Lorsqu’un ministre de l’économie dite encore française prétend sans frémir qu’il faut maintenir les taxes sur le carburant, malgré la hausse vertigineuse de celui-ci, car il faudrait continuer à alimenter “la transition écologique” alors que celle-ci est non seulement un gouffre, mais s’avère totalement inutile (l’éolien ne marche guère) de qui se moque-t-on sinon encore une fois du “peuple” (à diesel et allant au bistrot) rimant de plus en plus sans le dire pour les puissants avec “populisme” (de même que le drapeau français ringardisé) un “peuple” de moins en moins crédule néanmoins…
A vrai dire, tout le tralala monté (toujours) en épingle s’agissant de C.19 (et ses 0,5% de mortalité faute de traitements précoces) a bien montré que les conflits d’intérêts flagrants en la matière révèlent en creux ce qui existe également en matière climatique : la corruption (sans le mot) est patente, un peu comme cette vraie-fausse obligation qu’a été la contrainte du “passe vaccinal”, puisque y compris en amont de la dite recherche scientifique tout discours allant à l’encontre des vérités assénées sur la responsabilité (et culpabilisation) de l’Occident (exit Chine, Inde, etc) est écarté; Marcel Leroux en avait fait part lorsqu’il avait indiqué que son laboratoire avait eu les crédits coupés à la suite de ses analyses pourtant vérifiées sur “la” cause dudit “réchauffement climatique” (ne parlons pas de François Gervais que l’on n’entend plus guère…).
Aujourd’hui, et alors qu’il avait été indiqué par exemple en 2005 que “la neige ne tombera plus”, il n’est pas possible d’émettre une analyse contraire sans se voir d’emblée excommunié, traité de tous les noms sur les médias de “grands chemins”, placardisé en amont parce que la mise à mort sociale se fait lentement (ils écoutent Brassens aussi) ; idem pour la santé désormais (on parle de “suspendus” même pas licenciés donc les soignants -15000- vivant cette misère n’ont toujours pas de droits au chômage…), mais aussi sur Israël toujours fautif, l’islam toujours innocenté (pas d’amalgame) aujourd’hui la Russie en tant que telle diabolisée (tandis que la violation depuis huit ans des accords Minsk 2 se trouve minorée)…
Cela suinte donc de plus en plus au grand jour : la putréfaction d’un discours brutal cherchant l’hégémonie (c’est sa seule “recherche”qui compte pour lui en réalité) oppressant menaçant en permanence ; et il “cherche” même désormais à être sacralisé définitivement au rang de religion scientiste manipulant les chiffres à souhait, écartant les faits qui déplaisent, tuant socialement tout opposant ; le tout au profit d’une moraline en surface et d’un affairisme dans les profondeurs car il faut savoir que les crédits alloués pour les thèmes de cette nouvelle religion drainent des milliards et des milliards en amont (collusion entre recherches, labos, fond de pensions…) comme en aval (enseignement aux ordres par esprit de corps et positionnement dans les revues en vue, médias arrosés généreusement…) sans parler des positions prestigieuses qu’elles soient académiques ou informelles (dans les dits réseaux sociaux).
Doit-on laisser ainsi mourir cet esprit critique qui faisait justement l’exception de la civilisation française, même si elle n’était pas la seule pour défendre la liberté de penser? C’est non seulement l’un des enjeux cruciaux du moment, mais bien un enjeu vital au sens littéral du terme.