13 janvier 2025

Mister Obama, savez-vous ce que vous dites ?

Mister Obama lei sa quello che dice? (par Deborah Fait)

Quand j’entends parler les "grands de ce monde" comme on les appelle improprement, un doute m’envahit, ne se rendent-ils donc pas compte qu’ils arrivent à dire des avalanches de stupidités à en faire rire les poules ? Netanyahu rend visite à Obama et que lui dit l’homme le plus important de la terre ? Le Président de la plus grande puissance du monde ? Il lui dit une phrase d’une révulsante rhétorique, la phrase la plus stupide et fausse qu’une bouche humaine puisse prononcer en parlant du Proche-Orient: Israël et les Palestiniens devront vivre côte à côte, en paix et en sécurité ! "Side by side in peace and security".
Et en Israël il y a eu un énorme éclat de rire. 5 millions de personnes sont mortes de rire.
Côte à côte, en paix et en sécurité ? Peace and Security ? Mais où, mais quand, mais comment ?
Mais M. Obama sait-il ce qu’il dit ? Il ne s’agit pas d’un conte de fée, M. Obama, ce n’est pas une fable que même vos filles auraient du mal à croire, c’est une chose sérieuse, la survie d’Israël est en jeu.
La fin de l’histoire, de notre histoire, ne sera pas : « et ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants » si vous, les grands de la terre, ne changez pas d’attitude à l’égard des Palestiniens et de la Ligue Arabe.
L’histoire, notre histoire, finira encore une fois en tragédie et nous avons déjà suffisamment donné, je vous l’assure.
Mister Obama, avec tout mon respect et ma sympathie, vous ne pouvez pas faire des plaisanteries sur la tragédie de deux peuples, oui, je dis deux peuples parce que, à cause d’un monstre nommé Arafat qui a rendu son âme au diable seulement en 2004, même les Palestiniens n’ont pas eu la vie facile depuis 60 ans. Les Palestiniens ont souffert comme nous d’Arafat et Abou Mazen lui-même ne plaisante pas avec la perfidie ; il y a aussi l’autre en bas à Gaza, Hanye, qui vit en tuant des Palestiniens, en les maintenant en otages, tellement il sait avec certitude que le monde entier transfère toujours la faute sur Israël et il en profite exactement comme le faisait le Mentor de tous ces monstres, Arafat de lugubre mémoire.
Mister Obama, comment devrais-je vous appeler, Hussein ou Barak ? Cela dépend ?
Mister Obama, les Palestiniens veulent la paix et la sécurité, peace and security, en éliminant Israël et ils le disent clairement et sans détour. Est-il possible que vous ne compreniez pas ? Est-il possible que même le Saint-Père ne l’ait pas compris quand il est venu ici disserter contre le mur qui, à nous, nous donne la vie et aussi, oui, la sécurité.
Est-il possible que vous ne compreniez jamais rien, vous les grands de ce monde ?
Les palestiniens veulent :
1. Faire entrer en Israël tous les réfugiés palestiniens actuellement vivants, qui dans les pays arabes, ne bénéficient d’aucuns droits (mais ça, personne n’en parle). L’UNRWA elle-même a fait une loi ad hoc stipulant que les Palestiniens seront, unique peuple au monde, des réfugiés à vie avec un droit héréditaire.
Mais au nom de quelle loi, environ 600 000 Arabes de Palestine, fuyant sur des recommandations arabes le territoire qui devait devenir Israël et se multipliant comme les pains et les poisson [des évangiles], à l’infini, devraient-ils rentrer en Israël ?
Combien sont-ils, Mister Obama ? Personne ne le sait, quelques millions sans doute.
Les palestiniens veulent :
2. Jérusalem Est, avec la vieille ville et tous les lieux saints, comme capitale de leur futur État de Palestine.
Voyez, Jérusalem n’a jamais été une ville arabe, encore moins palestinienne vu que les Palestiniens se sont auto-inventés plutôt récemment, dans le but d’embêter Israël et d’apitoyer le monde, et ont inventé la condition de pauvres Palestiniens qui luttent contre les perfides juifs pour retrouver une terre qui n’a jamais été palestinienne.
