YAKA disent les belles âmes globalistes se mêlant de tout faire comme pour le soldat Gilad Shalit retenu prisonnier durant cinq ans et libéré en 2011 contre 1027 prisonniers dont certains condamnés à perpétuité tant leurs crimes avaient été odieux bombes dans des bus etc., (le 7 octobre 23 en a été l’acmé) ; soit alors pour la quarantaine d’otages restante (dont seulement une vingtaine en “vie”)  1027 X 48 soit 49296 terroristes à “libérer”, et ce échelonné également sur cinq, dix ans… Et, pourtant, ce n’est pas le plus crucial car depuis qu’Israël s’est retiré de la bande Gaza en 2005, 8000 roquettes  avaient déjà été tirées, mouvement crescendo ensuite avec  cinq mille roquettes rien que le 7 octobre 23, et 19000 depuis… Autrement dit, même si Israël n’avait pas réagi après le 7 octobre sinon diplomatiquement, la pluie de roquettes continuerait, avec des “stop and go”, provenant également du Liban, Iran etc….

Mais à quoi bon continuer à démontrer l’évidence ? Pourquoi forcer les Nuls à croquer dans le fruit de la Connaissance du Bien et du Mal alors qu’ils n’ont pas soif de vérité mais d’illusions fantasmant un Jardin d’Eden qui aurait été encore plus parfait s’il n’y avait pas eu ces damnés Juifs (dont sont issus les Chrétiens, ce que l’on oublie généralement à Ligne Droite, Tocsin, Omerta, Fréquence populaire, Nexus, Géopolitique profonde qui tient, lui, le pompon avec Égalité et réconciliation etc…).

Et puis quelque chose de malsain suinte de ce genre d’analyses tentant de convaincre ces fanatiques ; rappelons-nous en effet qu’à la suite du 7 octobre 23, lorsque les affiches d’otages se mirent à fleurir sur murs et arbres, mi-fin octobre donc, soit un mois avant l’intervention israélienne, elles furent brutalement arrachées et sauvagement, en particulier par des jeunes femmes sans doute lfistes, pas du tout “racisées” ; comme si la barbarie du 7 octobre devait être effacée, acceptée, en réponse aux supposés “crimes de l’Occupation” ou le renversement des charges de la preuve puisque les réels occupants sont ceux qui à Gaza mais aussi ailleurs ont refusé de réaliser pratiquement dans les faits et non en l’air ou sur les plateaux TV, et leurs prolongements en “flottilles”, la cohabitation tant vantée ; en attendant mieux, pourquoi pas la “diplomatie des petits pas” pour commencer ?  Surtout depuis l’échec des accords d’Oslo (Arafat refusant de signer sous les conseils de Chirac et Villepin, il n’aurait pas signé de toute façon puisqu’il exigeait que 4,5 millions de “réfugiés” reviennent non pas dans le futur État” mais en Israël même, le Hamas n’étant pas en reste exigea à l’époque 7 millions…) ; or, si les YAKA du coin avaient voulu une cohabitation pacifique celle-ci aurait pu voir depuis longtemps le jour (depuis 47…) via la multiplication d’échanges commerciaux et la mise en valeur de la côte maritime dirait le Donald, prouvant alors qu’à l’instar de nombre de pays, y compris musulmans (et ce de plus en plus d’où leur soutien à son plan) ils seraient à même d’accepter dans les faits et non pas seulement sur le papier une présence juive souveraine…

Que nenni ! “Ils” ont préféré depuis 25 ans dépenser les milliards donnés généreusement par la “communauté internationale” pour construire les tunnels et améliorer leurs roquettes, empêchant ainsi plusieurs millions d’Israéliens de vivre sereinement à leur proximité alors que cette présence géographique n’était pas contestée internationalement à la différence de la Judée-Samarie….

Et ce refus se concrétise aussi par la rage la hargne à arracher avec furie les affiches d’otages, alors que l’assaut n’avait pas été donné, ce qui fut le prélude aux déchaînements y compris mortels actuels ; soit l’illustration frénétique de  ce refus absolu du fait juif souverain au fur et à mesure que le fait français, anglais, allemand, espagnol, disparaît. Comme si les Juifs devaient eux aussi se soumettre à cette injonction stipulant que l’assassinat le viol d’une autochtone accomplis par un “damné de la terre” est excusable, pardonnable, idem pour la Juive violée massacrée, ses soutiens chassés furieusement des manifs “féministes”…

Cette folie furieuse ne date pas d’hier, surtout lorsqu’elle suinte d’un fiel envieux provenant d’une lumpen-intelligentsia qui a eu toujours hâte de ponctionner, vampiriser encore plus la masse bêlante tenue en laisse depuis 45 par la “redistribution” mais de moins en moins cependant ; d’où la fuite en avant non pas vers la “réforme” mais la censure, la réquisition, le vol légal, l’économie de guerre au final afin d’arracher les derniers beaux restes des feu-nations qui avaient fait naguère la gloire de la civilisation européenne n’ayant rien à envier à la chinoise ou à l’indienne, bien au contraire, puisque l’émergence de l’arme à feu et de la science appliquée furent ses deux mamelles aujourd’hui bien flasques, hormis encore un peu aux USA, et dont le suc s’est universellement répandu.

