La chose s'avère évidente mais il est bon de le rappeler tant il faut sans cesse mettre les points sur les i (Sisyphe encore) : dès qu'il s'agit de PMA, de climat, de critiques envers l'accueil des migrants (de prénoms…) de critiques envers la mondialisation, l'islam (et les femmes) il ne s'agit même plus pour certain(e)s de se "disputer" mais d'y couper court tout de suite immédiatement sans coup férir sur le champ en interdisant de parole la partie non plus adverse mais ennemie parce qu'elle "ne devrait même pas exister" comme le disait l'un des leurs érigé en martyr désormais tant il récolta ce qu'il avait semé : la mort (même si le propos est contesté par sa mère).
C'est très clair à écouter cette représentante dite "LGBT" intervenir (sur Les voix de l'info,C.news à partir de 15mn28) en rejetant d'une moue méprisante la notion de "père", mais il y en a mille autres (Les Informés de France Info le même jour à propos de Dupont Aignan) avec surtout cet argument phare, central: pourquoi donner la parole à ceux qui mettent en doute ces divers dogmes ? Y penser, puis le faire, voilà la complicité même avec ce qui doit être écrasé, dans l'oeuf : CQFD. Croyant ainsi éviter la défaite des années 30 alors que cela la précipita au contraire le peuple apeuré se réfugiant à l'autre bord, fermant les yeux sur l'antisémitisme, aujourd'hui de nouveau florissant bien plus à gauche qu'à droite d'ailleurs.
Il ne s'agit donc même plus de débattre mais de se battre, un peu en parole quand c'est obligé (pas pour argumenter,non, seulement demander l'interdiction de "l'ennemi") et surtout, pour se battre, en acte, envoyant les nervis dits "antifa" saccager les lieux supposés complices, tout en pleurant par la suite si cela tourne mal.
Démontrer, argumenter, tout cela fait bien trop "bourge" (juif?) alors qu'il s'agit de montrer seulement, pas démontrer, montrer, et quoi d'ailleurs ? Montrer sa force pour écraser, à quoi bon perdre son temps pour "échanger" n'est-ce pas là l'esprit honni de la démocratie (juive) libérale à écraser tout autant (au nom des opprimés bien sûr) ?…
Et après avoir donc chassé toute parole critique du service public, Ruquier appliquant le nouveau mot d'ordre en n'invitant pas Zemmour, il faut forcer maintenant les autres médias à le faire, ce que s'empressent d'accomplir ceux qui ont besoin de montrer patte rouge (diabolo grenadine) pour faire oublier leur filiation au monde des "affaires".
D'où cette atmosphère sordide de rentrée où le pouvoir en place semble se servir de ces différentes chasses aux sorcières, après avoir donné des gages avec Notre Dame des Landes, pour faire oublier qu'il ne sait faire que rogner le pouvoir d'achat des retraités et des pauvres jusqu'aux classes moyennes supérieures, croyant ainsi "libérer", un peu, l'économie alors qu'il la plombe comme cela se voit, sans pour autant accroître la liberté salariale par la cogestion et la formation de nouveaux syndicats,sans réellement réformer les impôts de production qui taxent avant même de faire des bénéfices, ou encore sans en finir avec les fameux seuils qui à 10, 50, etc, alourdissent la capacité des PME à grandir.
L'étatisme français, champion des transferts sociaux, est ainsi devenu un paternalisme sans père (terme sinon interdit du moins synonyme de réac, depuis les années 60 il est vrai) sans direction, sans queue ni tête au fond (du trou) avec donc à sa tête des trans (d'où la façon de vivre la dernière fête de la musique) qui vont jusqu'à affirmer leur soutien aveugle là aussi à des dirigeants palestiniens corrompus et non élus (ce qui enflamme "les" quartiers et nourrit l'antisémitisme) jusqu'à affirmer, aveuglement, le dogme FLN/gaulliste de la responsabilité unique de la France en Algérie (ce qui enflamme "les" quartiers et nourrit la sécession) jusqu'à soutenir avec hargne et démesure le dogme réchauffiste (ce qui coûte alors que l'argent pourrait servir plutôt à dépolluer à creuser des puits en Afrique) jusqu'à enfin préparer des élections européennes à la stalinienne en coupant en deux les oppositions (progressistes contre nationalistes) alors que la question migratoire est une question mondiale et pas seulement européenne, comptant sur ses nervis antifa pour semer la terreur dans les manifs et meetings, la police étant aux arrêts, de même que les pompiers et les médecins ne parlons pas des gardiens de prisons obligés de se soumettre y compris sexuellement pour préserver leur famille, certains de leurs membres à tous ces corps, publics, ces réels corps intermédiaires, se suicidant ou abandonnant, laissant filer la rue, l'ordre, à commencer par "les" quartiers au trafic et à l'islam subventionné. Circulez, il n'y a rien à voir.