La République, la Nation, française sont en danger, mortel. C’est un fait (éculé) plus du tout une opinion (depuis longtemps). Des bibliothèques entières sont à disposition (des rapports “scientifiques” aussi ils calent les bureaux indélicats). Dans ces conditions et face à la tyrannie s’installant insidieusement, appendice local d’une dictature mondiale techno-climato-sanitaire et affairiste, de moins en moins invisible, il est temps non seulement de réagir en disant non, mais aussi de réunir les moyens du renouveau.
Bien sûr de tels propos apparaissent d’entrée “disproportionnés” (déséquilibrés?) issus sans doute d’un “fou”, voire d’un “gourou” ou d’un “druide” (du moins d’un “illustre” inconnu) à la recherche sûrement de sa seconde de jouissance sur écran mobile, mobilisant les naïfs et paresseux soucieux eux ainsi d’annoncer enfin que “le roi est nu” afin bien sûr de le remplacer et qu’il serait donc grand temps de sonner la fin de règne les Salons attendent… Ainsi ricane la Galerie des Glaces, elle qui donne le Là.
Mais il s’avère qu’au delà des quolibets, nuances et divergences, un fond (un sol)persiste et remonte à la surface sous forme d’une exigence celle d’observer les conditions se créer à nouveau en vue d’une explosion mentale si forte et si soudaine qu’elle ne pourra pas ne pas forcer le destin qui on le voit bien peine à faire sa mue tant certains cherchent à l’empêcher, ce qui nécessite bien “un coup de pouce” celui d’un Comité de Salut Public.
Les Jacobins commencèrent ainsi mais finirent mal posant les racines de l’Être Suprême en dernier alors qu’il aurait fallu faire le contraire. Leur flambeau est à terre. Peut-être est-il temps de le ramasser quand même, le Relais n’attend pas, et puis il pourrait tomber dans de “mauvaises” mains….
L’Idée d’en appeler à nouveau à un Comité de Salut Public m’avait été soufflée naguère par un feu luxembourgiste hélas englué dans les errements d’une “révolution introuvable”, je n’y avais pas prêté trop d’attention à l’époque sentant cette Idée, trop précoce, ou hors d’atteinte pour ma très jeune compréhension du moment. Et puis il fallait apprendre, fourbir ses armes.
J’ai changé d’avis tout récemment en observant des nains s’en prendre sans vergogne à des géants les traitant même de haut alors qu’ils n’arrivent même pas à se hisser à leurs semelles, le caniveau (désormais médiatique) duquel ils n’auraient jamais dû sortir, leur sied si bien. Reality Show.
Aussi, s’agirait-il, au-delà des divergences encore une fois, de se réunir au moins sur ces deux points communs : La République sombre, la Nation se fragmente, comment créer le Sursaut et aussi l’Invention à même de sortir de cet éternel dilemme entre Salut Public et Privé, liberté ou égalité, fraternité ou solidarité, toutes ces oppositions n’étant que de faux dilemmes en réalité tant nous savons qu’il les faut toutes pour être ensemble et non seulement vaguement cohabiter.
Les ennemis de la République et de la Nation opposent d’ailleurs ces deux derniers termes tout en se targuant de “démocratie” alors que chaque jour passant non seulement ils la bafouent (ont-ils su d’ailleurs ce que cela signifie à l’ombre des soleils en pleur?) au nom de notre “bien” comme toute tyrannie l’affirme.
Cette (énième) supplique restera sans doute lettre morte, emportée dans le tourbillon des maux volontairement niés sous des chiffres trompeurs, tout cela semble de toute façon si éculé et fourbu tordu (chapeau pointu) ; et pourtant il semble bien que pour une fois et à l’heure de cet énième bras de fer entre Marseille et Paris, il serait temps que grâce soit rendue à la première, mère des Fédérations et ayant la première chantée l’Hymne créé à Strasbourg, elle fut flouée par les dorures superfétatoires d’un Paris essoufflé, Paris englué, Paris enchaîné, intimidée par le faste idéologique d’une gentry pédante ignare et prétendant être la plus belle se mirant dans les miroirs de l’époque sachant pourtant que Blanche Neige est la plus belle : la vérité tranchante sonnante et trébuchante qu’il lui faut alors éblouir salir meurtrir ; telle fut dès le départ cette volonté de flétrir l’Idée d’une Fédération constituante que la néo-monarchie en gerbe chercha à tuer tout comme aujourd’hui décidant de fermer ici d’ouvrir là calibrant la vitesse d’un virus à la façon d’une particule modélisable; comme si nous étions dans un jeu vidéo géant manipulé par des cyniques aux yeux de verre.
Allons-nous ainsi (nous) “laisser aller (nous) laisser faire” ?…
Bouteille au fil putride de l’eau médiatique en rétention d’épuration haro sur les adages en plein naufrage…
Ainsi soit-il.