Leur principal ennemi ? Le “peuple” qui les a pourtant, hélas, placé au pouvoir ; d’où d’ailleurs leur argumentation justifiant leurs mesures liberticides et antisociales en imposant par exemple une décroissance forcée, tandis qu’ils continuent à s’engraisser sur ce qui reste de la bête : ainsi la présidente de la commission européenne palpera sans broncher ses 34 800 euros (bruts) par mois sans parler de tous les autres et leurs diverses retraites cumulées…
Pendant ce temps le Conseil Constitutionnel français retoque dans la loi agricole les notions de “souveraineté alimentaire” et de “non surtransposition” au nom d’un impératif “écologique” qui reste de toute façon de la prérogative du Politique (d’où la nécessité impérieuse en 2027 d’activer l’article 11 pour réformer en profondeur les champs juridiques des hautes cours) ; d’autant plus qu’avec 0,8% d’impact la France comme l’Europe (9%) des GES n’ont rien à se reprocher y compris lorsqu’il est indiqué sournoisement que ce faible taux atteint serait lié à l’exportation de la fabrication industrielle…
Car ce constat n’a rien à y voir puisqu’il est d’une part la résultante de la globalisation voulue par ceux-là mêmes qui aujourd’hui se plaignent des effets, tout en imposant (moyennant corruption) une production énergétique polluante comme l’éolien complètement inutile (nécessitant de saborder mais sans le dire l’énergie nucléaire) ; tandis que d’autre part cette nouvelle division internationale du travail, forcée (car allant à l’encontre du principe des avantages comparatifs en termes de possibilité effective et non de coûts qui peuvent être réversibles ) aura au moins permis à nombre de pays d’émerger pour aller vers ce confort (malgré la corruption qui les habite aussi et force certains impatients, très agressifs par exemple les faux MNA, à émigrer) que certains veulent remettre en cause en forçant les peuples à l’autodestruction en matière de transport, d’énergie, d’instruction, d’information, de sécurité…
Ce constat, même certains Gazaouis le font en protestant contre la dictature djihadiste refusant de rendre les armes comme cette population le demande car confortée, soutenue, d’une part à Paris toutes tendances confondues (hormis la droite dite nationale et quelques exceptions à gauche) et soutenue d’autre part à Alger toujours occupée par les djihadistes tendance nassériste-baasistes issus des deux coup d’État effectués sous la direction du renégat Boumédiene celui de 1963 (contre les vraies forces nationales incarnées par Aït Ahmed) et celui de 1965 en renversant la marionnette Ben Bella (et ses alliés trotskistes…) et cette fois à son propre profit ainsi que celui de toutes ces forces compradore qui ont attendu sagement au Maroc et en Tunisie que la chair à canon kabyle se fasse comme d’habitude dégommée, tout en étant en plus roulée dans la farine, naguère avec la fausse “guerre des sables” contre le Maroc, réitérée aujourd’hui avec l’affaire du Sahara occidental et les propos d’un Boualem Sansal condamné à cinq ans ferme alors qu’il milite au fond bien plus pour une réconciliation entre tous les Amazigh de l’Afrique du Nord (y compris les Touaregs du Mali) que le contraire afin de bâtir une réelle démocratie amplifiant grâce aux apports des expériences mondiales (Europe, USA, Inde…) ce qui a été au centre de la civilisation Amazigh (avec des limites qu’il ne faut cependant pas lire anachroniquement…) malgré les occupations étrangères …
Ce qui concerne également les anciens occupants de l’ex-Régence d’Alger, toujours présents à Constantinople, malgré la demande pressante d’une part croissante de leur population à vider les lieux tant la prégnance de ces djihadistes (même en costume-cravate) sur tous les aspects de la vie morale et politique s’avère de plus en plus insupportable ; surtout à l’ère de l’affinement du développement humain et citoyen au sens où tout un chacun désire à la fois affirmer son humanité en qualité et son appartenance citoyenne en participant plus activement aux solutions nécessaires pour résoudre les problèmes (permanents) que pose le fait d’être (heureux) ensemble… C’est même la colonne centrale de la Politeia pour les Anciens, effacée de plus en plus par les contemporains mis au pouvoir (grâce à leur tromperie et dextérité en contre-façon) préférant installer leur vision modélisée (scientisme du néo-lyssenkisme) d’un monde affairiste aseptisé (jusqu’à la vente d’utérus et de ventre) pour vivre, eux, très confortablement en renégats replets, peu importe si ainsi ils trahissent la République au sens grec de politeia précisément : Πολιτεία…
Et ces renégats se serrent les coudes, confiants de toute manière en leurs relais multiformes bien huilés grâce à l’argent du contribuable puisé cependant de plus en plus dans la dette, gageant ainsi le futur, mais peu importe “après moi le déluge…” chantonne en ricanant dans ses spas spacieux cette fausse aristocratie de pacotille.
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