Selon l’AFP : " L’Egypte a donné un coup de balai dans les rangs de la communauté musulmane fondamentaliste française au Caire, expulsant en un mois plus d’une vingtaine de présumés extrémistes. "Une vingtaine de musulmans extrémistes français qui avaient été arrêtés lors de l’enquête sur l’attentat au Caire en février, qui a coûté la vie à une jeune française, ont été peu à peu expulsés", a déclaré à l’AFP un responsable des services de sécurité égyptiens, sous couvert de l’anonymat.
Aucune charge, en relation ou non avec cet acte terroriste, n’a été retenue contre eux, a-t-il précisé. Mais ces Français ont été catalogués comme des extrémistes indésirables en Egypte". (Lire la suite ici).
Commentaire : Il est ironique d’observer que l’Egypte, qui s’y connaît en islamisme (et en dictature pan arabe anti-copte), n’ait pas hésité à prendre une décision qui, en Europe, aurait immédiatement fait jaser, le banc et l’arrière banc des anti-islamophobes crieraient immédiatement au scandale et feraient par exemple le siège de la Halde en France. Que se passe-t-il ?… Pourquoi l’Egypte a-t-elle pris une telle décision alors qu’une "minorité" seulement serait de méchants djihadistes ? Nous en saurons rien, l’AFP se contentant de parler de "rafle", le Monde répétant l’AFP sans plus.