Voilà où “nous” en sommes : obscurantisme, irrationalité, superstition, et, au bout, irresponsabilité, car se faisant l’on empêche bien sûr une société un peuple de vivre et renforcer ainsi sa sociabilité ses fonctions immunitaires puisque nous avons les traitements précoces nécessaires et que les taux de létalité et mortalité sont de plus en plus bas, en tout cas bien moins haut que les infections pulmonaires qui tuent dans le monde 4,25 millions par an.
Mais à quoi bon tenter de raisonner des gens de plus en plus déréglés mentalement (à quoi “carburent-ils” d’ailleurs dans leur resto clandestin ?) ? Croyant faire de “la” science parce qu’ils pensent que “9 cas” cela voudrait dire “bien plus à terme”, projection statistique (semblable à l’analyse des entrailles de volatiles volant au-dessus du camp ennemi, aux lignes de la main) ces nouveaux cartomanciens confondent comme d’habitude cas et malade et en appellent au “renforcement” de l’obligation des grigris et autres muselières ; attendant peut-être alors que les variants du virus produits également par l’inaction (on ne soigne pas ou peu) et aussi par l’interaction avec ce qui est déjà donné en médicaments coûteux et pour cas graves, sans parler des thérapies géniques appelées pompeusement “vaccins” (elles n’ont toutes en effet que des autorisations “provisoires” de mise sur le marché) touchent “enfin” toutes les catégories de la population ces Folamour (et Moreau) en herbe faisant des expériences inversées (transformer les humains en animaux) montrant alors triomphant qu'”enfin!” cela “s’accélère!” qu’enfin (!) les “jeunes” aussi sont touchés (comme dans les grippes sévères en réalité par exemple en 1957…) et que donc il n’y a pas d’autres issues que le confinement progressif ou total ou alors “le” vaccin…même s’il ne marche pas puisqu’il faut continuer à garder ses “distances” en attendant…l’accordéon du confinement qui est là de fait vu le nombre de choses de plus en plus interdites…
Vous aurez ainsi ET le vaccin ET le confinement… Tous deux inutiles pour une population en bonne santé et touchée par une maladie bénigne mortelle à moins de 0,2% de la population par pays en moyenne alors que l’on ne soigne pas de manière précoce ou si peu malgré l’effort en France de plus de trois cent mille soignants organisés en divers collectifs….
Tout cela n’a rien à voir bien entendu avec de “la” science mais plutôt une vague mystique du Nombre (la Statistique) sur fond de superstitions tissées d’idéologies hygiénistes et moralistes (un altruisme inversé en réalité) réduisant l’espèce humaine à des cobayes parqués dans un labo géant, en sus d’être des cibles marketing, fantasmant une reprogrammation massive au nom d’un “réchauffement”, manipulé lui aussi (1,125% de hausse, bénéfique pour la végétation en réalité comme l’explique François Gervais, les autres problèmes ayant plus à voir avec les luttes anti-pollution et anti-corruption) alors que des solutions bien plus efficaces et moins contraignantes existent que la décroissance et le confinement permanent comme l’explique par exemple Jean De Kervasdoué.
Mais les peuples sont envoûtés, comme en 17 et 33 (48, 62…). Avec des résultats désastreux pourtant.