Il s'agit moins ici de défendre l'idée qu'il n'y aurait pas de "vilains" ayant planqué quelques fonds à Panama que de souligner le "plan" des "gentils", surtout certains d'entre-eux (anciens de la "cause") cherchant à faire croire qu'au fond il "suffirait" de traquer les "26 000 milliards" de fraude fiscale dans le monde pour "sauver les États Providence" alors que ceux-ci en étaient déjà à plus de 200 000 milliards de dette publique en 2015.
Ce qui fait alors froid dans le dos n'est pas de savoir que des tricheurs existent, mais que à "trop faire l'ange on fait la bête", l'hospice se moquant de l'hôpital, évitant de voir la poutre dans son oeil, alors que l'ensemble du système économique et social mondial s'enfonce dans le rouge puisque les réelles réformes à faire sont empêchées (et cela ne concerne pas spécialement le marché du travail).
On comprend que les États en manque et leurs supplétifs cherchent à tout prix de la "fraîche" pour faire de la cavalerie tant il y a des trous à fromage à nourrir, amusant la galerie en dévoilant ce que l'on sait déjà concernant par exemple le roi du Maroc, le président algérien, des princes saoudiens…des oligarques russes, chinois (bizarrement aucun américain…).