
Suite à cette décision, la France, mais pas seulement, a exprimé par la bouche d’un porte-parole du ministère français des Affaires étrangères lors d'un point presse à Paris sa ‘’ vive préoccupation ’’ : « La France est vivement préoccupée par la décision des autorités israéliennes de procéder à l'appropriation, au bénéfice de colonies israéliennes, de 234 hectares supplémentaires de terres en Cisjordanie » ; « La colonisation constitue une violation du droit international et contredit les engagements des autorités israéliennes en faveur de la solution des deux États », a-t-il ajouté. « La promotion de cette solution est l’objectif qui guide l’action diplomatique de la France ».
Si nul ne reprochera à la France son droit de croire que la solution proposée est la panacée au conflit proche-oriental, tout quidam aura donc du mal à comprendre les condamnations perpétuelles de ce pays et donc le refus du droit de l’Etat d’Israël, état souverain et premier concerné par ce conflit, à avoir sa propre idée de la paix recherchée si mise à mal depuis des décennies par ses voisins !
Outre les propositions de paix des années 2000 et 2008 refusées par l’A.P., en quoi l’appropriation de terres vierges de toutes propriétés légales contredit une solution de deux états pour deux peuples vivant en paix côte à côte, si ce n’est que les frontières de l’Etat d’Israël souverain sont, d’ors et déjà, décidées par d’autres que lui-même et que l’état à naître se devra d’être JUDENREIN ?
1 commentaire:
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La seule préoccupation de la "communauté internationale" ce sont les faits et gestes d'ISRAËL.Le reste est de peu d'importance. Un "palestinien" qui dit "aïe", c'est d'une importance capitale, le reste du monde peut brûler, les morts s'accumuler par millions, même musulmans, si ISRAËL n'y est pour rien, aucun problème. Il y a quelque chose de pourri dans ce monde, en cette époque.