Hélas pour nous tous, ils évoluent dans un monde autre que le nôtre, où tout est jeu d’enfant à accomplir d’un seul coup de baguette magique : “Je veux ! “, sans nullement se soucier de l’après…
Je n’ose donc pas trop penser à la fantastique gueule de bois qui nous attend quand, par la force des choses, il va bien falloir abandonner l’utopie qui, aujoud’hui, nous tient lieu de cache-misère !
Librement !