Le quasi dictateur Chavez va donc vendre du pétrole raffiné au grossier régime islam/iste sanguinaire d’Iran, sans que personne ne s’en offusque ou presque, (http://www.france24.com/fr/20090906-venezuela-iran-fin-visite-hugo-chavez-accord-signature-exportation-barils-essence-mahmoud-ahmadinejad ) et il va aussi financer une banque commune pour maintenir à bout de bras un régime aux abois. On voit donc un soit disant défenseur des idéaux bolivaristes voler au secours d’un régime totalitaire ultra conservateur, d’extrême droite donc. Qui dénonce cela ? Qui ? On préfère plutôt s’énerver contre Israël dont le gouvernement a décidé de construire quelques centaines de logements à Jérusalem Est (avant de geler toute construction en vue d’un accord global), alors que les anciens gouvernements en ont détruit 17 000 à Gaza, et qu’il est possible aux Palestiniens de s’installer à Jérusalem Ouest, malgré les rumeurs contraires. Mais faut-il s’étonner d’un tel déséquilibre ? Il est aussi guère étonnant que le secrétaire général de la ligue arabe fasse une conférence de presse en présence d’un des responsables du Hamas, ce qui montre bien l’impossibilité congénitale des Arabes d’admettre que les Juifs sont sur leur terre et qu’ils ne veulent plus être dominés par eux.
Chavez qui a été parader aussi en Syrie (dont le régime vient d’être alpagué en flagrant délit de soutien au terrorisme par le régime irakien) rejoint ainsi la nouvelle cohorte totalitaire.