Comme le montre la vidéo diffusée par France3/Région/Bourgogne relatant le vol (avec cassage "grave" de gueule du conducteur) de la Mercedes qui avait traversé le hall de l'aéroport de Lyon avant de finir sa course sur la piste, pensant sans doute s'envoler vers les 72 vierges, ce qui frappe jusqu'à la suffocation l'écoeurement, la colère froide aussi (celle qui fait défiler sans drapeau sans rien d'autre que la hargne d'en découdre) c'est bien tout le sordide, une immondice, une ignominie, tout droit sorti d'une vieille série américaine (ou d'un bon film noir français de l'ancien temps) avec comme symbole la station d'essence et ses lumières blafardes dans la pénombre glauque d'un lieu nommé nulle part et son malfrat qui en surgit comme émanation de la mort du vivre ensemble ; viol de l'intimité du conducteur de la Mercedes, le "déséquilibré" s'acharne sur celui-ci sous les yeux indifférents du "vivre ensemble" jouissant sans doute de voir un "riche" (un "très riche" même selon la nomenclature François Hollande et ses 30 000 euros par mois) se faire tabasser, longuement (tout en criant "aidez-moi, aidez-moi") le malfrat est sur lui on le voit sur la vidéo comme s'il le baisait.
Tchao Pantin mais sans Coluche, ni l'inspecteur Harry, un Clint méprisé aujourd'hui (suffit de voir la façon dont a été reçu son dernier film sur le drame du Thalys) par tous les maso au pouvoir, leur copies sadiques dans la rue, leurs photocopies voyeuristes dans les médias, le voyeurisme à tous les étages, il ne manque plus dans cette vidéo que quelques zombis dépouillant le gars tout en se masturbant, la vidéo devenant virale cela se fait sans doute mais proprement maintenant kleenex à portée silencieuse entre la poire et le dessert et les truffes chocolatées de l'Ambassadeur.
Et pendant ce temps les préposés à la statistique vont bien sûr transformer ce fait en banale donnée qui balisée sur cinq cent ans évidemment n'est plus que fétu de paille alors qu'un dernier rapport vient d'indiquer une montée foudroyante des violences dans les transports ; et le "vivre ensemble" là-aussi cette tarte à la crème bien sûr cache masque que la plupart des agresseurs sont des sécessionnistes musulmans (ne parlons même pas d'ethnie) en ce que cette religion reste la plus encline à ne pas supporter ce qui s'oppose à elle, lui résiste ; le contraste est ainsi trop fort entre tous les interdits qu'elle véhicule et une société moderne qui les relativise comme un code parmi mille à surtout ne pas imposer, ce que l'adepte, en particulier le plus disposé à s'en servir comme refuge, refuse, jusqu'à vouloir éliminer tout réel qui s'y interpose d'où ce dit "déséquilibre"; sauf que ce dernier est bien le produit d'un choc, l'islam se fracassant sur le mur d'une réalité qui le nie à chaque instant, images liquides du feu urbain enflammant les âmes rongeant les consciences, l'islam se prétendant eau alors qu'il n'est qu'essence démultipliant encore plus les désintégrations, les conflagrations, tout part en sucette…
Mais cela ne voit pas, cela se chuchote, même le nom des attaquants de couples gays sont cachés (tout comme celui ayant agressé Marin qui défendait un couple en train de s'embrasser, Brassens réveille-toi !) alors que l'on sait d'où viennent les coups principaux aujourd'hui, on le sait, mais les chiens de garde veillent, impunis, tout puissant, aboyant rageusement leur antiracisme montrant les crocs fielleux du vivre ensemble obligatoire, cravaches et bottes de cuir dans les flancs de la piétaille survivant au coeur du village Potemkine que nous avons construit, oui, nous, qui sommes aux fenêtres en train de dire bonjour avec un sourire "cheese" pendant qu'un blanc de plus de cinquante ans se fait tabasser en bas; cessons de montrer du doigt les "ils", les "eux", les médias, les politiques, c'est nous qui les alimentons par nos votes et nos achats, observez comment tout le monde, même dans la supposée "ré-infosphère" se tire dans les pattes, comment également les bien pensants réussissent à anesthésier le "bon" peuple à coup de tocsin contre la "fachosphère" et son "instrumentalisation"tant et si bien que celui-ci est devenu le spectateur de sa propre hécatombe, l'organisateur de sa propre marche "blanche" avec au centre un cercueil miroir nommé République, nation, française.