le 21 avril 2002, sous le choc, tu as pensé que tu étais personnellement responsable du séisme qui avait envoyé la gauche au diable Vauvert, c’est-à-dire en enfer.
En conséquence de quoi tu avais décidé à l’époque, certes à chaud mais en te conduisant en homme, que tu devais dignement et définitivement abandonner la politique.
Aujourd’hui, 26 août 2006, t’exprimant devant les Jeunes socialistes à La Rochelle, tu accuses implicitement le peuple français de t’avoir trahi le 21 avril 2002.
Lionel, si tu veux dire par là que le peuple ayant mal voté il faut changer le peuple félon, alors crois-moi sur parole : punis-le sévèrement en rentrant tout droit à la maison.
Librement !