4 juin 2023

Covid-19:pourquoi les chiffres sont faux et ce que cela implique

Cela se sait de plus en plus comme l’indiquent la docteure Annick Bucacek, et le docteur Sucharit Bhakdi en soulignant dans leur vidéo respective que rien ne dit que tous les morts comptabilisés le soient uniquement c’est-à-dire principalement par ce-dit “Covid-19”, or, c’est le seul chiffre qui devrait compter en infectiologie d’après eux.

Car, autrement, (comme le souligne judicieusement Radio Québec mais qui a cependant tort sur les origines du 11 septembre en relativisant, dans une autre de ses vidéos, l’action djihadiste) il faudrait également comptabiliser dans ce cas tous ceux mourant avec ladite “grippe” saisonnière, chaque année, ce qui démultiplierait alors leur nombre, les 650.000 morts de 2018 (chiffres OMS) passant à plusieurs millions (sachant qu’il meurt 57 millions de personnes par an dans le monde…).

Aussi dire que le Covid-19 tue “plus” que la-dite “grippe” est faux.

A cela s’ajoutent deux autres raisons:

1/le nombre est donc sujet à caution comme il a été dit et ce d’autant plus que d’après certains témoignages issus des EPAD, tous les morts y sont comptabilisés tels, y compris sans avoir été tous testés post-mortem car il est supposé que si l’un des morts a tout de même été testé tel alors il ne sert à rien de tester les autres on les supposera morts identiquement du Covid-19, tout en ne sachant pas s’il s’agit de la cause principale…

2/Le taux de mortalité s’en trouve également biaisé car nous ne savons pas encore le nombre exact de morts (pas plus que de contaminés) ce qui fait que la probabilité est faussée dans l’un et l’autre cas sans connaissance d’un dénominateur réel.

Observons enfin que même d’après les chiffres officiels, par exemple ceux de l’Institut Pasteur) il est indiqué que 0,5% des personnes infectées meurent” (dernière phrase de l’article) voire moins lorsque le nombre réel de morts sera connu, mais le sera-t-il un jour ?….

C’est là l’une des nombreuses questions qui parcourent cette “drôle” de situation ( comme il a existé la “drôle de guerre”) dont la texture symbolique et politique ressemble de plus en plus en effet à celle décrite dans 1984 lorsque 2+2 doivent faire absolument 5 et non 4 tant les gouvernements en s’appuyant sur des images chocs de services engorgés (à la suite de coupes drastiques courant sur plusieurs années par exemple en France et en Italie) font peur avec, sachant pertinemment qu’ils trompent l’opinion.

Pour quelles raisons ? C’est là la difficulté majeure car nous n’en savons rien de tangible hormis le fait qu’avait été “classée sur la liste II des substances vénéneuses l’hydroxychloroquine sous toutes ses formes” alors que la Revue du Praticien indique (juin 2019) indiquait :

« Ces dernières années, des travaux fondamentaux et cliniques ont montré qu’au-delà de son action anti-inflammatoire et immunomodulatrice, l’hydroxychloroquine peut améliorer le risque vasculaire en agissant directement sur le profil métabolique et possède des propriétés antithrombotiques, anti-infectieuses et antitumorales. Toutes ces données favorables laissent présager un élargissement de son spectre thérapeutique dans les prochaines décennies. »

Or, n’est-ce pasl’un des deux médicaments préconisés par le docteur Raoult y ajoutant un antibiotique, l’azithromycine, afin de prévenir justement les “surinfections bactériennesprincipales causes indique l’IRSEM du haut taux de mortalité de ladite “grippe espagnole”(asiatique également en réalité), un protocole qui sauve en grande majorité des vies selon le professeur Perronne de Garches, et divers témoignages ?…

Passons sur le fait que cela soit “controversé” (Galilée aussi était “controversé”, de même que Einstein, Bohr…) soulignons seulement que tout indique au moins trois hypothèses (plus ou moins solides il est vrai, du moins pour l’instant) :

1/c’est une fantastique erreur de projection statistique comme l’indique la docteure Nicole Delépine,  les millions de morts prévus ne sont pas là, et le confinement n’y est pour rien puisque les pays ne l’ayant pas adopté ont toujours moins de morts; il faut alors gonfler les chiffres coûte que coûte (voir plus haut) afin de ne pas perdre la face et surtout ne pas mettre à mal les projections du GIERC en matière climatique utilisant des multiplicateurs indiciels similaires.

