par “Riches de notre identité, de notre passé et de notre diversité (…) nous devons (…) relever le défi de l’avenir : en menant un politique économique nouvelle, en aidant à l’implantation de nouvelles entreprises, en aidant à faire grandir celles qui existent, en aidant le commerce et l’artisanat à se développer, en soutenant notre agriculture et notre viticulture, en renforçant la présence des services publics dans les quartiers et en milieu rural“.
Outre le fait que toutes ces promesses politiques de lendemains qui chantent présentent un fort relent de vulgate socialo-étatiste, combien de millions € (sur cinq ans) risquent-ils d’être ainsi dépensés en pure perte alors qu’il s’agit au contraire de tenir aux Axonais un langage de responsabilité vers plus de liberté ?
Car nous sommes désormais entrés dans un nouvel âge, celui de l’information et du savoir. L’erreur fatale consiste donc, dans un monde ouvert où l’échange est roi, à ne voir dans ses compatriotes que d’éternels assistés avides de becquée : les Français, intelligents comme on les connaît, vont bien finir eux aussi par s’apercevoir qu’ils existent !
Librement !
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