La solitude b(r)ouillonne des médias de grand chemin en rut; leur émasculation s’amoncelle. Réduits aux soubresauts d’instincts livrés en vrac, écervelés, les articulations étant ankylosées ou sectionnées, leur gentry, errante, ivre d’un succès mal acquis, donne les derniers coups de griffes de bêtes mal appris, SHAA à l’agonie s’acharnant par exemple avec de petits cris (de plaisirs) étouffés sur les épaules maoïstes pour ne surtout pas épauler précisément Poutine exclu du bordel ambiant (chemsex) pour crime de lèse-LGBTIQ+ alors qu’elle s’empresse d’encourager leurs béliers humains (de 16 ans) à se jeter dans le chaudron et hachoir guerriers sans lendemain.
Petites mains. S’afférant à porter et ânonner les brèves de comptoir écrites en rigolant dans les Palais des Puissants en Vogue.
Les grillons, médiatisés désormais, savent aussi griller la politesse à tout analyste sérieux écarté comme “plaisantin”maintenant que “complotiste” ne fait plus recette; et depuis que les révélations sur les entourloupes du siècle émergent, telles ces lanternes de lumière lancées un soir de pleine lune ; en attendant l’ultime, ce qui ne serait trop tarder…