Aucun membre du Gouvernement, que dis-je ! le chef de l’Etat en personne, n’ont cru cette fois-ci de leur devoir sacré, comme en d’autres circonstances certes plus médiatiques, de venir une dernière fois saluer la vieille et glorieuse carcasse à la dérive !
La République abâtardie, qui d’ailleurs ne produit plus elle-même que des élites décadentes, n’est même plus capable de ménager une fin de vie décente à ce qui fut pourtant l’un de ses plus beaux fleurons militaires…
Librement !