28 mars 2024

Samizdat – le retour

Notes de synthèse

Élections US

Contrairement à ce qui est dit, on ne saura pas encore si Joë Biden va pouvoir jouir (tout provisoirement vu sa sénilité galopante) du bénéfice d’une fraude qui aurait laissé pantois les staliniens polonais de 1946 et leurs camarades Tchécoslovaques organisateurs et bénéficiaires du « coup de Prague » (1949).

Il faudra attendre le 6 janvier et l’ouverture des votes des grands électeurs, par le Président du Sénat, pour savoir si cette fraude massive disposera ou non des 270 mandats nécessaires à la désignation légale du candidat des médias.

En attendant, les USA vont probablement continuer de connaître d’importantes manifestations, d’autant que les derniers sondages montrent : que plus de 60% d’américains pensent, à tort ou à raison, que la victoire électorale de Joë Biden n’est pas honnête, qu’elle n’est pas due à une majorité d’électeurs américains en droit légal de voter. A suivre, donc.

Déconfinement

Comme je l’indiquais dans la note 33, le pouvoir et ses chiens-courant, dans les médias et le corps médical, continuent leur campagne de panique.

On n’a pas vu les 400 mille décès doctement pronostiqués pas un des Lyssenko de la nouvelle société du dix décembre. A l’inverse, le nombre de décès C19 décroît ; sachant par ailleurs, qu’il n’est pas certain que l’on ait effectivement cessé de compter « covid 19 » des décès dus à de toutes autres causes.

 

Néanmoins, la campagne d’affolement ne faiblit pas, puisque, explique t’on sur toutes les antennes et dans les journaux, le nombre de « cas » quotidiens ne diminue pas.

Les « cas », rappelons-le, ce ne sont pas des malades. Les « cas », ce sont des personnes détectées « positives », même si elles ne souffrent de rien ou n’ont parfois que des symptômes guère plus graves qu’un rhume classique…

Je voudrai revenir sur la comparaison que je faisais avec la situation des années 1956 et 1957.

La grippe épidémique de ces deux années a frappé et tué en France et dans le monde quatre fois plus de personnes que le C19. Mais la société ne s’est rendue compte de rien, en dehors des personnes frappées et décédées et de leurs familles.

Si les choses s’étaient passées comme en 2020, il n’y aurait pas eu les « trente glorieuses », la France serait devenue un champ de ruines, une vallées de misères comme le Bangladesh ou comme d’autres pays dans lesquels la population ne dispose pas du minimum vital, sans parler d’un confort élémentaire.

C’est cet avenir de précarité aggravée et de misère que les « confinateurs » et autres « distanciateurs » -agissant comme des Attila vis à vis de l’économie et des relations sociales- préparent à la jeunesse de ce pays, sans parler des anciens dont on veut réduire drastiquement les pensions de retraite.

En 2020, pour une épidémie quatre fois moins grave qu’en 1956-1957, on a – en l’occurrence le pouvoir et ses agences médicales et médiatiques- décidé de jeter le trouble et l’effroi et provoquer, grâce à cela, une sorte de révolution, ou plutôt une profonde contre-révolution- dans les rapports entre les individus, en les fondant sur la peur permanente de la contamination…

C’est pour rester sur cet axe stratégique que le pouvoir continue de jouer avec les nerfs de la population, qu’il la nargue par des mesures bureaucratiques et policières toutes en apparence absurdes.

La répression

La semaine passée nous aura appris qu’un professeur de médecine, le Professeur Pourtillan a été interné d’office, sur ordre du préfet de la région d’Uzès.

Ce scientifique d’un certain renom ayant -parmi ses crimes, des « crimes » que l’on semble vouloir en haut lieu expliquer par une démence grave justifiant son placement « médical »  administratif, sans prescription médicale- participé au film documentaire « hold up ».

Crime « complotiste », ce film donne des éléments montrant que la pandémie n’en serait pas forcément une, qu’elle déclinerait des objectifs planétaires dont on devrait avoir quelques raisons de s’alarmer.

Ce « complotisme » -comme dans l’Urss stalinienne de Brejnev où l’opposition politique à la dictature bureaucratique était devenue « une maladie mentale » soignée en asile psychiatrique spécial par des psychiatres membres et ayant rang de colonel du KGB- ce « complotisme » a amené un Préfet à décider la privation médicale administrative de liberté.

Dans une note précédente, je mettais en garde contre le fait que le pouvoir était poussé dans la voie de la répression par une sorte d’effet mécanique de ses mensonges.

La cause : le pouvoir sachant qu’il transforme le pays en champs de ruines, en vallée de misère, redoute des réactions d’ampleur nationale.

Il veut intimider.

