Lorsque le propagandiste Patrick Cohen se met sur automatique en attaquant Musk façon Godwin, et donc bien en dessous de la ceinture, ou encore que des juges bloquent, ici, des obligations de quitter le territoire, tout en forçant parfois à les marier, et, là, empêchent, carrément, cette nécessité, démocratique (?), de contrôler les comptes -en y ayant déjà accès (!) tout cela, ces entraves en réalité aux contraintes démocratiques, sont de plus en plus autant d’indices prouvant, s’il en est, qu’une fois de plus presse et justice deviennent en fait ces lézardes s’agrandissant à vitesse grand V sur ce qui était déjà une façade, un trompe-l’œil et au travers desquelles désormais l’on (ne) voit (le) Rien…

Voilà le pot aux Roses (qu’un Mitterrand, en parfait vampire, brandissait autrefois):

Offrandes morbides, roses, blanches, cherchant à cacher sous leur amoncellement le Cadavre de la Démocratie ; telles ces légions d’honneur en veux-tu en voilà, ces vidéos faussement malicieuses faites par I.A . D’où cette senteur de plus en plus putride exhalant de placards ambulants prenant même aussi la forme d’automates “vivants” grimaçant quelques moues obligées (“lutte” contre ceci et cela) leur permettant, ici, de continuer à toucher l’argent du contribuable, là-bas de recevoir des remboursements et des retraites factices en guise de “repentances”.  Tout en hurlant :

-Votez, votez,  lisez, regardez, Oyez ! Oyez !  Mais seulement là où l’on vous dit de (le) faire .

D’où cette hargne cet acharnement à refuser de se plier à la légitimité démocratique en lui opposant des arguties vulgaires, tout en jouant formellement sur les lois : ainsi le fait même de marier un condamné n’est pas en soi un acte illégal, mais comme sa présence l’est, il y a bien là une hiérarchie des normes à respecter que le juge refuse pourtant, dissociant humain et citoyen, sachant et en jouissant que son acte peut être cassé par l’échelon supérieur (de moins en moins cependant la décomposition s’étend) ; mais cela fait gagner du temps et aussi du prestige dans les Salons de la Secte peuplée de tous ces zombis clamant qu’ils sont déjà “morts” au(x) sens, à la raison, et que donc accomplir des actes insensés, anti-rationnels, ne leur coûte rien, précisément, ou le cynisme puissance mille pour aller vite dans le prosaïsme pédagogique.

Et tous ces “morts”, volontaires, continuent même à parader, y compris habillés en tout neuf et de pieds en cap façon Playmobil tels ces djihadistes sur pile agitant des autorisations de sortie distribuées à des otages émaciés au possible afin d’épouvanter ; et ces morts-vivants s’agrippent coûte que coûte, derniers réflexes cadavériques qui se rigidifient en attrapant bras et jambes, ou en se collant à un micro du service public pour débiter leurs insanités, sûrs de leur impunité, puisque d’autres zombis faisant office, eux, de “juges” en vogue veillent, arrimés à ce bateau fantôme qu’est devenu la France, l’Occident, malgré le sursaut des parties encore saines qui cependant sous-estiment l’état de décomposition atteint que même un Emil Cioran aurait sans doute eu du mal à préciser…

Mais cette guerre de “communication” a au moins le mérite de faire (re)découvrir une chose : l’importance de ne pas seulement déclarer la faire, de signer plein de décrets, mais de pouvoir arriver réellement à ce que ces derniers atteignent jusqu’au réel, ce qui n’est pas rien… D’où l’idée de marteler qu’il faille fonder de nouvelles institutions à la fois nationales et mondiales… La SDN avait failli, idem aujourd’hui l’ONU… La 4 ème République en France a succombé sous son poids partisan, la 5 ème risque de mourir étouffée par ses juridictions censées la protéger, il convient donc d’écarter les bras et bouches de tous ces morts qui s’accrochent aux pupitres et micros, un travail de médecins légistes certes, avec un cœur bien accroché, tant la puanteur de la décomposition devient ce GES qui pollue de plus en plus l’atmosphère, et jusqu’à en incarner l’esprit (Geist)…