Depuis longtemps, toute une presse française, en particulier parisienne a perdu le sens de la mesure en devenant des organes partisans bien plus que d’opinion : il suffit de comparer des journaux d’opinion anglosaxons comme le NYT et IHT avec des journeaux comme Marianne, Le Nouvel Observateur, Le Monde, Libération, et dans une moindre mesure Le Figaro et le Point pour observer le gouffre en ces deux types de presse : l’une, professionnelle, sait maintenir une distance entre les faits et leur interprétation, l’autre, dilettante, confond les deux, voire fait passer son interprétation pour les faits eux-mêmes.
D’où la nécessité de faire surgir une autre presse…