Ainsi, elle s’affirme porteuse de l’égalité, de la morale et de la justice. Elle se prétend défenseur des pauvres, du peuple et des immigrés et se pose en garante de la paix civile et extérieure.
Durant la campagne électorale, personne n’a remis en cause ces affirmations gratuites et non démontrées. Le sujet mérite pourtant d’être examiné car si elles sont fausses, toute la rhétorique de Ségolène Royal s’effondre.
Ségolène Royal défend-t’elle le peuple et les pauvres ?
Sur le plan économique, Ségolène Royal s’oppose à un traitement réel des problèmes que rencontre la France. Elle entend au contraire les pérenniser et les aggraver en menant une politique archaïque qui nuit à la croissance économique. Cette politique crée le chômage structurel, l’appauvrissement progressif des classes moyennes et donc, l’augmentation constante du nombre de pauvres. Elle contribue à maintenir les pauvres dans la pauvreté et à les empêcher d’en sortir faute d’emplois disponibles.
Ségolène Royal est donc l’ennemie des pauvres et du peuple.
Sur le plan sécuritaire, Ségolène Royal s’oppose à la lutte contre les types de délinquance et de crime qui affectent en priorité les pauvres et le peuple.
Ségolène Royal est donc l’ennemie des pauvres et du peuple.
Ségolène Royal défend-t’elle l’égalité ?
Les politiques économiques et sécuritaires que prône Ségolène Royal impactent bien plus les pauvres et le peuple que les classes supérieures et le haut des classes moyennes. C’est d’ailleurs dans ces dernières fractions de l’électorat que Ségolène Royal réalise ses meilleurs scores.
Pour des raisons électoralistes, Ségolène Royal veut pérenniser certaines inégalités flagrantes comme par exemple, les différents privilèges de certaines catégories de fonctionnaires ou de personnels du service public. Ces privilèges sont en eux-mêmes des inégalités mais Ségolène Royal ajoute une autre inégalité à ces inégalités : elle veut les faire financer par l’argent de tous les citoyens qui payent sans recevoir de contrepartie puisqu’il s’agit en réalité de prébendes.
Ségolène Royal vise donc à maintenir cette spirale qui crée sans cesse de nouvelles inégalités et aggrave les inégalités existantes.
Ségolène Royal défend-t’elle la justice ?
Sur le plan économique, Ségolène Royal veut mener une politique économique qui empêche l’enrichissement des citoyens. Elle défend notamment la politique des 35 heures qui s’est traduite par une baisse du pouvoir d’achat de tous les salariés et qui a pénalisé principalement les plus pauvres.
Ségolène Royal accroit les injustices sociales.
Sur le plan éducatif, et uniquement pour défendre son électorat de l’éducation nationale, Ségolène Royal préconise la pérennisation d’un système qui dispense une éducation de qualité de plus en plus médiocre et se traduit par l’arrivée massive sur le marché du travail de jeunes n’ayant pas les moyens de trouver un emploi. Ce système est profondément injuste puisqu’il ne concerne pas ceux qui ont les moyens de faire dispenser à leurs enfants une éducation de qualité et qui maîtrisent les ressorts de la réussite sociale.
Ségolène Royal accroit les injustices sociales.
Sur le plan judiciaire, Ségolène Royal, qui par ailleurs admire le système judiciaire chinois, préconise une justice à deux vitesses dépendant de l’origine sociale et surtout ethnique du criminel. Elle viole donc le principal fondamental de tout système judiciaire qui est : la loi est la même pour tous.
Ségolène Royal soutient l’injustice.
Ségolène Royal défend-t’elle les immigrés ?
L’attitude que prône Ségolène Royal à l’égard des flux migratoires et de la violence ethnique est en elle-même génératrice de racisme car elle pousse dans les bras de l’extrême-droite raciste des citoyens excédés et donc d’autant plus réceptifs à la propagande des vrais fascistes qui ont la haine pour seul fond de commerce.
Ségolène Royal favorise la haine des immigrés.
