palestinesi hanno sempre comunque rifiutato ogni proposta di pace.
Ma che Israele diventi ancora più piccolo non servirà a niente finché Abu Mazen non rinuncerà a intitolare le piazze al nome dell’arciterrorista Yehiya Ayash, finché il mondo palestinese non smetterà di distribuire caramelle quando viene ucciso un ragazzo ebreo in qualche ristorante, finché non accetterà la richiesta davvero minimalista di Netanyahu di riconoscere che lo Stato di Israele è lo Stato del popolo ebraico.
Sembrano ignorare questo dato evidente anche gli intellettuali israeliani che hanno firmato un documento addirittura contro il premio Nobel Elie Wiesel che ha scritto una nobilissima lettera in sostegno di Gerusalemme come patria morale e storica del popolo ebraico.
E’ una triste epidemia perbenista, con la quale probabilmente si pensa di fornire un po’ d’ossigeno ai movimenti pacifisti che in questi anni non ha saputo altro che fallire ripetutamente sullo scoglio della cultura dell’odio islamista e contribuire alla diffamazione di Israele. Ma non si arriverà a nessun processo di pace (e le generose offerte di Olmert rifiutate da Abu Mazen ne fanno fede) finché una larga parte del mondo non smetterà di sperare che la distruzione di Israele sia dietro l’angolo, sulla scia della nuova eccitazione islamista dell’Iran e dei suoi amici Siria, Hezbollah, Hamas tutti sempre più armati di armi letali, e non solamente di vane parole, come i firmatari dell’”appello alla ragione”. Ma anche le parole possono uccidere e distruggere.
Non ci sfugge, di fronte a una così evidente ignoranza della politica della mano tesa di Netanyahu con il discorso di Bar Ilan e il congelamento di dieci mesi degli insediamenti, lo sblocco di molti check point e la promozione di importanti misure per agevolare l’economia palestinese, che sia presente nel “documento Finkelkraut” un traino obamista, un perbenismo da salotto buono cui spesso gli intellettuali non sanno dire no. Esso mette i nemici di Israele, e sono più di sempre e più agguerriti, nella condizione di delegittimare e attaccare lo Stato ebraico, dicendo: “Anche molti ebrei sono dalla nostra parte”. Se questo era lo scopo dei firmatari, lo hanno raggiunto.

                                 FIRMA L'APPELLO "CON ISRAELE, CON LA RAGIONE"

"STAND FOR ISRAEL, STAND FOR REASON"

The attack against Israel by the Jcall document is inspired by a short-sighted view of the history of the Arab-Israeli conflict. In fact, the signatories of this appeal do not have the clear perception of the global physical and moral threat to which Israel is currently exposed. It is indeed incredible that intelligent and cultivated people like Alain Finkelkraut and Bernard-Henri Levy – instead of dealing with Iran that will soon keep the whole world under the threat of the range of its atomic bomb – play with the idea that Benjamin Netanyahu is the true hindrance to peace, that the essential obstacle to a resolution of the conflict is a reproachable attitude of Israel. The intellectuals who have signed the French document ignore history and don’t care about the help that it will give and is already giving to the unprecedented delegitimization threatening the life of Israel.
 
Pushing Israel to concessions without rewards, simply means to surrender the enemy without any guarantee: the unilateral withdrawal from Gaza has produced disastrous consequences, the land Gush Katif inhabitants has been kicked out from is since then a launching pad for missiles and terrorists; Ehud Barak’s concessions in Camp David, designed to give Arafat practically everything he was asking for, led to the horror of the second Intifada, with its two-thousand people killed by suicide attacks; the evacuation of Southern Lebanon in 2000 strengthened the Hezbollah, supplied them with 40,000 missiles and led to the 2006 war.
Finkelkraut, Henri Levy and their fellow signatories claim that they are concerned about the future and the security of Israel. But they actually ignore the basic element that has prevented success of any peace process, namely the Arab and Palestinian refusal to recognize the very existence of the State of Israel as a permanent nation-state in the Middle East. This all-encompassing rejection of Israel’s right to exist is reflected day by day in the Palestinian and pan-Arab media.
The attack against Netanyahu aims at breaking up his right wing coalition. But it actually never mattered whether an Israeli government was right or left: anyhow the Palestinians refused any proposal of peace.
Israeli land concessions like the ones the French intellectuals advocate will never bring peace. Only a cultural revolution in the Arab world can achieve it, but nobody asks for that, not even Obama, who devotes US great strength to pressure only Israel. This is the current fashion.
Peace will not come because Israel becomes smaller. What will bring us closer to peace is if Palestinian Authority leader Mahmoud Abbas stops naming public squares after mass-murderers like Hamas bombmaker Yehiya Ayash; if the Palestinians stop passing out candies when Jewish families are murdered by suicide bombers in restaurants; and when the Arab world accepts Netanyahu’s modest request to recognize the State of Israel as the State of the Jewish people.
This reality is ignored as well by the Israeli intellectuals who have signed a document against the Nobel Peace Prize laureate Elie Wiesel, who wrote a very noble letter to support Jerusalem spiritual core and historical homeland of the Jewish people.
This sadly politically correct epidemic is probably designed to give some oxygen to the defeated pacifist movements that is actually able only to crash against the rock of the Islamist hatred culture and to defame Israel. But in this approach there is no contribution to any better future for the Middle East: the world must find the courage to face the new Islamist frenzy that springs from Iran, Syria, Hezbollah and Hamas and points to the destruction of Israel. Iran and its allies are of course arming themselves with lethal weapons, not with vain words, like those who signed “The Call for Reason”. But even words can kill and destroy.
The signatories of the J-Call manifesto show a blatant ignorance of the extended hand policy adopted by Netanyahu since his Bar Ilan speech in June 2009, the ten-months settlements freeze, the lifting of many check points and the adoption of important measures to ease the Palestinian economy. And you can clearly see that the “Finkelkraut document” has an Obama flavour, a prissy and respectable trendy attitude intellectuals are often unable to say no. This makes possible nowadays to the increasing number of Israel’s enemies to delegitimize the Jewish State rejoicing “even the Jews are with us”. If this was the signatories aim, they have indeed achieved it.

                        SIGN THE PETITION "STAND FOR ISRAEL, STAND FOR REASON"
 

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