Et vous savez, Mister Obama, ce que signifierait donner Jérusalem aux Palestiniens ? Cela signifierait la perte de l’accès aux Lieux Saints pour les chrétiens et pour les juifs.
Et vous savez, Mister Obama, encore une chose ? Depuis 1967 les arabes de Jérusalem ont augmenté de 291 %. Vous rendez-vous compte de ce que ça signifie ? Cela signifie que d’ici 40 ans Jérusalem sera complètement arabe, les Lieux Saints seront transformés en mosquées, il y aura à nouveau des latrines publiques adossées au Mur des lamentations, comme durant l’occupation jordanienne.
En plus des éternels réfugiés à insérer en Israël et en plus de Jérusalem comme capitale, les Palestiniens veulent qu’Israël oublie toutes les guerres par lesquelles elle a été attaquée et qu’elle a réussi à gagner victorieusement et qu’elle retourne aux lignes d’armistice de 1948/49.
Contentons-les, très bien, puis un simple petit crachat, Mister Obama et ils nous jettent à la mer, si toutefois  Ahmadinejad ne nous a pas réduits en cendres avant, lui à qui vous faites les yeux doux  au moins une fois par semaine et qui vous répond régulièrement par des coups de pied dans les tibias.
Peace and Security, côte à côte, ah bon ? Mister Obama… Hussein…
À bas les murs, ah bon, Saint Père ?
Et après ?
Mais pourquoi nous voulez-vous tant de mal ? Pourquoi au nom d’une paix feinte, voulez-vous encore et encore et encore sacrifier les Juifs ! Pourquoi ? Nous avons été le peuple le plus persécuté de la Terre. Ça suffit !
Laissez-nous vivre, laissez-nous en paix. Ça suffit !
Pourquoi n’avez-vous pas le courage, vous l’homme le plus puissant du monde, Mister Obama, de dire aux Palestiniens d’aller au diable et de se contenter d’avoir ce que les États-Unis et Israël sont prêts à leur offrir, en tenant compte qu’avant ils ne possédaient rien.
Pourquoi le Pape n’a-t-il pas eu le courage de dire que c’est ce mur qui sauve la vie des Israéliens et qu’il subsistera jusqu’à ce que les bêtes féroces se soient fatiguées ? Pourquoi êtes-vous toujours prêts à nous faire la leçon ? Mister Obama, dans quelques jours, Abou Mazen aussi viendra vous rendre visite et vous étalera ses revendications et il vous fera la liste de ces Non, énumérant non, à chaque proposition de paix et de sécurité, je vous en prie, Mister Obama, oubliez que vous vous appelez Hussein et pensez à vous appeler simplement "Barak" qui signifie en hébreu "tonnerre" et sachez trouver le courage d’anéantir par vos paroles les prétentions de ce négationniste et de cet ex-terroriste travesti en petit agneau.
Sachez répondre avec des Non à ses exigences absurdes en prônant la défense d’Israël et son droit à la sécurité uniquement, parce que la paix, il vaut mieux la laisser pour les petits mots qu’on trouve dans les "Baci Perugina", la paix on pourra l’espérer dans le futur. Tant que vous caresserez les terroristes dans le sens du poil, on n’arrivera à rien.
Ah, Mister Obama, une dernière chose, vous vous rappelez de temps en temps, dans un discours sur Guantanamo ou autre, de l’effort à faire pour donner une vie meilleure aux terroristes emprisonnés, mais vous rappelez-vous, qu’un jeune homme de 19 ans, qui s’appelle Gilad a été capturé par les Palestiniens il y a trois ans et que jusqu’à présent personne n’a eu aucune nouvelle et peu de gens en parle dans le monde… Il faut dire qu’il est juif.
Ce n’était pas un terroriste, Mister Obama, c’est un jeune homme qui n’avait pas encore tiré un seul coup de feu pour défendre son pays, ils l’ont pris et depuis ce jour Gilad est enseveli dans les sables de Gaza, vivant on l’espère… .
Vous vous en souvenez Mister Obama… Hussein, oups, excusez-moi, je voulais dire Barak, Barak Obama ! Notre jeune homme s’appelle Gilad Shalit, aujourd’hui il a 22 ans et cela fait trois ans qu’il ne voit pas un être humain et qu’il ne sait rien ni de son pays ni de sa famille.
Gilad, Gilad Shalit ! Ne l’oubliez pas.

Merci Mister Obama !
adapté par DEG

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