Prenons un autre exemple par exemple la gratuité des soins pour les moins de 16 ans proposée par Ségo.
Cela pourrait se concevoir à la façon des enfants ayant moins de cinq ans dans les transports si la solution que propose Jacques Marseille pouvait être appliquée, à savoir donner les 3/4 du salaire brut au salarié et lui permettre ainsi de choisir sa propre protection sociale (le quart restant peut être subdivisé en deux : l’un disparaît, l’autre est mutualisé dans un fond social de solidarité ).
On peut alors faire le pari que la concurrence peut dégager un différentiel dont une partie peut être reversée à ce fond social de solidarité d’une part ; d’autre part, les assurances, (SS comprise qui peut persister à la façon de France Telecom), peuvent mutualiser leur coût lourd et intégrer dans cette mutualisation les frais pour les moins de 16 ans ; les assurances peuvent s’allier à l’international et concurrencer les grands groupes étrangers. Enfin, si les particuliers acceptent de donner 1% au Fond Social de Solidarité (FSS), cela sera en partie déduit de leurs impôts…
Deux pierres deux coups en fin de compte : on allège les charges, ce qui stimule l’économie, engrange alors de l’impôt dont une part peut être reversé à ce Fond Social de Solidarité (FSS) qui sera polyvalent : gestion des maladies lourdes, soutien aux moins de seize ans… FSS qui pourra également fonctionner comme fonds de pension…voilà ce que serait une réelle politique, transversale, au-delà des idéologies partisanes celle de la condition néomoderne (voir également le livre).
A suivre…
Allez en discuter sur le forum concerné !
En savoir plus sur Resiliencetv.fr Observatoire international des Libertés
Subscribe to get the latest posts sent to your email.