A un moment où certains s’interrogent sur le dynanisme de l’Europe et de la France, où certains esprits ne voient son avenir que comme un pays-musée, la France fait résolument le choix de la science, de l’innovation, de l’industrie. C’est une mobilisation humaine et un effort financier sans précédent (…)”.
En revanche, ce que Jacques Chirac, ici comme ailleurs, se montre incapable de distinguer clairement, ce sont les trois décennies de retard accumulées par son projet aussi somptuaire que pharaonique : mais qu’importe, les Français paieront !