par Pas sûr. Et c’est ce qui a fait enrager Mégret et les autres. Un tribun, certes, une “grande gueule” disait l’autre (mais qui ne lui arrivait pas à la cheville) au sens de réveiller les endormis telle une Pythie. Car malgré ses jeux de mots maladroits, même sa condamnation ne tient pas la route lorsqu’une Simone Veil racontait qu’au retour des camps personne ou presque ne s’occupait des rescapés des chambres à gaz, permettant ainsi à un Faurisson d’en douter ; c’était alors bien un “détail” non pas du nazisme mais du déroulé de la seconde guerre mondiale, même la Croix Rouge en 44 n’avait rien vu à Auschwitz…
Alors il y a bien sûr les tortures pour faire parler les poseurs de bombes lors de la bataille d’Alger, éternel débat, fallait-il que cela continue, la production d’estropiés et de manchots ?… Les tripes éparpillées ?… Et quand JMLP se lève à une émission de TV ce n’est pas pour honorer la mémoire de nazis mais des victimes du communisme qui attendent toujours leur Nuremberg…
Et lorsqu’il soutient Israël en 67 les différentialistes de l’époque le quittent jugeant qu’il est trop “dans la main des sionistes” un peu comme aujourd’hui Rivarol soutenant plutôt JLM qui lui peut tranquillement croquer sa retraite de sénateur alors que son courant aura eu les mains rouges de sang dès…17…
Et personne ne vient pleurer pas plus qu’aujourd’hui lorsque l’on apprend ce qu’on subit les jeunes ouvrières des cités anglaises abandonnées par l’affairisme du libre-échangisme bien loin des “avantages comparatifs” -qu’une bureaucratie syndicale a bien aidé car il n’est pas vrai qu’une Thatcher aurait pu tordre le bâton dans l’autre sens s’il n’y avait pas eu la gabegie étatiste allant socialiser jusqu’à 83% des richesses produites…pour rien…Les trains anglais privatisés eurent un mal fou à rouler sur des rails potables.
D’où l’idée aussi que JMLP, cette époque, qui était aussi celle de Reagan, était plus “libéral” que sa fille (qui semble cependant bouger) au sens de comprendre que ce n’est pas en maternant à l’excès le peuple, en lui distribuant du poisson, qu’on lui apprend à pêcher…
Mais il n’y avait pas que cela, n’oublions pas ce souvenir revivifié de Jeanne d’Arc, “on” se remémorait à nouveau que la France ne commençait pas en 1789 et que oui Molière Descartes mériteraient d’entrer au Panthéon qui devrait être ouvert à tous ceux qui ont fait la France, depuis ses débuts…
Et, cette flamme, là, JMLP l’a portée, l’a dressée, et sa fille l’a emportée en héritage ; à charge de la faire fructifier ; ce qui ne semble pas évident au regard de ces boulettes, ces piètres candidats, du caviar pour les jeunes requins comme Attal qui a su manipuler les “bi” comme JLM le fait dans les “quartiers” en agitant des non arguments, du sophisme pur, traitant de racisme des questions républicaines comme les frontières et la citoyenneté, ce qui fait qu’ils sont bien tous hors sujet n’agitant que des insultes en guise d’arguments…
Au fond, une brèche dans le Mur de la Honte aura été faite, il reste encore du chemin pour l’abattre tant les meneurs les assesseurs les assassins de millions de vrais communistes pourtant mais aussi de patriotes qui croyaient à une “Afrique, plurielle” sont encore au pouvoir et paradent même, se sucrent, creusant le déficit en veux-tu en voilà, allant même jusqu’à suspecter un porteur de “bonnet jaune” d’être un dangereux terroriste ; et, pendant ce temps, Boualem Sansal crève dans sa cellule et tant d’autres en Angleterre croupissent parce que des lâches ont décidé de se taire de se soumettre.
Qui fut, de fait, le Trump français ? JMLP. Mais le voulait-il ?…
