Il suffit d'observer cette vidéo (ici) pour comprendre la dégénérescence la misère l'incontinence, l'évanescence d'un pauvre petit pouvoir socialiste français aux abois, à la rue, à ramasser, pliant sous les coups des nervis zombis zadistes de mrd, en jouissant en coulisses sans doute, devant derrière en haut lieu se repassant les vidéos dans les salons à partouze mentale sur grand écran entre frou-frou joint "cellule de crise" mort de rire morves morveux "en marche" etc.
Et c'est ce gouvernement, incapable de tenir la rue en particulier, le pays en général, qui prétend faire la leçon au monde à Israël en particulier : on croît rêver. Cauchemarder. En vidéo.HD.
Où est le réel ? Dans cette vidéo montrant ce policier (noir) en dernier samouraï ?…
La politique spectacle s'accélère et nous fait passer définitivement de l'autre côté du miroir, ce puit sans fond : nous avons beau hurler figés en selfies sur les écrans prothèses, impossible désormais de les franchir pour revenir dans le réel charnel des échanges pieux, le prout-prout de la non exagération, alors que la rue déborde, sa roue tourne vers l'enfer de l'affrontement sans conditions tandis que le Venezuela montre la voie.
L'ultra-gauche qui domine encore à vrai dire la scène culturelle des élites françaises (malgré une trouée récente de quelques trublions étiquetés "facho" par les nervis mentaux du service rouge/noir/vert) peut rigoler, la hollandie fait dans son froc mais il peut en changer chaque heure c'est free, man, et une ribambelle de sociogogues vient faire de la retape en déblatérant des chiffres et des lettres sur la composition de la nuit debout, nuit figée, morceaux de noir glacé, en son sein git des visages en décomposition malgré quelques images bon enfant de bibliothèques posées à même la rue, lointain souvenir d'un Hugo dialoguant avec Gavroche sur la responsabilité de Voltaire ou de Rousseau les deux mon général.
La France s'effiloche malgré Filoche, la France dans ses manchons avec Mélenchon et rond petit patapon mais comment se fait-il que tous ces gens hagards, niais, ingrats malgré leurs effets de style dans leurs "battle" à la noix (de coco…) peuvent encore parader sans qu'un grand éclat de rire ne vienne les envoyer balader telle une vague scélérate qui du haut de cette accumulation de haine nettoie enfin ce rivage ravagé ?
Comment peut-on rester encore sérieux ? Pourquoi enfiler des arguments ? Pourquoi faire ? Et à quoi bon ? Puisqu'il suffit d'être là dans la rue en attendant d'être transformé en image et baladé sur les "réseaux sociaux" messe de l'art vivant et sa Biennale contemporaine celle du politique en implosion fusion déflagration.En mai fais ce qui te déplait.