C’est une énième attaque certes, mais tout de même alors que J.K Rowling veut tout simplement aider les femmes, peu importe ce qu’elles revendiquent de leur sexualité d’ailleurs (hétéro ou homo) à partir du moment néanmoins où elles savent ce qu’elles sont bel et bien des femmes ; ce qui n’empêche évidemment pas les personnes “trans” de se revendiquer telles, mais non de se substituer à elles ou à eux… C’est le hic véhiculé par ces organes nihilistes et scientistes comme Télérama (au départ post-chrétien, ayant peu à peu viré dans le globalisme uniformisant transformant toute altérité irréductible en combinatoire interchangeable) : le fait d’imposer autoritairement totalitairement le vocable sortilège d’interdiction “transphobe” (en parallèle aussi avec “islamophobe” ce qui est un comble lorsque l’on connaît la durée de vie d’un “trans’ dans un pays islamique) alors que rien n’empêche encore une fois que des trans en tant que tels organisent des jeux trans se lient d’amour entre trans etc ; mais ils ne peuvent se revendiquer femmes alors qu’ils sont des hommes au départ et vice versa voilà tout ce que dit Rowling vouée aux gémonies jusqu’aux principaux acteurs d’Harry Potter…

Cela tombe pourtant sous le sens. D’autant que l’on sait de mieux en mieux grâce aussi dernièrement à l’excellent travail fait par les auteures de Transmania (voir la recension dans Dogma n° 28, p. 147) que l’identité femme (dialectique du Même et de l’Autre : identité de l’identité et de la différence) si elle évolue n’est pas réductible à un rôle, une compétence, en une  époque donnée, car la différence homme/femme fonde intemporellement sa biopsychologie dans tout le corps (calculant en permanence logiquement et éthiquement) et non pas dans les seuls organes génitaux, comme si l’on pouvait dissocier ainsi Bios et psyché alors qu’il s’agit des deux faces de la même médaille (les travaux déjà anciens de Marcel Jousse articulent ainsi leur jeu interne perceptible dans chaque geste chaque souffle, voir également la recension sur le dernier livre qui lui est consacré dans le même numéro de Dogma p.220 ) .

Et pourtant l’offensive des courants néo-léninistes habillés en queer devient défensive, désuète et d’arrière garde (néo-féministes se taisant lorsque les viols ne sont pas faits par des “blancs”, néo-trotskistes djihadisés recyclés dans LFI et les Verts, scientistes favorables à toutes les injections possibles, cobayes bénévoles, viande gavée aux blocages d’hormones, ploum-ploum tralala anarchie vaincra) tout ce fatras, ignare en plus, bas du front, reflue ; même si leur “fierté” dure un mois plein maintenant histoire de bien imposer leur totalitarisme qui dévoile ce qu’il est en s’écroulant : une propagande nihiliste et scientiste anti hétéro et homo : la preuve ? Les lesbiennes qui refusent que des hommes se revendiquent femmes viennent les harceler sont traités par les milices néoléninistes et nihilistes post-chrétiennes de “TERF” que “radio-France” exclut comme courant “transphobe et conservateur” ; manquerait que certaines dans ce courant soient aussi climatoréalistes anti cobaye humain  anti-ZFE anti-OQTF, et anti nihilisme sans frontièriste pour être interdites et emprisonnées (cela commence en U.K) comme l’indiquent les projets répressifs à venir provenant de la (Groß) Commission bruxelloise criminalisant ainsi toute opposition sur ces divers sujets classés de fait “tabou”…

Ce n’est pas “l’après démocratie”mais bien au contraire le retour vers son “avant” lorsque un certain obscurantisme clamait que les Juifs buvait le sang des enfants que les femmes indépendantes étaient des sorcières… Mais… N’est-ce pas ce que l’on entend aussi ces temps-ci ?… Juifs tueurs d’enfants, femmes défendant leur féminité native comme “transphobes”, femmes sans voile comme islamophobe (ou prostituée) nationaux voulant préserver leur continuité politique (et pas seulement historique) c’est-à-dire leur constitution (dans tous les sens du terme) comme “extrême droite” : bref,  si vous voulez noyer votre chien dites qu’il a la rage… Quelle rage ? La rage de vivre voilà ce que ces zombis ne supportent pas : aidons les à mourir (de rire bien sûr).

88 289 abonnés !

N’hésitez pas à cliquer sur les pubs pour nous soutenir !