A-t-on encore le droit de dire que les imprudences de Clotilde REISS, en pleine connaissance du régime liberticide des mollahs en Iran, commence à coûter singulièrement cher à la République française et ce, sur tous les plans ?
Si je conçois volontiers tout l’amour que l’Iran et les Iraniens peuvent susciter dans l’esprit et le coeur de quelqu’un, cela autorise-t-il ce quelqu’un, pourtant dûment averti de la dictature khomeiniste, à s’affranchir de tout discernement ?
Je songe en particulier au consternant spectacle offert, sans nul doute à son corps défendant, par Mlle REISS récitant sa litanie de regrets sincères envers le pays, le peuple et le tribunal d’Iran le tout assorti d’une demande de grâce islamique ! CLOTILDE REISS bis répétita…