Il lui faut donc, préventivement, tenter de « normaliser » la société, faire en sorte qu’elle ne puisse ni penser ni chercher à se défendre.

Exiger liberté immédiate et sans condition pour le professeur Pourtillan

c’est bien plus qu’un devoir moral,

c’est une façon de défendre notre liberté personnelle menacée !

Note de synthèse 33 du jeudi 10 décembre 2020

 

La nouvelle société du 10 décembre

On se souvient peut-être que Karl Marx baptisera ainsi les hommes regroupés autour de Louis-Napoléon Bonaparte et du Duc de Morny.

Pour le polémiste, révolutionnaire « prolétarien », la société bonapartiste du « 10 décembre » se caractérisait par le cynisme et la corruption politique et morale.

 

Peut-on parler de société du dix décembre,

si l’on songe à Macron-Véran-Delfraissy, au DGS et aux Lyssenko les accompagnant?

Je laisserai la question ouverte, ne retenant, à cette étape : (que) le cynisme et le mensonge, l’absence de scrupule et de respect pour la personne de chaque français, le recours à la peur, en tant que principaux ingrédients de la gouvernance Macron.

 

Le suspens savamment entretenu autour du déconfinement, en rapport avec la fête de Noël, illustre mon propos.

Pour jouer avec les nerfs des Français, Badinguet-le petit a décidé d’une jauge, parfaitement arbitraire, totalement artificielle : à savoir que le « virus » n’ait pas contaminé plus de 5000 personnes dépistées, par jour. On en serait, paraît-il, à 10000 contaminations quotidiennes.

 

La société du dix décembre est, pour cela, en plein débat interne. Avec son conseil de défense, elle va peser le pour et le contre, quant aux nouvelles brimades qu’elle va probablement décider : couvre-feu plus tôt en soirée et autres joyeusetés continuant de pousser le pays vers le gouffre de la ruine, devenant la proie d’un chômage massif et d’un paupérisme sans précédant dans une société moderne.

Toutes ces mesures brutales, d’autres « très dures » annoncées par Emmanuel Macron, sont prétextées par la protection des anciens qualifiés de « personnes les plus vulnérables ». Or ce sont ces mêmes personnes que les conseils d’Emmanuel Macron (les Moscovici, Attali, d’autres) considèrent comme étant ceux qui vont devoir mettre la main au porte-monnaie (baisse des pensions, augmentation spécifique de la fiscalité ou des cotisations sociales…) pour participer, activement, au coût de la destruction « sanitaire » de l’économie de ce pays.

 

La pandémie n’explique rien, ne justifie rien

J’évoquais, dans ma note 32, la grippe de 1956-1957.

Je veux insister sur le fait que : pour 43,7 millions de Français, la grippe de 1956-1957 a tué cent-mille personnes, ce qui correspondrait, en 2020, proportionnellement, à 153 318 tués par le C19, soit presque trois fois le nombre de personnes déclarées décédées de cette cause.

 

La France de 1956-1957 n’a pas été saccagée, les libertés n’ont pas été suspendues

La France de 1956-1957 n’a pas été mise en jachère ; elle n’a pas été plongée dans le marasme ni soumise aux caprices et à la tyrannie de VRP de marchands de vaccins faits à la va-vite, sans même savoir à quoi exposent ou n’exposent pas les technologies géniques incorporées dans le « vaccin » présenté comme étant le messie d’une société à laquelle on a interdit de recevoir tout traitement au début de la pathologie.

Si la France de 1956-1957 avait été traitée comme la France de 2020, elle n’aurait jamais connu les trente glorieuses, elle ne serait qu’un champ de ruines.

Note de synthèse 32 du lundi 7 décembre 2020-12-07

Revenons sur deux évènements pandémiques et comparons les :

la grippe de 1957-1958 et l’épidémie dite du covid 19

 

pays Population mondiale

 

 

1956/57 : 2,737 milliards

grippe dite Asiatique

 

 

 

2019/2020 : 7,8 milliards

C19

Population locale « Cas » contaminations

 

 

 

 

 

67 027 780

Guérisons

 

 

 

 

 

 

43 062 006

Décès

 

 

1,1 à 4 millions

selon les estimations

soit 0,000407 par million d’habitants

 

1, 535 492 millions

soit 0,000196 par million d’habitants

 

 

 

France 1956/1957/grippe

 

 

2019/2020/C19

44 millions

 

 

67 millions

 

 

2 292 497

 

 

169 586

100 000 = 2272,72 par million d’habitants

 

55 155 = 24064 par million contaminé

= 825,56 par million d’habitants

USA 1956/1957 grippe

 

 

2019/2020 C19

172 millions

 

 

330 millions

 

 

 

14 825 158

 

 

116 000 = 674,418 par million d’habitants

 

282 313 = 19043 par million contaminé

= 855,49 par million d’habitants

 

Brésil

 

1956/1957 pas de chiffres connus

 

2019/2020 C19

 

 

 

209,5 millions

 

 

6 603 540

 

5 776 182

 

176 962 =26798, par million contaminé

= 844,687 par million d’habitants

 

 

 

Quelles premières conclusions en tirer ?

