Hypocrisies, impérialismes culturels et socio-économiques d’une “gaute” et “droiche” cyniques mais si habiles (elles viennent de gagner les législatives en France contre toute attente) sachant si bien sécher leurs chaussettes d’archiduchesses, tous leurs privilèges, dans la grande Machine à capter l’argent public au nom de grands principes pour le rendre “privatif” en coulisses.
Ces archiduchesses nouveau genre le font en agitant d’une main et avec force quelques objets de bonimenteurs professionnels (SMIC, retraites, gratuité diverse et variée, “start-up nation”…)montrant ainsi qu’elles se battent du moins dans les mots pour les travailleurs et “salariés” (jusqu’à s’approprier les marques “Front Populaire” et “arc républicain “) alors qu’elles les appauvrissent de jour en jour : plus de 15 millions de pauvres en réalité qui aimeraient mieux travailler pour eux que pour “l’Etat”autant à leur service que l’était celui de l’URSS, Cuba, les datchas somptueuses réservées à la Nomenklatura comme aujourd’hui avec les appartements de fonction, le mobilier national de plus en plus pillé…
Mais les chiffres officiels parlent “seulement” de “9 à 11” millions de “pauvres” chiffres made in INSEE aux ordres comme toutes les autres institutions Instituts de plus en plus vermoulues (tels les Conseils, Cours, Académies, ARCOM…) ; alors que toutes se gavent “en même temps” et certains avec des payes fabuleuses (pas moins de 16.000 euros mensuels) sans oublier des subventions faramineuses en veux-tu en voilà à la presse aux ordres (alors que FranceSoir vient de perdre toute aide) et aux entreprises acceptant ce Pacte du “modèle social à la française” (je te casse une jambe mais je “t’offre” des béquilles…) qui ne tient de plus en plus que par la dette et les trappes à pauvreté au lieu du salaire complet d’une réelle échelle mobile des rémunérations, d’une réelle stimulation à l’innovation clé de toute productivité.
La gaute et la droiche se sont ainsi planquées dans un “administratif” (public-privé avec pantouflages et jetons assurés) et autres commissions Théodule dont le nombre a gonflé démesurément à l’instar de l’Argentine avant que Javier Milei ne tente de sabrer dans le tas, sous les quolibets évidemment de tous ceux qui s’engraissent ainsi sur le dos du Salariat (français, mais c’est devenu un gros mot…).
Le tout est bien sûr payé par les taxes directes et indirectes (TVA dont celles sur le carburant, le gaz et l’électricité) et donc de plus en plus par la dette dont le service est en passe de devenir le premier poste budgétaire...
Ce jeu subtil de bonneteau consiste à se payer sur la bête tout en lui contant fleurette; et comme il faut aussi des preuves d’amour il s’agit de lui graisser la patte (mais avec son propre argent : principe du bonneteau) afin qu’elle vote “bien” ; comme ça mère-grand Tatie Danielle Mélenchon sera bien contente de faire grossir son cheptel dont elle est pourtant le loup et non le berger; elle vocifère en brandissant sa patte souillée d’accords électoraux bidons alors que Macron lui a bien souligné que Mélenchon a voté pour la continuation de la destruction de la nation française via la destruction des frontières, de son industrie, sa soumission à l’alter-djihadisme associant antisémitisme de fait (puisqu’un juif n’a pas le droit d’être souverain sur sa propre terre pourtant) et expansion d’une “archipélisation” de fait ou le retour des micro-califats d’avant Charles Martel (à Narbonne par exemple) basés aujourd’hui sur le narco-trafic et le clientélisme à la vénézuélienne : logement + allocs= vote mélenchoniste avec des scores à la coréenne du nord…
Mélenchon a détruit aussi l’indépendance énergétique française en appelant à l’arrêt du nucléaire et a fait élire l’un des saboteurs en chef en la personne de Voynet et de Hollande (avec ses 50/50), de même que Macron qui a fermé Fessenheim (remise à neuf avec l’aval de l’agence pour la sûreté nucléaire) s’est fait réélire en macronant qu’il allait relancer le nucléaire alors que comme l’explique bien Michel Gay il s’agit au contraire de l’asphyxier peu à peu, le tout au nom d’un affairisme mafieux lié aux énergies éoliennes, abandonnant ainsi armes âmes et bagages au tout venant…
Quant à Micron, il croit que son microcosme a une dimension macrocosmique alors que l’alliance électoraliste d’un jour ne fait pas un programme ; d’autant plus qu’il s’agissait de sauver des places à des gens qui sont devenus nuisibles au pays…
Du moins si celui-ci veut se redresser, ce qui n’est pas sûr à voir le résultat du second tour, produit sans doute à force de culpabilisation sur la période pétainiste et le fantasme du “demain on rase gratis” en guise de loto, oubliant que tondre les riches est un fusil à un ou deux coups, et que même s’il faut casser des oeufs pour obtenir une omelette, il s’avère que celle-ci a été accaparée par la Secte si avide de transformer la démocratie d’opinion en village Potemkine qu’elle s’en prend même à C8 qui saute (en attendant Cnews, supprimer les deux était délicat…) alors que C dans l’air et tout le service public restent peuplés d’idéologues exécrables et surtout de fossoyeurs se disputant seulement sur le nombre de pelletées à poser sur le cadavre en décomposition d’une France à l’abandon…
Le pompon, enfin, étant cet acharnement à contenir le effets de l’alter-djihadisme par les contrôles et passes au lieu de s’attaquer directement à la cause principale du mal: un enseignement de l’économie synonyme de l’enfer, et de l’islam enjolivé, parlant seulement par exemple de “conquêtes” et non d’occupation de terres qui ne lui appartiennent pas et de mise en esclavage au nom de l’islam de millions d’africains d’asiatiques, d’européens, alors que l’on sera tout feu tout flamme contre les Juifs récupérant leur terre spoliée par la mise en esclavage sous Rome puis Byzance, Damas, Ankara…
Aumônes, miettes sociales, mise sous tutelle des peuples meurtris humiliés soumis, propagandes jusqu’au coeur du scolaire, les “démocraties” dites “occidentales” sont devenues des succursales de l’enfer nihiliste hygiéniste et affairiste, leurs drapeaux en lambeaux par compensation esthétique, “exception culturelle”, celle de l’art contemporain ou art contant comptant pour rien.