2/  Une fenêtre d’opportunité est apparue (secrètement) en novembre pour tous ceux qui avaient projeté de massivement investir dans la fameuse “Transition verte” ou comment accélérer sa venue en transférant les capitaux vers les secteurs à haute valeur ajoutée de l’électrique de l’éolien, de la fiction (porno, prostitution à distance compris) des jeux numériques, des vaccins, quitte à sabrer quelque peu mais provisoirement les bénéfices de certaines entreprises majeures, par exemple dans l’aérien puisque la planche à billets mise en branle mondialement  via les banques centrales viendra éponger les dettes ; cela se ferait néanmoins au détriment d’une fragilisation encore plus grande des circuits financiers mis sous perfusion constante déclenchant alors une sorte de néo stagflation (inflation+stagnation voire déflation) qui peut entraîner également des troubles sociaux non quelconques : car à quoi bon au fond travailler si le compte en banque peut être pourvu via le chômage partiel et diverses allocations (+le marché noir) ?…

Mais, dans ce cas, l’effondrement, semblable à l’époque des assignats en France, puis l’implosion soviétique avant la NEP, enfin l’hyper-inflation allemande (République de Weimar) imitée de nos jours par le Zimbabwe et le Venezuela, ce tourbillon, ce triangle des Bermudes, the perfect storm, n’est pas loin: si en effet personne n’a intérêt à travailler la production s’arrête peu à peu (droit de retrait, taux d’absentéisme, impossibilité de faire travailler tous les “réfugiés” dans les secteurs à flux tendus à moins d’en importer plus encore…) ; de plus, l’on ne peut même plus compter sur l’importation de marchandises (comme le fait l’Algérie) si cela se passe ainsi dans tous les autres pays; dans ce cas c’est en effet un scénario de guerre civile à terme : les gens fuient les villes où il n’y aura plus rien à manger et se barricadent dans les campagnes en s’armant…Et les quartiers déjà en sécession de fait décident de pousser un peu plus en devenant des enclaves plus ou moins officialisées les gouvernements se couchant au nom du multiculturalisme et de l’antiracisme. Nous n’en serions pas (encore) là ?…

3/ Serait-il possible que la décision du confinement absolu dévoilerait tout “simplement” une sordide affaire de gros sous, à base de vaccins en attente via 300 à 400 euros la dose pour 7 milliards d’humains et surtout pour les systèmes de santé étatisés, ce qui fait que ce sont les impôts et la dette (épongée constamment par les banques centrales) qui payeraient ?… Faites en effet le compte…juteux s’il en est ; cela expliquerait aussi que nous ne soyons pas testés ni “déconfinés” avant “longtemps“…

Les deux premières hypothèses sont vraisemblables, il faut néanmoins plus de preuves pour les solidifier (les “falsifier”); le seul hic avec la troisième consiste en ce que tous les pays n’ont pas adopté cette politique de paralysie sanitaire comme cela se voit dans les trois principaux pays dits  “latins” européens (la Roumanie s’en sortirait mieux) puisque ni les pays nordiques ni les pays asiatiques se sont ainsi abstenus de dépister massivement puis isoler uniquement les personnes malades (les seulement contaminés portant un masque); il serait possible alors d’en conclure qu’il s’agit plutôt ou du moins principalement par exemple en Europe, en France en Italie (et aussi au Royaume Uni) d’une  impéritie sournoise révélant des décennies de mauvaise organisation structurelle (le je-m’en-foutisme institutionnalisé) visant à préserver de manière cynique les bastions bureaucratiques ceux-ci disant évidemment le contraire chaque soir en énumérant des chiffres faux avec un sérieux qui ne peut plus échapper désormais aux scénaristes si talentueux de Netflix.

2+2=5 : la réalité dépasserait la fiction parce qu’elle est déjà devenue fiction, simulation hyperréaliste, expliquait autrefois Jean Baudrillard…

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