 

Observe t’on une gravité, une ampleur, une létalité beaucoup plus grande du virus apparu fin 2019 que celui qui a sévi en 1956-1957 ? Si tous les cas de personnes déclarées décédées sont réellement l’effet du C19 et non de leur cancer ou d’autres causes de létalité:

 

  1. Sans être épidémiologiste, les données des organismes officiels montrent : que les pandémies, depuis la grippe russe de la fin du 19ème siècle, ont une durée de deux ans. Il n’y a donc aucun mystère, ni d’anomalie particulière, ni de résultat d’une irresponsabilité coupable des populations, si « la chaîne de transmission» n’est pas stoppée après quelques semaines ou mois et si le virus continue de « circuler ». On peut dire, à l’inverse, qu’en se fixant cet objectif -la « rupture de la chaîne de circulation »- qui ne peut être atteint (une sorte de mouton à cinq pattes), le gouvernement et la clique de Diafoirus qui l’entoure ont une idée derrière la tête, ou alors, s’ils ne n’ont aucune idée malintentionnée : ils ne sont qu’une bande d’individus stupides, particulièrement ignares et absolument incompétents.
  2. la pandémie de 2020-2021, rapportée aux populations totales, n’est manifestement pas plus beaucoup plus létale que la grippe de 1956-1957. La différence entre les deux évènements épidémiques réside principalement dans le traitement politique mondialisé qui est fait de la pandémie de 2020: la différence réside dans un traitement politique globalisé semant la panique, partout ; la cultivant jour et nuit, sur tous les tons et à propos de tout et de rien. Pour enraciner la peur, le président de la république élyséenne a agité le spectre de quatre cent-mille décès, dus au C19, à la mi-novembre, si l’on n’adoptait pas les mesures liberticides et destructrices de secteurs économiques entiers et de régions qu’il allait décider de faire mettre en œuvre par la bureaucratie et les moyens de police.
  3. A l’inverse de la prédiction apocalyptique du chef de la « république en marche », l’épidémie a décru. L’augmentation épidémique est basée sur un jeu de mot, l’emploi du terme « cas». Les cas sont les personnes trouvées positives. Sont-elles malades ? Se plaignent-elles de quelque chose ? Certaines, oui, beaucoup d’autres -et c’est l’écrasante majorité- ne se plaignent de rien ou de pas grand-chose. Mais attention, nous disent nos Diafoirus et leurs associés : si peu de gens souffrent de quelque chose, à cause du covid, ils peuvent cependant le transmettre ; et quand ils le transmettent, ils peuvent communiquer à des personnes fragiles ou particulièrement vulnérables…alors pour ne pas que cela se produise : finissons-en pour longtemps, sinon pour toujours, avec la vie sociale normale ; distancions-nous en permanence ; supprimons de fait l’exercice des libertés de réunions (familiales, associatives, culturelles et artistiques, syndicales, politiques..).
  4. on observera aussi, que rapporté à la population globale des USA, et sachant qu’il a existé dans ce pays (comme en France) la tendance à déclarer décédées C19 des personnes mortes de toutes sortes d’autres causes, la mortalité n’est pas beaucoup plus grande en 2019 -du fait du C19- qu’en 1956-1957 du fait de la grippe asiatique. En d’autres termes, pour les USA, comme pour les autres pays, les mesures prises -à l’unissons, comme s’il existait une autorité supranationale dont les décisions sont impératives- ont enclenché la démolition, quasi mécanique et méthodique, de la vie sociale, hypothéquant l’avenir de deux ou trois générations ?

 

Dernières déclarations d’Emmanuel Macron

 

Ses dernières paroles on intrigué, inquiété même. Elles ont plusieurs sens possibles.

Le sens le plus simple : la brutalité (Macron emploie le mot « dureté ») des mesures qu’il prendra fin 2021 feront, qu’il ne se représentera pas. Pourquoi ?