La politique d’immigration prônée par Ségolène Royal consiste à recevoir de plus en plus d’immigrés non qualifiés alors que dans le même temps les emplois de ce type sont délocalisés dans des pays à faible coûts de main-d’œuvre. Ségolène Royal entend construire par le biais de l’immigration la base sociologique qui manque à la gauche pour avoir la domination politique.
Ségolène Royal veut maintenir les immigrés dans la misère.
Ségolène Royal instrumentalise Le Pen pour essayer d’interdire tout débat sur l’immigration et la violence ethnique.
Le Pen martèle sans cesse le thème du « problème » de l’immigration pour reprendre la méthode de la « question juive » qui avait si bien réussi à ses prédécesseurs. Cette méthode est d’ailleurs aussi utilisée par les propagandistes arabes et leurs complices de la gauche et de la droite française qui focalisent uniquement sur le problème « israélien ».
Les deux problèmes ne sont pas identiques dans le sens où les communautés juives européennes ne posaient pas de problèmes aux pays européens mais le principe est le même : prétendre par le martelage constant de slogans qu’il y a un problème là où il n’y en pas pour créer la perception qu’il y a un là. D’ailleurs, Le Pen a commencé à exploiter le « problème » de l’immigration à une époque où ça n’en était pas un.
Ségolène Royal réalise les « prédictions » auto-réalisatrices de Le Pen.
En soutenant que la violence et la criminalité d’origine immigrée doit être tolérée, Ségolène Royal empêche l’intégration des immigrants récents et de leurs descendants et les pousse à se séparer de la société. De la même façon qu’elle crée des zones de non-droit politiques sur l’immigration, elle crée des zones de non-droit politiques, policières et culturelles.
Ségolène Royal empêche la résolution des problèmes que rencontrent les immigrés.
Ségolène Royal défend-t’elle la paix civile et extérieure ?
Sur le plan intérieur, Ségolène Royal défend la violence d’origine immigrée. Dans le même temps, elle défend tous les groupuscules de pression gauchistes qui favorisent le désordre social au prétexte de défendre de nobles causes qu’ils ne défendent d’ailleurs jamais. De plus, par l’utilisation de la haine et de la violence du « Tout Sauf Sarkozy », elle incite à l’augmentation de la violence civile.
Ségolène Royal est une ennemie de la paix civile.
Ségolène Royal qui reproche à Nicolas Sarkozy d’avoir serré la main de George Bush est aussi une ennemie de la paix extérieure. En dehors du fait que son anti-américanisme est parfaitement contradictoire avec sa détestation affirmée de la xénophobie, Ségolène Royal prouve qu’elle est en faveur d’une « guerre », en apparence uniquement sémantique, contre les Etats-Unis.
Cette attitude à une conséquence directe sur la sécurité de la France qui, comme les Etats-Unis, est confrontée à la guerre que mène l’islam radical contre l’occident. Après avoir prétendu qu’il y avait un sentiment d’insécurité né dans les fantasmes de fascistoïdes paranoïaques et racistes, elle prétend de la même façon qu’il y a un sentiment d’agression extérieure né dans les fantasmes de néo-conservateurs diaboliques, racistes et infréquentables.
En se plaçant dans le camp de l’apaisement voire de la capitulation, à l’image de son supporter Zapatero, Ségolène Royal contribue à accroitre l’ampleur de cette menace qui touche la France de l’intérieur comme de l’extérieur.
Ségolène Royal refuse d’agir pour obtenir la paix civile et extérieure.
Ségolène Royal défend-t’elle la morale ?
Ségolène Royal défend des politiques qui créent l’injustice, l’inégalité, le racisme, la violence, le droit du plus fort, l’échec et qu’elle préconise de faire financer par l’argent des contribuables des subsides à son électorat.
Ségolène Royal est profondément immorale.
Conclusion :
Non seulement Ségolène Royal ne défend pas les valeurs qu’elle prétend représenter, mais bien souvent elle défend l’inverse.
Paradoxalement, de par ses propositions et ses projets, Nicolas Sarkozy est un bien meilleur défenseur des valeurs de Ségolène Royal que la candidate socialiste elle-même.