par Ces étatistes invétérés, ces "dominants", tous les mêmes, hurlent du haut de leur suffisance médiatico-politique un "non" d'enfants gâtés souffrant de voir que les lampions républicains sous lesquels autrefois ils paradaient de fonction en fonction ne brillent pas autant (faute de fonds…)pour leur superbe déclinante qu'ils tricotent toujours et avec hargne sur le dos de ces moutons, mêmes plus bêlants, de citoyens français matraqués tant la laine manque. Mais point la haine. La leur. Celle de ces sangsues (vraies suceuses de sang, elles…) hurlant au loup à la moindre tentative de leur arracher l'État de leurs serres putrides pour en refaire enfin un endroit pour tous les citoyens et non pour une poignée de pédants persuadés que leur diatribe "anti-libérale" marche encore, même si elle est renforcée ces-temps-ci leurs concurrents en mots identiques ou quasi au sein du FN.
Ainsi "le" patron sera surtout vu en parasite, généralisant brodant sur quelques moutons noirs, en se basant surtout sur l'analyse marxiste de la plus value qui s'avère décelable là où l'entreprise va mal ou lorsqu'elle s'appuie uniquement sur des bas coûts (et des coups bas) dans un environnement par ailleurs interdisant toute contestation, toute concurrence; on aura reconnu là la Chine, et toutes ces entreprises publiques françaises employant nombre de précaires comme dans les facs avec ces vacataires n'ayant même pas droit à un seul jour de congé payé…
Pendant ce temps les titulaires qui ne jurent que par les "dominants" ci-dessus feront colloque sur colloque, et même des "états généraux des sciences sociales" pour serrer les boulons d'une machine qui leur échappent, qu'ils ne pourront plus bientôt vider de son sang, tant elle est de plus en plus à plat.
