D'où leurs embarras sur le tarmac en fait : pourquoi servir la soupe à un "Président de la République" (himself) qui n'a été qu'un figurant dans l'affaire, renouant ainsi avec la très vieille pratique made in Chiraco-pasquaienne de tenter de faire diversion alors que cela renforce les islamistes qui arrachent même pour certains l'immunité. Voilà l'indécence. La vraie. Il est dommage d'en arriver là, à un tel degré de supercherie, avec le ministre des affaires étrangères jouant avec les mots alors qu'une rançon a bel et bien été versée.