Espérons que François Hollande n'aura pas été en Arabie Saoudite le dimanche 4 novembre "2012" (selon le calendrier grégorien encore officiellement en vigueur) pour chercher —comme il est chuchoté dans les milieux informés (et avertis (1))— quelques centaines de milliards lui permettant de financer non pas le "choc" de compétitivité préconisé par le feu rapport Gallois mais les gabegies de l'État Providence qui transforme les Français en assistés (en clientèles….) Diable ! Et pourquoi donc (ne pas faire la manche) ? Déjà parce que ce n'est pas en empruntant en permanence que l'on reconstruit des bases solides pour la "croissance"espérée… Ensuite parce que l'on devine en échange de ces milliards quelques grands travaux islamiquement correct comme l'accentuation de construction de mosquées-basiliques (telles celles de Poitiers et de Kaboul)…ce qui aura pour fonction non pas d'asseoir un "islam" apaisé mais conquérant telle celui du CCIF qui exige que l'islamophobie soit considéré comme un délit, rien que ça ! comme s'il s'agissait de racisme alors qu'il s'agit plutôt de critiquer tout discours, quel qu'il soit, et que c'est cette critique qui fonde l'âme de l'Occident depuis Socrate, critique qui s'est ensuite universalisée parce qu'elle est devenue une technique politique aussi indispensable que l'électricité pour la morphologie humaine socialisée.
Or, certains refusent cette critique, non seulement en se servant de l'islam comme outil, mais aussi de la République, mise à toutes les sauces (comme si la "chose publique" était une catin), jusqu'à ladite " République populaire de Chine": Ainsi, un certain Martin Jacques en vient à considérer que cette dernière en tant qu'État-Civilisation et non pas État-Nation serait morphologiquement supérieure au Régime démocratique en déclin (depuis toujours au fond). Sauf que penser ainsi reviendrait en fin de compte à légitimer l'idée même du régime totalitaire, l'État Total qui sous prétexte de se prétendre "stratège" en viendrait à s'immiscer comme conscience de soi au plus profond de l'intimité, à l'instar des époques léniniennes, mussoliniennes, hitleriennes, maoïstes (cette dernière remise au goût du jour par Badiou) aujourd'hui chaveziennes.
Mais quoi ! devons-nous laisser encore les partisans de cet État total parler en "notre" nom, NOUS, membres, aussi, du Peuple de France ? Alors que cette clique et sa claque construisent, méticuleusement, la mise en misère, et ce afin de mieux la dénoncer et même accuser de pauvres "pigeons" d'être des "vautours", des "bons à rien" renchérit la photocopie française de Chavez, comme si rien n'avait été appris de l'effondrement soviétique, castriste, caste triste qui castre afin de toujours paraître en castra de la République à défaut d'en être les hussards ?…
Il semble bien que oui.
Une réflexion sur « Pour un “choc” d’équité »