Dans une récente synthèse bien plus parlante que celle de Santé Publique France (allez sur la gauche cochez sur “pathologie” puis déroulez à C et “Covid 19-vaccination”), la rubrique santé du Journal des femmes montre bien que (hors analyses à partir de traitements précoces jamais faites à l’exception de celles de l’IHU de Marseille et de sites sérieux) que les principales victimes ont été et sont toujours essentiellement des personnes très âgées et ayant des comorbidités, on ne voit pas alors pourquoi ce ne serait pas sensiblement la même chose pour lesdits “non vaccinés” qui encombreraient aujourd’hui les “réa” ...
Or, cette analyse précise par catégories à risque est introuvable y compris sur les sites dits “professionnels de santé” ; on parle bien de “non vaccinés” mais c’est tout ; ce qui implique bien un “biais” non quelconque qui a été soulevé à plusieurs reprises et depuis plusieurs mois sans qu’aucune réponse sérieuse ne soit donnée alors que la chose s’avère pourtant “simple” (logiquement) :
si la plupart des personnes hospitalisées à cause de cette maladie sont des personnes très âgées et ayant nombre de comorbidités (Journal des femmes, supra) alors ce sont elles qui doivent être concernées et non pas la population en général.
D’autant qu’il a été démontré que “sur quelques cas d’infection détectés chez les écoliers avant la fermeture des écoles que les enfants n’ont transmis l’infection ni aux élèves, ni aux enseignants et ni aux autres personnels des établissements scolaires”
Ce qui implique quatre choses quant cette différentiation entre infection et transmission :
1/ Comme l’indiquent les vrais spécialistes depuis des mois et des mois ce sont seulement les personnes à risques qui doivent être préventivement approchées
2/ Pour ce faire, des traitements précoces permettant de renforcer leur système immunitaire doivent leur être proposés et un suivi sérologique régulier serait à même de le visualiser.
3/ Si l’on agit ainsi (1 et 2) les limitations type “passe sanitaire” sont nulles et non avenues
4/ L’inanité du “masque” en particulier à l’école en extérieur comme en intérieur, mais aussi ailleurs, s’avère patente à partir du moment où l’on ne fait pas partie des catégories à risque et que l’on n’est pas malade évidemment : la “positivité” ne démontrant pas de corrélation avec la contamination et celle-ci avec l’hospitalisation.
Toute cette généralisation autour des “non vaccinés” n’est donc que mauvaise littérature ; ou manipulation. Pendant ce temps les réels problèmes sont écartés:
- Qui a commandité l’étude frauduleuse du Lancet hypothéquant les traitements précoces
- Pourquoi les résultats empiriques sont systématiquement écartés
- Pourquoi les médecins ont été empêchés de prescrire
- Pourquoi concernant les traitements certains ont été déclarés “dangereux” sur la base de quelques cas alors que concernant les quatre injections expérimentales la plupart des effets secondaires et des décès sont déclarés concomitants et non reliés à celles-ci?
- Pourquoi les conflits d’intérêts soulevés par une étude sérieuse comme “Enquête sur un virus” ne déclenchent pas l’ouverture d’une information préliminaire sur l’initiative d’une Commission parlementaire.
Tout candidat à la prochaine présidentielle française devra répondre à ces questions sous peine d’être d’entrée disqualifié.