Pour revenir à l’analyse sérieuse, l’extrême droite, la vraie, a toujours été du côté de l’islam, Hitler y voyant même un modèle politique parfait fabriquant des guerriers envoûtés capables d’aller au combat sans broncher, au contraire du modèle libéral fomenté par l’hédonisme et ses versants juifs qui ont donné le pacifisme et l’acceptation du joug comme les juifs ont connu avant la création d’Israël ; et d’ailleurs certains sadiques (et masochistes) leur proposent de revenir à cette époque de dhimmitude. C’est que le véritable ennemi pour l’extrême droite c’est le juif pas le musulman. Aussi celles et ceux qui propagent cette douce ignorance sur la critique de l’islam comme étant d’extrême droite se trompent évidemment de cibles (ils se trompent exprès passant d’un antisémitisme coco démodé à un antisionisme salvateur comme l’a si bien analysé Pierre-André Taguieff). Ils font penser à ces staliniens allemands qui allaient attaquer dans les années 30 des meetings sociaux-démocrates en les traitant de social-fascistes sous l’oeil ravi des nazis qui n’en demandaient pas tant.
Le fait que les mosquées soient à moitié vides lorsqu’elles sont considérées comme trop modérées (le cas de la Grande Mosquée de Paris) devraient pourtant inquiéter nos pourfendeurs de dragons imaginaires. Quant aux mosquées « halal » celles-ci peuvent servir de centre de propagation de l’inégalité et de la haine, surtout lorsqu’elles sont financées par l’Arabie Saoudite, les cas deviennent innombrables en Allemagne, Suède, Hollande, Royaume Uni…
Mais comme en France le misérabilisme et la victimisation méprisante ont fait de l’islam la religion des pauvres, écrire en ce sens ne sert plus à rien, autant p… dans un violon, on verra bien le résultat bientôt dans les urnes.