Reportage sur France Culture (journal de 7h 20/11/14) une "palestinienne" se plaint d'être "encerclée" dans sa rue par des résidents Juifs ayant acheté ou construit en face ou autour de sa maison ; imaginons ce propos tenus par un "Français de souche" voyant dans sa rue pavillonnaire des résidents africains et autres venir s'y installer ; immanquablement il sera traité de "souchien", raciste, lepeniste etc..
Ailleurs sur la radio un autre "palestinien" maudit ceux de ces congénères qui vendent à prix d'or leur propriété à des "Juifs"… Imaginons qu'un tel propos… etc…
Disons alors les choses tout simplement : ces "palestiniens", là, réagissent comme ces "algériens"qui firent la chasse aux "colons" dès la fin des hostilités en 62 et qui en fait n'expulsent pas le "dominateur" mais affirment un acte authentiquement raciste,lui, celui du refus de la mixité ethnique et sociale, de la tolérance ; en fait refuser de vivre dans des quartiers non ethniquement et religieusement "purs" provient en quasi exclusivité de cette intolérance arabo-musulmane se prétendant supérieure et qui maquille cela en lutte contre le colonialisme, on croit rêver.
Car il ne s'agit pas seulement pour elle de contester le fait que Jérusalem soit la capitale d'Israël, mais, d'abord, en priorité, de refuser toute cohabitation avec tout "Juif", jusqu'à exiger des quartiers sans "juifs" y compris et surtout lors de la constitution de ce dit "État" Palestinien qui au fond n'aura qu'une différence de degré et non pas de nature avec l'État islamique.
Il faudra que les députés socialistes voire UMP, UDI, écologistes, communistes, sachent en toute conscience que le 28 Novembre lorsqu'ils voteront pour la création d'un "État Palestinien" ils voteront pour la constitution d'un État raciste, fasciste, basé de plus en plus sur un islam absolutiste (Abbas sera éliminé par ceux-là mêmes qui ont éliminé Arafat) désireux d'imiter Mahomet jusqu'au bout à savoir exterminer, égorger jusque dans la dernière des synagogues.
Que ces députés ne viennent pas ensuite dire qu'ils ne savaient pas.