Il n’est pas si curieux d’observer que le déni de réalité s’amplifie, à savoir le fait de nier, frénétiquement, que cette grippe de substitution devient saisonnière (où en sont d’ailleurs les chiffres de la grippe habituelle ?). Elle ne touche qu’une infime partie de la population (tout en préservant en très grande majorité enfants et jeunes) soit 0,051% de taux de décès en France, et entre 0,0001 et 0,0002% dans le monde.
Ce déni, convulsif, paranoïde (voyant des partisans du “complotisme” partout, ce qui est également du complotisme…) empêche toujours les médecins de prescrire, malgré quelques levées d’interdits (silencieux) tout en affolant la population sur le “nombre de cas” ce qui reste le comble, jour après jour, alors que le traitement préconisé fait jour après jour ses preuves pris de manière précoce. A la différence de son concurrent, le remédisivir pourtant poussé en avant malgré les avis contraires tentant soit de le soutenir soit de le ranger aux côtés de l’hydroxychloroquine et l’azithromycine jugés toujours peu “efficaces voir même”dangereux” s’appuyant pour ce faire sur des études fallacieuses comme celle du Lancet il y a quelques mois alors que l’Afrique se soigne avec et que l’IHU dirigé par Didier Raoult à Marseille a avancé tout un ensemble significatif de résultats basés sur des milliers de malades guéris.
D’où une réponse simple : et si on laissait plutôt les médecins prescrire ? A eux de repérer selon les malades le traitement qui marche réellement, en majorité, et dans ce cas, pris de manière précoce il y aurait moins de gens en “réanimation”: CQFD. Mais ce bon sens EST sinon refusé (avec l’étude frauduleuse du Lancet par exemple, mais il y en a d’autres ce qui est inquiétant)du moins écarté, peu recommandé ne serait-ce que de manière temporaire.
Pourtant, si les tests avaient marché en mars-avril, ils auraient montré bien plus de positifs “malades” voire de morts qu’aujourd’hui comme l’avait indiqué récemment Toussaint, ce qui veut dire que la relation positif=malade à terme est fausse étant donné qu’aujourd’hui ils sont surtout asymptomatiques, au vu du nombre de gens testés, et en majorité plus âgés qu’au printemps dernier concernant les malades eux-mêmes bien moins gravement touchés semble-t-il, et s’inscrivant de plus en plus dans le rythme saisonnier des infections pulmonaires qui tuent trois millions de personnes par an dans le monde.
Mais ceux qui nous promettaient des millions de morts (et le promettent toujours) alors qu’il n’y avait ni traitement autorisé ni même masques (de toute façon inutiles tant la taille du virus passe à travers) ne lâchent pas tant ils s’entêtent à asséner qu’il n’y a pas de traitement ou alors en affirmant que l’important reste la “Solidarité” par le maintien et l’extension de la “distanciation sociale” sans pour autant étudier toutes les conséquences négatives d’une telle stratégie de santé publique pire que le mal en réalité tant elle détruit l’économie, empêche les autres maladies d’être traitées, suscite panique et anxiété, suicide et extrême pauvreté; tout en laissant accroire avec ce refus de laisser prescrire et de mettre à niveau un système hospitalier exsangue aux dires mêmes des soignants que tout ceci est une belle opportunité pour promouvoir ce “grand reset” préconisé par des extrémistes catastrophistes au visage d’ange, aux propos dosés et posés, et qui ont derrière eux les trois B : Big Pharma, Big Data, Big Brother.
Ces trois B étant également sous-tendus par un quatrième B : la bêtise. Car il en faut des idiots utiles et aussi des monstres pour masquer traquer déformer manipuler, ce qui demande un haut degré conjugué de fanatisme, sectarisme, orgueil, vanité, refus surtout de tout débat désormais ou alors seulement pour percer question audience.
Une question que pose avec brio Ariane Bilheran : comment les régimes totalitaires arrivent à fonctionner du moins pendant un temps sinon en conjuguant les intérêts de “remplacistes” avides de se substituer en permanence à l’élite au pouvoir (Claude Lefort l’a également souligné quand il l’analyse l’engouement pour le communisme dans les années 30, ne parlons pas des nazis et des fascistes) ce qui attire également les appétits pervers de tout un ensemble de détraqués qui voient dans le pouvoir, le plus minuscule soit-il, la capacité d’assouvir leur perversion, enfin la peur et la culpabilité propagées savamment et en simultané cimentent le tout du totalitarisme qui déjà s’installe dans les têtes pour paralyser la raison et donc la perception du monde réel.
Nous en sommes là. Qui “nous”, telle est la question car hormis quelques exceptions toute la classe politique intellectuelle médiatique culturelle a plongé dans cette annulation de la réalité (cancel reality). Ce qui n’est pas sans rappeler les “heures les plus sombres de notre Histoire” et cette fois cela semble bien ne pas être une litanie…