19 mars 2024

La communication très sado-maso du gouvernement Macron

Ainsi il serait question de confinement “très serré” comme un “bondage” dans une séance S.M (sado-maso) avec masque obligatoire et ordres de plus en plus humiliants en guise de fouets et clous comme ne plus parler dans le métro, dans la rue, rester à deux mètres, ne plus aller boire un verre, s’embrasser, se serrer dans les bras, se sourire, manger à une tablée, danser à plusieurs, se rencontrer pour la première fois et se prendre la main; comme si était devenu dominant le langage et les pratiques propres aux partouzes et au sado-masochisme dans lesquels tous les statuts sentiments et perceptions sont écrasés au profit d’une seule vision: celle de corps plastiques aux orifices interchangeables, (13 ans, plus ou moins) ces fameuses machines désirantes et corps sans organes de Deleuze qu’admirait tant Foucault…

Ce n’est pas une comparaison polémique: car cette façon de voir et traiter les corps (détruisant des siècles d’éducation du regard et des manières) ne peut pas changer brusquement du tout au tout lorsque l’adepte se rhabille et redevient porte parole ministre haut fonctionnaire ; il suffit d’écouter d’ailleurs certaines victimes pourtant sympathisantes politiquement, en particulier des femmes, lorsqu’elles témoignent (très difficilement et parfois des années après)qu’il était par exemple impossible d’être seule avec untel ou untel dans un ascenseur un couloir un bureau sans se faire immédiatement alpaguer peloter sans compter les SMS incessants demandant quémandant une soumission, surtout si un “service” aura été accordé…

Aussi s’agit-il de la même jouissance (pas identique sans doute mais similaire) il faudrait alors pouvoir mesurer ce que cela leur procure de voir sur les écrans de surveillance des salles de commandement ministérielles et préfectorales ces milliers et milliers de personnes portant la muselière tout en s’affairant à ce qui leur reste de vie “libre”; cela doit les exciter diablement, un même continuum symbolique entre la séance S.M micro et la séance macro ; pourquoi ne pas alors en rajouter en “serrant” plus fort, et jouir encore mieux en entendant les plaintes qui sont cependant toutes déboutées ou acceptées à la marge (comme l’illégalité de l’autorisation de déplacement) alors que les avis dudit Conseil Scientifiques ne reposent sur aucun compte rendu archivé, ce qui est illégal, alors que nombre de juridictions s’appuient pourtant sur ces “avis” (dits “consultatifs”) pour justifier les ordres de “bondage” sanitaire, alors que les traitements précoces ont désormais plus d’un an d’expérience, ce qu’essayent de souligner nombre de médecins ayant pour certains porté plainte sur la base d’un dossier de plus en plus solide et de plus en plus volumineux, mais ayant toutes les peines du monde à se faire entendre comme l’explique Maître Teissedre à France Soir.  

Plus généralement autour de cette dernière observation il s’avère que ce que l’on appelait autrefois les insuffisance respiratoires, les affections pulmonaires, tuant de manière permanente des millions de personnes annuellement et nécessitant des approches médicales permanentes  et à niveau de risque comme l’indique Didier Raoult (dans l’un de ses vidéos), n’avait pas pour conséquence d’arrêter la vie de tous les bien portants ; surtout au nom de présupposés stipulant implicitement que sans cela les répercussions létales seraient l’équivalent de la peste avec la suppression d’un tiers de la population, ce qui est évidemment faux (et nécessairement voile d’autres stratégies telle celle du Grand Reset).

Et pourtant la majorité de la population accepte l’énormité de ces mensonges en particulier qu’il n’y ait rien d’autre que les “barrières” et le confinement pour soigner, ce qui est encore plus faux.

Rien d’étonnant à cela au fond que cette croyance majoritaire : la peur de (faire) mourir assénée par la puissance du matraquage médiatique, de la propagande, est telle qu’elle sidère, intimide,  fait jouir ceux qui veulent être dominés (parce que leur vie n’est qu’errance de toute façon) d’autant que cette propagande est mondiale, portée par de jolies personnes ou/et se prétendant “savantes” (et l’écran TV leur donne l’exosquelette adéquat).
Elle a réussi aussi le tour de force de drainer toutes les forces politiques et intellectuelles, et elle est de plus en plus menaçante, exigeant par exemple dans diverses “circulaires” de dénoncer les “discours complotistes” jusque dans les écoles ; ce qui en dit long sur le degré de dissociation mentale (voir Pierre Janet sur ce point) touchant désormais la caste sectaire au pouvoir; en ce sens où elle refoule de plus en plus tout contact avec le réel en compensant par un surcroit méticuleux de rationalisation comme faire croire qu’il serait possible d’empêcher les virus de “circuler” voire même qu’ils puissent nous traverser alors que nous sommes composés par des milliards d’entre-eux plus ou moins dangereux selon notre état de santé mis à mal de plus en plus par l’impossibilité de faire du sport autre que la marche à pied le vélo la course, ce qui ne sont justement pas des activités “douces” à portée de main et praticables pour certaines catégories surtout en hiver et lorsque l’on n’a pas vélo d’appartement et rameur chez soi…

En tout cas, l’hypothèse que je maintiens est la suivante : le désir pervers de faire souffrir (avec des justifications en béton armé jusqu’au fait de “sauver Mère Nature” comme le clament les partisans du Grand Reset) dépasse aujourd’hui les pratiques du sado-masochisme soft et du porno chic et se trouve amplifié, à la différence de l’époque d’un Néron voyant Rome brûler en jouant de la lyre, par la médiatisation permanente de plus en plus “serrée” en ce qu’elle amplifie un narcissisme exacerbé avec sa péroraison de plus en plus démagogue en manipulant les indices comme les taux d’incidence passant de 150 à 50, comme les confusions volontaires entre “cas” et “malades” comme l’exigence de voir toute la population vaccinée avant l’été alors que ce vaccin s’avère des plus fragiles pour ne pas en dire plus…

Jusqu’où ces Marquis de Sade d’opérette vont-ils continuer ainsi à opérer  ?… Le “jusqu’à quand” étant désormais tranché semble-t-il…

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