A moins d’un improbable miracle, je n’imagine pas que la situation actuelle, manifestement proche du point de rupture, puisse désormais revenir à la normale sans une intervention musclée des Etats-Unis d’Amérique.
C’est triste ou heureux à dire, selon les points de vue, mais reconnaissons que le monde d’aujourd’hui, au même titre que celui d’hier et sans doute encore celui de demain, ne peut pas se passer d’un surplus d’Amérique !