 

C’est le pourquoi, qui intrigue et/ou inquiète

 

  1. parce qu’il décidera de ne pas briguer un second mandat ? sa popularité avoisinant zéro pour cent, il irait tout droit à l’échec s’il se représentait, avec des conséquences qu’il redoute (victoire de « populismes»)?
  2. parce qu’il n’aura pas à se représenter, son mandat étant prolongé de fait parce qu’il décidera le renvoi à « plus tard» des élections présidentielles, « la crise sanitaire ne permettant pas de se rendre aux urnes » ?
  3. parce qu’il aura acquis suffisamment de pouvoir, face à des oppositions politiques et syndicales atones -intoxiquées par les bobards relatifs à la « crise sanitaire »- et qu’une gouvernance transnationale globale aura alors émergée ? Gouvernance à laquelle le président Macron remettra ses moyens d’autorité régalienne (scénario Soros) ?
  4. dans tous les cas de figure, cette déclaration recouvre et annonce des intentions « les plus brutales» contre la population, contre les salariés, contre le droit du travail, contre les retraités. Elle sonne : comme une déclaration de guerre à outrance contre la quasi totalité de la population de ce pays.

 

Note de synthèse N°31 du lundi 30 novembre 2020

 

Vaccine or not vaccine ?

L’organe quotidien officieux du ministre de l’a-santé fait sa Une en ces termes : « Covid19, comment vacciner partout en France » avec un dossier allant des pages 2 à 4.

 

Note de synthèse N°30 du vendredi 27 novembre 2020

 

Je veux rappeler, que le Samizdat fut l’outil, dans la décennie soixante-dix du siècle passé, utilisé par ceux que le stalinisme, sous Brejnev, persécutait. Ils tentaient par tous les moyens de s’adresser aux citoyens de la défunte URSS. Le Samizdat fut une sorte de dazibao clandestin, indépendant de la dictature.

 

Le discours du prince élyséen bouleverse

Il prend à la gorge. Il pousse des gens vers le suicide (déjà cinq à ma connaissance). Il se caractérise, essentiellement, par un cynisme bureaucratique échevelé, sans précédant.

La question des remonte-pentes est un exemple des défis jetés au bon sens, un défi combinant dans ce cas la bêtise abyssale d’une ministre avec son parfait mépris pour les personnes, lorsqu’elle argumente, débitant : que c’est pour éviter que des moyens hospitaliers réservés à d’éventuels C19 ne soient employés pour des personnes qui se seraient fait une fracture, parce qu’elles auraient pris un remonte-pente, qu’elle prohibe l’usage de celui-ci.

Le même bureaucratisme ravageur se décline pour les restaurants. Leur fermeture, en particulier celle des grands restaurants de fruits de mer, ampute les revenus, déjà bas, sinon insuffisants, des derniers marins-pêcheurs pratiquant la pêche côtière. Résultat : les survivants du métier de marin-pêcheur vont être noyés, économiquement assassinés, par les caprices « sanitaires » du Caligula élyséen et par ceux de sa Cour de Lyssenko et de Diafoirus confinateurs.

 

Je voudrai dire quelques mots sur le vaccin Pfyzer « efficace à 90% », dont la bureaucratie régnante à Bruxelles a acheté quelques millions de doses, avec l’argent qu’elle puise dans nos poches.

Le Professeur Caumes, infectiologue à l’hôpital de la Salpétrière, répondant à des questions du journaliste Pujadas, exprimait bien plus que de l’inquiétude, pour l’inoculation dans quelques semaines d’un produit mis sur le marché sans les véfications habituelles prenant beaucoup de temps. Rappelons ici que les dirigeants de Pfyzer ont, de leur côté et sans tarder, pris quelques précautions.

Il ne s’agit pas de précautions d’ordre médical, concernant l’innocuité du produit

En cas d’effets secondaires graves, -en ces cas précédemment constatés de maladies auto-immunes, contre lesquelles on ne peut rien sinon subir et assister à la dégradation plus ou moins lente ou rapide de la santé de la personne ayant reçu certains vaccins, comme il s’en est produit beaucoup trop ces dernières années-, les malades et les familles ne pourront pas poursuivre les dirigeants de Pfyzer.

Vaccin, comme celui contre la rage et la variole, ou poison ?

 

C’est dans ce contexte, qu’un groupuscule de fanatiques – des gens siégeant à l’assemblée nationale dans le groupe Agir- propose une loi. Elle imposerait la traque et l’isolement des personnes positives au C19, ainsi que traque et isolement de leurs contacts.

Quiconque se soustrairait à cette nouvelle obligation légale -qui imposerait nécessairement un contrôle constant de tous et de chacun, un contrôle permanent, un contrôle constituant par définition une transition vers une « nécessaire » numérisation, vers un puçage, de la personne humaine, comme il est ouvertement réclamé par Bill Gates- s’exposerait, pour commencer, à une amende de dix mille euros.

La tyrannie est en Marche, la république menace de succomber !

 

 

 

 

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