Cela reste une hypothèse d’un point de vue logique, mais, au-delà, cela se discute ; en ce sens où depuis de nombreuses décennies le christianisme d’obédience catholique (et également protestante) Est dans l’impasse depuis que la distinction  « Rendez donc à César ce qui est à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. » a été effacée ; éludant par exemple que les droits de chaque peuple à persister dans son être ne s’avère pas incompatible avec le fait de chercher aussi l’harmonie “aimez-vous les uns les autres” plutôt que la seule discorde, à la fois en son sein et avec ses voisins…. Tout en sachant qu’ “aimer son prochain comme soi-même” ne veut pas dire “à la place de soi-même” or c’est bien là précisément que se situe l’hérésie actuelle…

Car si le Christ annonce qu’il vient aussi avec “le glaive et non la “paix” cela signifie semble-t-il qu’il refuse toute soumission, y compris à un César qui se prétendrait aussi d’émanation divine, et ce au sein de chaque famille ; aussi personne ne peut ainsi prétendre être “aimé” plus que Christ(donc aussi “obéi” au sens d’accepter les demandes de l’être aimé…); d’autant qu’Il est Le Chemin pour accéder au Père (Jean 14:6): “Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi.”

Prises ensemble, ces constatations, telles que le fait de distinguer Dieu et César, d’une part, et de bâtir pour chaque être humain une relation singulière avec Lui (puisqu’il est Le Chemin) d’autre part, impliquent  que c’est cela, même, La Bonne Nouvelle : le fait d’accéder, dès maintenant, à celui-ci et non pas d’attendre la mort pour y parvenir… Sans pour autant négliger qu’il faille aussi que César défende les croyants en cette Bonne Nouvelle, ce que (le Numide) St Augustin appela “la Guerre Juste”…

Aussi convenons de soutenir l’hypothèse que cette mort du Pape François (paix à son âme) peut aussi signifier que l’Eglise (qui n’est pas infaillible sauf sur le Dogme de la Trinité à laquelle Marie permet aussi l’accès, d’où l’idée de “Rhombe“…) se doit de changer de cap comme Jean-Paul II et Benoît XVI l’y invitaient avant d’être stoppés par tous ces faux progressistes mélangeant l’évolution des rôles sociaux qui relève du monde de César et le bannissement de leur distinction avec les sexes qui eux sont sous la protection du droit naturel instaurée par la Providence ou Saint Esprit lui-même émanant et du Père et du Fils comme étant le résultat de leur dialogue :

” De, Par, En”, Du Père Par le Fils En le Saint Esprit : de l’Origine, Par le Chemin, En la Vie qui en résulte…

Ce qui fait que le nouveau Pape se devrait d’appeler au renforcement des Nations et aussi au renouveau complet des instances internationales qui permettraient ainsi d’éviter que leurs forces vives s’abandonnent soit à l’autodestruction de la dite “Transition” soit à la fuite en avant vers un “meilleur des mondes” supposé (ce qui revient au même…).