Sa conception éthylique de l'Histoire intéressent surtout ceux qui veulent continuer à berner le peuple de France (il n'y a qu'un peuple et ses nuances) en le parasitant, le grevant, à commencer par son État que l'on veut bien presser comme un citron tant qu'il les payent grassement et surtout les fait avancer à l'ancienneté et guère au mérite. Voilà où nous en sommes, strictement. Certes, l'on peut se gausser, se défausser en ânonnant que "tout ce qui est excessif s'avère insignifiant" alors que c'est justement l'inverse : tout ce qui s'avère insignifiant (et rangé dans la case des faits divers) cache jusqu'à l'excès une horrible réalité :
Le fait que des énergumènes, au nom de la générosité, saignent depuis des décennies une population et ses finances alors qu'ils alimentent "la hausse des inégalités" puisqu'en les rançonnant à la façon du Prince Jean (dans Robin Wood) ils empêchent nécessairement qu'une dynamique économique puisse fonctionner ; car qui peut embaucher et produire lorsqu'il sait qu'une bonne part de la richesse produite va servir non pas à "soulager la pauvreté" mais à l'aggraver ? Non seulement par le gaspillage dénoncé inutilement par la Cour des Comptes, mais surtout par une organisation du social et de la représentation politique qui loin d'aller dans le sens d'être au service réel du plus grand nombre s'avère fonctionner pour le seul compte de ceux qui parlent en son nom. Par exemple Aubry.
Loin de tenter, une seule seconde de faire le bilan de l'inconsistance, totale, de sa propre trajectoire, elle préfère dénoncer la paille dans l'oeil du voisin, en oubliant qu'elle est directement responsable de l'état actuel du pays (avec DSK) car ce sont eux qui ont fait croire qu'il suffit de faire fonctionner la planche à billets (qui tourne à plein régime ces temps-ci mais pour quels résultats ?) croyant que cela permettra de diminuer le temps de travail, de fabriquer des emplois jeunes et d'augmenter annuellement le SMIC (autrefois SMIG) pour augmenter le "gâteau" alors qu'il n'a fait que diminuer depuis lors si l'on tient compte du fait que les générations actuelles et à venir seront bien moins loties des générations du baby boom, dont "elle" est issue, et qui a après avoir détruit le pays s'en retirent en titubant, bourrées (dans tous les sens du terme) tout en espérant avec un rare toupet que les prochaines décennies qui leur restent à vivre seront encore et toujours arrachées à des générations dont elles font suer le burnous deux fois plus pour gagner bien moins si l'on sait compter depuis quarante ans, cinquante ans soixante ans qu'elles sont au pouvoir, si l'on compte à partir de leur soit disant "résistance"alors que les vrais combattants se comptent sur les doigts de la main.
Pourtant, lorsque quelqu'un tente d'expliquer que "le roi est nu" et qu'il vaut mieux désormais tabler sur la libération des énergies car c'est bien celle-ci qui va créer plus de richesses qu'une ankylose généralisée (c'est ce qu'elles disent pourtant concernant le potentiel paraît-il caché des "réfugiés") au lieu de cela et loin de prendre le taureau par les cornes cette même personne préfère tenir des propos de comptoir à la façon d'une (drag) queen qui réduit la politique au coup de poing sur la table (et au coup de dagues dans les couloirs bourrés d'urnes trafiquées) il faut lui dire stop, pas vous, pas ça, surtout quand vous laissez le pays dans un tel état.
Barrez-vous plutôt ! Ouste ! Du balai ! Dehors ! L'open bar est fermé. Closed. Allez rejoindre vos copines dans les piscines où les hommes sont interdits, allez accompagner les Mistral payés avec de l'argent sale qui pue le sang des crucifiés (argent plus pur croyez-vous que celui des Russes ?)
Vous nous payez notre tête depuis des lustres, vous n'avez plus à dire, à faire, sinon les circonvolutions habituelles dans les salons d'une République qui a bon dos comme d'habitude, plus que d'habitude remarquez, surtout depuis qu'elle s'affaisse, avec le sourire, émouvante même dans les sables mouvants, même si sa balance des paiements s'est redressée, ce n'est pas le problème car le peuple de France pourrait faire bien plus s'il n'avait pas vos aiguilles dans les flancs et par lesquelles vous le pompez jusqu'à plus soif, jusqu'à la lie.
A quoi sert-il au fond de faire dans la dentelle lorsque l'on en est aux tessons de bouteille envoyés dans la gueule, lorsque le "débat" se réduit à une dispute de pochards semblable à cette scène épique des Monty Python où l'on voit un chevalier éclopé bras et jambes continuer à défier son adversaire alors qu'il n'est plus que cul-de-jatte.
Le pays est en feu (mais comme "la théorie du genre" cela n'existe pas) l'Europe implose, les USA se se sont transformés en TV réalité grandeur nature, même l'Allemagne a ses affairistes nihilistes désormais, et, pendant ce temps, une madame Sans Gêne se la joue Lucrèce Borgia alors qu'elle a échoué sur tous les plans, tous, le dernier viendra s'afficher sans doute en décembre, et là, impossible de bourrer les urnes, quoique, tout reste possible lorsqu'une faune est aux abois et sent telles des hyènes que la viande populaire veut s'échapper s'éloigner de leurs griffes, de leurs dents fétides, quitte à basculer deCharybde en."Tristes tropiques" en effet. Scylla