Certains “soumis” vont jusqu’à oser dire que les assassins auraient réagi à un “délit de sale gueule” parce que les vigiles dans le bal leur auraient demandé aux quatre qui étaient déjà là de déposer leur quincaillerie (de 20 cm) comme un phallus imaginaire qu’ils voulaient sans doute imposer en importunant d’où l’intervention des responsables de la sécurité ; et au lieu d’acquiescer d’aller faire la fête ailleurs (pourquoi d’ailleurs sont-ils obligés de se déplacer à 20 km de leur base ne peuvent-ils pas organiser leur propre bal ?) ils attaquent “à l’aveugle” disent les témoins, ce qui s’apparente bien en effet à un assassinat raciste tuant pour ce que ce l’on est et non ce que l’on aurait fait.
Ce n’est donc ni une rixe ni un rè
glement de compte comme les médias soumis l’expliquent avec empressement mais une imitation de ce qui a été fait en Israël lors du festival de musique : assassiner ceux qui vivent ce que l’on aimerait faire, et en jouir de façon morbide.
Aussi, lorsque, au même moment, le chef de la Secte de La France Islamique, met, de fait (mais sans le dire) ce qui s’est déroulé à Crépol au même niveau que la confrontation, non préméditée, entre des jardiniers originaires d’Afrique du Nord et un voisin voulant passer alors que la camionnette des premiers l’en empêchait, ce relativisme, honteux, doublé en plus d’une généralisation sur les actes “arabophobes” (alors que les actes antisémites sont mille fois plus importants) exprime bien le degré crasseux atteint par cet énergumène à la gueule défigurée par un rictus permanent d’envieux raté, un hasbeen bien plus qu’un wannabe, obligé de se taper les “faits divers” pour s’en servir comme fiel et fioul alors que d’autres de ses “amis” se la coulent douce à Caracas, la Havane, au Qatar amassant une fortune impressionnante dans le terrorisme, la gestion mémorielle du Che, ou le football …
Et que dire de toutes ces associations anti-racistes, féministes, qui ne disent pas un mot, pas plus le 7 octobre en Israël ou le 18 novembre en France, jour funèbre lui-même jour synthétique tant ce qui s’est passé en un seul instant se déroule partout de manière dispersée (comme à Valence, Nantes…) sinon qu’elles sont complices et donc coupables de ce qui n’est ni un acte de résistance (le 7/10) ou un acte anti-raciste (le 18/11) mais l’expression sadique d’un désir de se soumettre et qui court au fond depuis les Accords d’Evian…
Ce silence est aussi semblable à cet arrachage d’affiches d’otages détenus par les djihadistes et parmi lesquels huit sont pourtant français; mais comme ils sont aussi juifs cela ne compterait pas pour ces soumis alors que s’ils étaient binationaux nord-africains le côté français aurait été mis en avant tels ces djihadistes détenus en Syrie et qui veulent rentrer en France alors qu’ils ont brûlé leurs papiers avant de partir ; mais chut, il ne faut rien dire, émettre ne serait-ce qu’un son maugréant et même pas articulant une désapprobation serait “d’extrême-droite” disent les kapos flagellant le troupeau avec leurs fouets médiatiques faits en sentences cousues dans du Tweet en guise de tweed chic et choc.
À vomir. Mais tout se payera. Au centuple.