30 mars 2023

Nouvelles tératologiques: comment les monstres actuellement au Pouvoir sont-ils fabriqués?

La fabrication des “masquocéros” et aujourd’hui des “injectiocéros” bat son plein alors que les chiffres justifiant une accélération des “doses”, aux effets de plus en plus courts (les cocaïnomanes en savent quelque chose) sont d’autant plus biaisés  que l’on ne soigne toujours pas malgré l’efficacité ascendante des traitements précoces ; mais ce qui nous intéressera ici sera plutôt la fabrication des monstres qui justifient ce transhumanisme réel non pas à venir mais déjà .

La criminologie sérieuse (du moins celle qui ne peut éluder  la nécessité d’une tératologie anthropologique (T.A) : étude des monstres appliquée aux êtres humains) a bien montré que si le criminel ordinaire n’a pas nécessairement un gène criminel à la base comme d’aucuns le pensaient naguère (pas “nécessairement” parce que cela n’est cependant toujours pas tranché sans parler des sociopathes et psychopathes dont la “nature” génétique est également toujours en discussion) néanmoins il semble bien qu’il faille au préalable avant de passer à l’acte et hors impulsivité autrement dit lorsque cela est prémédité (ce qui est plus lourdement sanctionné d’ailleurs) avoir détruit au sens d’inhiber en soi (dans tous les sens du terme) toutes les notions morales (pour une part intégrées neurologiquement comme l’explique  Jean-Pierre Changeux à la suite de Pierre Janet , ici p.8 le cas du capitaine Zd, 4ème paragraphe) c’est-à-dire dont la transgression y compris accidentelle (comme dans le cas du capitaine Zd, supra) engendre “normalement” l’irritation, l’agressivité esquivant en fait la honte la culpabilité puis le regret dans le temps long.

Sauf qu’il faut faire taire tout ceci.

Les criminels doivent donc éteindre volontairement tous ces sentiments, toute “petite voix”, entourant chaque geste du quotidien et en l’occurrence ici l’acte délictueux ou criminel; pour y arriver, les limites morales doivent être tout d’abord discréditées moquées relativisées pour les personnes non entravées neurologiquement et en ce cas toute la littérature néo-léniniste (déconstructionniste et postmoderne) s’avère parfaite en ce sens comme je l’ai montré (dans maints livres et articles) Lénine et sa secte admirant par exemple les criminels comme Foucault d’ailleurs sans doute dans cette capacité à “couper des têtes comme l’on coupe des choux” avait déjà relevé Hegel lorsqu’il étudie la “Terreur”(1792-1794) dans sa Phénoménologie de l’Esprit.

Mais comme cela ne suffit pas il faut se rendre insensible, froid (l’Etat étant “le plus froid des monstres froids” disait Nietzsche) mettre donc tous les “affects” de côté avant ou après l’acte puisque celui-ci au moment où le criminel agit doit être fait du mieux qui soit : aussi l’assassin doit être au moment même de l’acte soit sobre, soit avoir ingurgité une substance qui chimiquement amplifie (et donc n’altère pas) son acte comme le captagon soit enfin lorsqu’il dirige indirectement l’action il doit avoir éteint systématiquement tout sentiment toute morale (désuète par essence) tout en affichant bien sûr un sourire d’ange.

Nous y sommes. Les dirigeants actuellement au pouvoir, et ce dans tous les domaines, sont bel et bien des monstres de cet acabit, des “variants” bien sûr provenant de mutations successives comme ces alliages à la fois affairistes et hygiénistes (images du corps  vidéo parfait projetant “l’humain” robotisé) parce qu’ils ont, depuis “l’accident” du laboratoire maoïste et la qualification comme “toxique” de tout traitement non “vaccinal”, quitté l’ordre du Réel (qui montre une létalité infime du virus et l’efficacité croissante des traitements précoces) pour l’ordre de l’Idée techno-scientiste à fusion totalitaire personnifiée par le “Passe”.

Ces monstres imitent ainsi ces grandes Sectes de l’ancien temps, l’époque des hommes-dieux égyptiens assyriens romains au pouvoir immense et tentaculaire entourés d’esclaves au sens littéral, aujourd’hui fanatiques volontaires jouissant d’être dominés et en même temps de faire sadiquement souffrir ceux qui en dessous d’eux refusent, pensent encore que nous sommes en “démocratie”.

Le cadre étant posé, il faut maintenant disséquer chaque monstre.

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