Mais pour en revenir avec ce qui s’est passé dans la région proche-orientale, rappelons l’émergence des pogroms tissant les années 20 au fur et à mesure que la présence retrouvée et la prospérité amorcée sur des terres délaissées tant elles étaient arides et désertées, cet acharnement à entrer en osmose avec cette “terre promise” crée du travail, de la confiance et du bien-être et donc, par interaction, déclenche une immigration de journaliers “arabes” ne disant pas non à cette cohabitation commune, y compris sous occupation britannique, à partir de 19 puis de 23 lorsque l’empire Ottoman cesse d’exister;  ce qui fut mal vu par les djihadistes fascinés de plus en plus par la montée du fascisme et surtout du nazisme (qui a beaucoup influencé le nassérisme et baathisme dans les années 50, mentors du FLN sévissant en Berbérie centrale) s’illusionnant à croire qu’ils étaient chez eux comme les Germains, Romains, Francs, alors que ce sont des occupants dont certains ont une présence récente contrairement à ce que raconte Filiu oubliant qu’au 10ème siècle Juifs et chrétiens étaient majoritaires à Jérusalem, et qu’en 1840 les Juifs y étaient devenus majoritaires (Yehoshua Ben-Arieh, Jérusalem, 1980, 2003 p.41) idem avant et lors de la période mandataire britannique :

 La population de Jérusalem, 1914-1946 (en milliers)

Á partir des années 1870 l’accélération du retour sur des terres ancestrales peu mises en valeur (et si bien décrites par Chateaubriand dans Itinéraire de Paris à Jérusalem) furent souvent vendues ou louées à prix d’or par les occupants Arabes et Turcs ; c’est que les riches poussahs préfèrent le Caire en pleine expansion à partir de 1882 sous domination anglaise (ici, PIERRE NEVEJANS,  Le Moyen-Orient de 1876 à 1980, pages 19 et suivantes) et aussi Damas et Beyrouth, laissant alors aux fellahs quelques arpents y survivant à peine (idem, page 20) ; ce qui peut expliquer, pour partie, leur immigration vers les terres redevenues juives et de plus en plus cultivées comme l’indique Mitchell Bard (dans Mythes et réalités des conflits du Proche-Orient, page 7, § 4) ; une dynamique incarnée par le surgissement en 1909 de Tel-Aviv émergeant de dunes et marécages, sans oublier le développement du commerce qui en résulte (fruits, peaux, viandes) ce qui fait que ce fut un appel d’air formidable pour des dizaines de milliers de Syriens, Egyptiens, Irakiens, Libanais, abandonnés par les occupants “propriétaires” arabes et Turcs happés par la douceur de la vie urbaine en pleine essor car sous protection de la culture anglaise et française : ” À la fin du XIXe siècle, Le Caire, Alexandrie et Beyrouth apparaissent comme les centres majeurs de la presse arabe, en étant respectivement le siège de 379, 100 et 73 périodiques. Suivent Paris (45), Tunis (41), Istanbul (24), Londres et New York (…)” (ibid., p. 21).

Bref… Il est clair que toute cette histoire reste masquée, cachée, guère enseignée, ce qui alimente la Vulgate diffusée par des profs à la LFI ou autrefois liés au PCF made in Komintern, et ainsi s’entretient les mensonges, en particulier ceux diffusés sur la présence française en Afrique du Nord, tel cet anachronisme qui s’effarouche de voir les “enfumades” de grottes-refuges au 19ème siècle alors que durant la guerre de 14, à Verdun ou sur le chemin des Dames, des centaines de milliers de “blancs” se massacrèrent (700 000 pour Verdun) sans qu’on puisse affirmer que cela avait été à cause de la couleur de peau ou de la religion…

Bas du front. Triomphe de la populace, ce lumpenprolétariat dont avait horreur Marx aujourd’hui métamorphosé en lumpen-intelligentsia avide, fielleuse, vampires du Bien Public, sorte de “corps francs” zombis en devenir liés hier à une partie de la social-démocratie allemande en la figure de Gustav Noske assassin indirect de Rosa Luxembourg (cette anti-Lénine et vraie marxienne -et non pas marxiste comme le disait Marx lui-même- car respectueuse des acquis civilisationnels comme la liberté d’expression y compris pour les partis bourgeois), et qui devinrent l’une des ossatures des S.A aujourd’hui des F.A.F (Front Anti-Fasciste) avec toujours sa frange social-démocrate (en la personne d’Olivier Faure) ou l’alliance alter-djihadiste globale (aile gauche du macronisme) débouchant sur une offensive générale pour imposer en sus de la furie anti-juive l’oppression des femmes musulmanes avec le port sinon “obligatoire” du moins incitatif du voile assènent-ils sans fard...

“Et vogue le navire” dirait Fellini (en hommage à Rhinocéros de Ionesco ?…).