par Mais au dernier moment le visqueux Véran dévoile le vrai objectif de cette manif hypocrite: diaboliser l’ennemi principal, non pas le djihadisme, mais le “rassemblement national” au sens littéral ; il piège ainsi tout le monde par cette sordide manœuvre, sans doute sur les ordres d’une des branches de la franc-maçonnerie, devant laquelle le Président de la République, Emmanuel Macron, parlait en tergiversant, en ne désignant pas le vrai ennemi, le matin même, faisant du “en même temps face à une officine toujours aussi fielleuse, anti-républicaine au possible (au sens de Bodin –politeia et non pas seulement res publica- tout en dévoyant les Gardiens de Platon)une secte en réalité adepte via un de ses alliés subjectifs (la fausse “Libre pensée“) du déboulonnage de statues du patrimoine français afin de ne pas froisser le djihadisme, en réalité, au-delà des discours ronflants sur une “laïcité” dont ils violent de plus en plus le socle fondamental aux antipodes du djihadisme qu’ils soutiennent : sapere aude !…
Car le débat aujourd’hui n’est pas de manifester d’abord contre l’antisémitisme en général mais, d’abord, de s’abattre sur sa forme vivace aujourd’hui et en particulier celle du djihadisme par ailleurs enseigné dans toutes les écoles comme une sagesse parmi d’autres (grand et petit djihad qui permet la “conquête” jamais assimilée à une “colonisation” elle aussi…) ; un pseudo rappeur (pseudo car bien en deçà d’un Grandmaster Flash, ou d’un Akhenaton du groupe IAM) en a d’ailleurs fait un disque et il a été emblématiquement invité par ceux-là mêmes (écolo, coco, socialo) qui veulent créer dimanche (12/11/23) un “cordon républicain” à l’encontre du RN lors de cette manif dite “d’union nationale” alors que ces sbires salissent depuis des lustres le drapeau français et son socle, la laïcité, en détruisant les frontières mentales (le bien et le mal seraient relatifs, confondant ainsi éthique et police des mœurs) frontières physiques (il n’y a pas de sexe mais des “genres” combinables à l’infini) frontières territoriales (la France ne serait qu’un terrain vague aux droits citoyens ouverts à tous, se substituant ainsi à l’ONU et à tous ses organismes, Banque mondiale comprise).
Et tous ces gens-là, profondément anti-républicains, partisans anti-laïques (préférant financer des temples djihadistes alors que l’intolérance religieuse et conceptuelle règnent dans les pays que celui-ci domine) osent ainsi avoir le toupet de la ramener parce que l’un des fondateurs du parti ayant été à l’origine du RN actuel avait en effet tenu des propos de potache narquois (le “Durafour-crématoire”) et de relativiste benêt (“les chambres à gaz comme détail de l’histoire de la seconde guerre mondiale”) alors qu’en son fond et en dépit de l’admiration de l’un de ses mentors, Jean-Marie Le Pen, pour la musique militaire allemande, il s’avère que le F.N a surtout été fondé par des résistants au communisme (Ordre Nouveau avec Madelin, Longuet, Devedjian…) qui se sont démarqués du courant racialiste pétainiste anti-chrétien (type Rivarol et, en plus nuancé, la droite différentialiste mais aujourd’hui plus ou moins allié subjectif du djihadisme ne serait-ce que dans le “cela-ne-nous -regarde-pas” nouvelle version du “pas-d’amalgame”) n’en déplaise à tous ces faux spécialistes de science politique tel Véran qui confondent exprès ces divers courants.
D’autant que, et ce comme il avait déjà été indiqué naguère (en 2015) et on le voit déjà aujourd’hui avec la micro-Shoah du 7 octobre 23 (qui est bien plus en effet qu’un pogrom car étant planifié de sang froid et non pas issu d’une foule en fusion) la destruction du Juif -qui a été le socle même, la raison d’être du nazisme, l’est toujours aujourd’hui non pas au Rassemblement National, plutôt anticommuniste que pro-pétainiste, mais surtout chez le frère (aîné) spirituel du nazisme, le djihadisme, et en particulier celui des FM, tout en formulant le contraire bien sûr ; à l’instar du recteur de la mosquée de Paris (et son double langage identique à celui d’Arafat lorsqu’il parle pacifiquement en anglais et durement en arabe); un double langage allant même indiquer qu’il n’y a pas d’antisémitisme en Islam comme le clame un bonimenteur des Talk-show à la mode en France puisque d’une part les sémites comprennent aussi les Arabes, et que d’autre part à partir du moment où le juif accepte sa condition de dhimmi, ou se convertit, il est possible de suspendre son extermination qui avait déjà méthodiquement débuté avec la destruction massive d’une tribu entière par Mahomet (Sîra, II, 240-241) alors que, s’il avait été lui aussi “miséricordieux” il les auraient graciés, ce qu’il n’a pas fait, et ce que ne veulent pas faire ses fanatiques fidèles qui l’imitent aujourd’hui (en pis) surtout depuis que Israël a retrouvé sa terre, pourtant indiquée dans leur livre (comme Q.2:47 et Q. 5:21), certains arguant cependant qu’il s’agit seulement d’une désignation symbolique, ce qui ne se peut parce que tout symbole repose sur un référent et que celui-ci reste enraciné, il ne se vit pas seulement en l’air ; d’où le fait au final que la version FM du djihadisme se vivifie également aux sources occidentales de l’anti-judaïsme paganisé abouti, celle du syncrétisme nazi, dont il est de plus en plus aujourd’hui la fa(r)ce, les autres faces, hygiénistes et scientistes, étant elles de plus en plus tenues par les autres courants de la Secte SHAA et se faisant une santé, un lifting rapide d’angélisme à son détriment…
En tout cas, si cette manifestation du 12 novembre ne se fait pas à l’aulne du combat visant à détruire le djihadisme, ennemi séculaire refusant d’admettre qu’il ne peut pas ne pas “transférer sa puissance” sous peine de voir décimer ses si jeunes fidèles au crâne vidangé aux jeunes filles réduites à n’être que des machines à pondre, si cette manifestation ne désigne clairement cet ennemi, là, elle sera nulle et non avenue au même titre que celle ayant dénoncé la profanation de Carpentras avec le résultât que l’on sait….
